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Teen Wolf 09
The Secret Circle 10
Buffy The Vampire Slayer 09
Bones 10
The Walking Dead 10
Veronica Mars 10
Lost 10

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a voice whispered in the darkness, but Bran did not know how to fly, so all he could do was fall.

.theperfect'cupcake♥.

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Le moins que l'on puisse dire c'est que Riley Thompson était en ce moment dans une situation plus que dérangeante, entre deux feux, ou ce que l'on pourrait qualifier plus communément : avoir le cul entre deux chaises. D'un côté, son ami Jayden totalement surpris par sa découverte et commençant à s'énerver ostensiblement dans son coin, insultant au passage la petite amie du faucheur. Et de l'autre côté, sa petite amie en question, qui avait eu quelques déboires par le passé avec Jayden. Autant dire que la situation n'était pas des plus agréables, il devait d'un côté gérer l'accès de violence verbale et de l'autre la fuite. Le brunet était bras ballants, digérant visiblement très mal l'information que le Canadien venait de lui délivrer, à savoir qu'il sortait depuis peu avec son ancienne employée. Ancienne employée qui avait agressé ouvertement à l'aide d'une arme, la petite amie de ce dernier. Une véritable tragédie grecque était en train de se jouer au beau milieu des allées du supermarché. Il est de ces moments où vous en venez à vous demandez ce que vous faites ici, ou bien pourquoi est-ce que vous vous êtes levez ce matin là... C'est exactement ce qu'éprouvait Riley en ce moment même. Il sentait une telle tension nerveuse chez son ami, que cela lui en faisait presque hérisser les poils des bras. Pour le moment, il tentait de rester calme, malgré toutes les insultes que Jayden venait de proférer à l'encontre de Cassie, mais il sentait au plus profond de lui-même que le self control qui le caractérisait tant habituellement, était sur le point de voler en éclats, pour laisser place à un tout autre visage. Il n'y avait qu'un pas à franchir pour se retrouver du côté obscur de la force. Une fois ce pas fait, il savait pertinemment que le point de non retour serait atteint. Sachant de quoi il était capable lorsqu'il ne se contrôlait plus, cela risquait de ne pas être très joli à voir. Le crâne d'un homme blanc, littéralement explosé contre un lavabo d'une certaine prison se rappela alors à son bon souvenir. Il ne voulait pas que sa récente relation avec la blondinette vienne entacher ses liens amicaux avec Wellington, alors il souffla un bon coup avant de tenter la formulation d'une réponse.

« Je suis parfaitement sérieux, désolé de baisser dans ton estime, mais c'est bien avec elle que je suis. Elle est loin d'être folle. Arrête s'il te plaît. Tu devrais être content pour moi plutôt. Elle a réussi à me faire aller de l'avant, je me suis même remis à l'écriture grâce à elle, je crois que je lui dois beaucoup. Lorsqu'elle travaillait pour toi elle était loin d'être clean, je ne dis pas qu'il faut oublier ce qu'elle vous à fait à toi et Holly, mais essaye au moins de lui pardonner. Aujourd'hui elle est différente, elle a changé, en bien, crois moi ! Tu vas peut-être avoir la nausée, mais je l'aime... »

Les deux hommes se trouvaient maintenant auprès de Cassie. Le faucheur analysa la situation, rapidement, afin de savoir quelle était la meilleure manœuvre à entreprendre, la meilleure marche à suivre. Pour le moment il n'en voyait pas une qui soit meilleure que l'autre. Et c'est bien là ce qui lui faisait peur. La jeune femme semblait apeurée rien qu'à la vue de son ancien patron. La remarque de ce dernier exaspéra au plus haut point le Canadien. Il n'était tout simplement pas juste dans ses propos, trop aveuglé par la haine qu'il vouait envers la blondinette. Comment osait-il dire qu'il était tombé bien bas, alors qu'elle n'avait fait que le relever, grâce à elle il avait ouvert les yeux sur cette seconde chance qui lui était offerte par le biais du Skyline, grâce à elle il n'avait plus aussi peur qu'avant du lendemain, il ne se murait plus dans sa prison où les murs étaient tapissés de souvenirs et de photos du passé. Jayden ne savait rien de tout ça, de quel droit pouvait-il la juger ainsi sur ses actes passés, alors qu'elle n'était pas véritablement elle-même ? Le faucheur fut vraiment désolé qu'elle assiste à cette conversation. Il lui posa la main sur le bras, en signe de protection peut-être.
Jayden avança l'idée que Riley aurait sans doute été mieux avec la vieille dont ils étaient en train de parler quelque minutes plus tôt, ce qui acheva d'énerver le faucheur. Comment osait-il tenir un tel discours ? Il sentait la moutarde lui monter au nez, mais ce n'était guère l'endroit pour régler ses comptes, aussi il serra fortement le poing, enfonçant ses ongles dans la paume de sa main, dans le but de se calmer, cela n'eut guère d'effet. C'est donc sur un ton sec qu'il s'adressa à la personne qu'il considérait comme étant un ami il y a encore quelques minutes à peine.

« Écoutes Jayden, cela ne sert à rien de te montrer aussi injuste et grossier, la colère et la haine déforment probablement tes propos. Il faut parfois savoir aller de l'avant, et c'est ce que tu devrais faire au sujet de Cassie. Que cela te plaise ou non, je suis très bien avec elle, je ne compte pas la quitter parce que vous avez eu un différend il y a de ça plusieurs mois. Et laisse la tranquille tu veux, elle n'a pas à répondre à tes insultes. Je te conseilles juste de baisser d'un ton... »

Une lueur froide dansait à présent dans le regard du faucheur, l'heure n'était plus franchement à la rigolade.


 

Apparemment, le lieutenant qui faisait face à Aileen n’avait pas toutes les données en main. Elle semblait surprise d’entrevoir le fait que Duncan et l’homme décédé se connaissaient plutôt bien. Jane avait un air compatissant. Cela l’excusa de son sourire malvenu dès le début de son entrevue avec l’amie d’Hamilton. Enfin, la rouquine d’origine irlandaise ne demandait pas tant de compassion. Elle avait qu’une envie: se saouler pour oublier se moment. Elle venait de voir un proche se suicider et finir en charpies à cause du choc subi avec un wagon de métro. La belle était très droite de coutume mais quand la situation se gâtait, elle accusait le coup. Elle avait une petite fille donc flancher lui était interdit. Or, quand Lexie se faisait garder, Aileen en profitait pour relâcher toutes pressions bien qu’elle avait peur que le père de la gamine l’appelle un jour en confirmant détenir leur enfant par manque d’attention de la mère elle-même. Aileen angoissait à l’idée de ne plus revoir son bébé, celle qui représentait toute sa vie, sa seule raison de vivre: sa fille. La femme avait besoin de penser à autre chose. Pour le moment, elle était choquée. La vison du corps Jason broyé ne cessait de prendre de l’ampleur sur toutes autres images plus joviales ou agréable à entrevoir. La rousse se retenait réellement de fondre en larmes. Elle ne réalisait pas totalement la situation. En deux minutes elle était passée du rire à l’horreur totale. Quand l’avocat véreux s’était jeté sur les rails, Aileen s’était avancée en hurlant de terreur. Jamais elle n’oublierait cet instant épouvantable et difficile à supporter. D’ailleurs, elle avait envie de crier tout son effroi, de se décharger de toute cette souffrance qui l’envahissait. Mais rien, elle se trouvait assise à côté d’une inconnue qui jugeait la situation par des témoignages de personnes n’ayant pas connu le mort. Aileen sentait la gêne qui habitait Jane. Une tension étrange régnait dans le lieu où jamais plus Duncan remettrait les pieds.

- Oui, enfin… nous nous dirigions vers la rame. Jason et moi venons à peine de finir de déjeuner ensemble. Il allait bien, enfin… il avait des problèmes plus ou moins graves comme tout le monde. Mais je ne comprends pas… il semblait ravi de passer un instant en dehors du travail, en dehors de chez lui. Elle soupira en évitant de croiser le regard de la belle brune. Vous enquête va servir à quoi? Il s’est tué! On ne peut rien contre la mort.

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C'était un matin comme les autres. Ou presque. Dès les premières heures de soleil Braeden avait comprit que la journée serait chaude Très chaude. Et vois tout ces passants entrer dans sa boutique par seul envie de fraîcheur l'exaspérait.C'est vrai quoi, qu'ils aillent dans les pays d’Extrême Orient avec l'uniforme militaire réglementaire, ils verront ce que c'est d'avoir vraiment chaud. Alors, tout en ruminant, Braeden entreprit de remettre à jour la peinture de la devanture. Le bâtiment était ancien et un bon coup de pinceau ne ferait pas de mal. Malheureusement il n'avait pas prévu que l'entrée soit si exposé au soleil, et à la chaleur. Il ne supporterait pas son t-shirt bien longtemps. Il devait arrêter ou se dépêcher. Quant à l'idée de retirer le morceau de tissus trempé, il n'y pensa même pas. Ce serait exposé ses cicatrices. Il avait apprit à les cacher, toute. Même cette éraflure sur son avant bras qui était devenu au fil du temps une vilaine plaie infecté. Une semaine de repos parce qu'une foutu mine l'avait jeté sur un tas de rochers. Mais après beaucoup de temps la plaie c'était refermé, la douleur était partie et seule une marque de la taille d'un index tachait sa peau hâlé par le soleil d'Afghanistan. Il avait apprit à mentir, pour se cacher. Ainsi cette cicatrice était devenu une éraflure faite dans un accident de moto. Et la trace sur son mollet une connerie de gamin. Il n'aimait pas raconter la vérité à propos de ses blessures, de son passé. Il avait pourtant beaucoup aimé son passé et serait bien resté plus longtemps sur le champ de bataille. Il aurait aimé y mourir, pour tout ceux qu'il avait perdu. À la place il peignait la devanture du vieux bâtiment.

Il n'aimait pas peindre comme ça. Dans le désert, lors des jours creux, il avait adoré dessiner. Ses amis, les paysages magnifiques qui les entouraient, le peuple qu'ils sauvaient, les hommes qu'ils tuaient. Mais peindre sans rien représenter sous un soleil de plombs non merci. Vers treize heures, il laissa tomber le rouleau dans un seau d'eau et rentra. Il avait faim, il avait toujours faim. La boutique était vide, comme toujours. Il n'avait pas tant que ça besoin de cet argent. 10 ans de salaires dormaient encore sur son compte en banque. Et lorsqu'on fini lieutenant général, le salaire est loin d'être méprisable. En plus des primes de risque qu'il accumulait à force de commettre des folies. Il n'avait jamais travaillé pour l'argent, juste pour le plaisir. L'armée? Une vengeance puis une envie d'aider les gens. La boutique? Sa vie était fondé sur la musique.

Sans la musique, la vie serait une erreur, adage bien menteur pour la peine. Quoi de plus horripilant qu'une musique, enfin non qu'un bruit vous faisant saigner les oreilles, alors que vous pensiez passer une soirée tranquille tout en bavardant avec des amis ? Et bien peut-être et tout simplement, le boum boum assourdissant qui s'échappait de part et d'autres des enceintes accrochées aux murs du McKinnon. S'était sans doute cela, que les jeunes d'aujourd'hui appelait musique, mais pour Brett Evans, ce n'était qu'un horrible son strident, une infâme mélopée digne des plus grands concertos pour malentendants. L'expression « mieux vaut entendre ça que d'être sourd » venait de prendre tout son sens, dans sa plus grande magnificence. Cela ressemblait à s'y méprendre, à quelque chose se rapprochant du bruit, que feraient de pauvres chats que l'on auraient placés dans un mixer en marche. Tout bonnement atroce.
Une fois de plus, le détective remarqua que son interlocutrice le dévisageait de manière étrange, aussi cru-t-il bon de se justifier, en levant son verre d'eau gazeuse, tout en fronçant le nez, montrant ainsi qu'il n'était pas franchement heureux de ce qu'il tenait entre les mains.

https://www.youtube.com/watch?v=DcoCQ8Rn-W8

http://afterlife.forum-canada.net/t563-alice-riley-13-juin-1986-25-novembre-2006#73146

**Dès que le couple Howard entra dans le petit café, l’attitude de la lieutenant de police changea aussitôt. Elle était du genre à balancer un tas d’injure à l’égard de ses voisins dont elle détestait complètement l’attitude, mais elle était présentation en compagnie de Leslee, la belle rousse qui faisait à chaque coup vibrée son cœur, mais ce n’était pas rien, elles se trouvaient dans le petit café de Madison, ce qui n’était certainement pas l’endroit le plus approprié pour envoyer balader des gens, surtout pour une raison peu réaliste. Jane se contenta alors d’agir en bon citoyen et pour une fois de se la fermer. Elle affichait l’un de ses faux sourires qui malgré tout voulait tout dire. JJ savait l’usée, surtout dans son métier de lieutenant de police, elle se devait surtout de respecter les règles et le code de la police. Elle ne pouvait pas envoyer promener quiconque qui ne l’a respectait pas plus que cela, situation qui contrariait régulièrement la brune qui gardait souvent des pensées très lourde pour elle. Après quelques minutes d’attente, le couple paya sa commande et prit chemin vers la sortie. Jane tourna la tête pour être certaine qu’ils n’étaient plus dans la boutique lorsqu’un grand rire accompagna son grand sourire soudain. La belle Wellington s’écrassa de tout son long sur le présentoir et porta ses mains à son visage. Elle lança ainsi.**
« Non, mais putain de merde, tu l’as dit ! J’étais jamais resté tout près d’eux dans un endroit aussi confiné… maintenant, je comprends encore plus pourquoi je l’ai haie, ah ! Je déteste assez les chiens comme ça, mes voisins n’en ont un, un vrai connard ! Il hurle toujours et lorsque je sors, il vient me grogner après… enfin, beauté, moi je vais devoir aller au boulot, si je ne veux pas arriver en retard, j’ai un cas sous l’épaule qu’il me faut régler le plus vite possible, je te promets que je repasse ce soir, de toute manière, je termine un peu plus tôt, j’aurais le temps d’accompagner ma soirée avec un café et une petite conversation avec toi Leslee Jolie ! »
**Jane lui fit un grand sourire, balança un bisou de sa main et agrippa son café qui était toujours sur le comptoir. Elle avait mangé son encas, mais pouvait tout de de même repartir avec un bon café chaud. Elle se retourna avant de pousser la porte et dit.**
« Oublie pas, je te reparle de cette petite soirée en boîte, bonne journée Cupcake ! »
**Et Wellington quitta le café.**

TERMINÉ & VERROUILLÉ

girls just want to have fun- Jane.

Des résultats de recherche préliminaires indiquent que l'homoharringtonine (HHT) peut se révéler efficace contre la mutation T315I qui confère une résistance à tous les inhibiteurs de la tyrosine kinase (TK) actuellement sur le marché (Chen et coll. Leukemia, publié en ligne le 26 mars 2009). Une étude pilote sur l'omacétaxine, une préparation semi-synthétique d'HHT, a donné des résultats prometteurs (Quintas-Cardama et coll. Cancer, vol. 109, p. 2625, 2007), et des essais de plus grande envergure sont en cours. Les résultats préliminaires d'un essai de phase II ont été rapportés dans Source (voir Mise au point d'un nouveau médicament pour combattre la mutation T315I, novembre 2008).

Une mise à jour des résultats de deux essais sur l'omacétaxine a été présentée au congrès de 2009 de la ASCO par des chercheurs du M.D. Anderson Cancer Center de Houston. La première étude a été menée auprès de 66 patients (âge médian de 58 ans) atteints de LMC (toutes phases) qui présentaient une mutation T315I et dont le traitement par un inhibiteur de la TK avait échoué (Cortes et coll. ASCO 2009; résumé 7008). Aucun des patients n'avait répondu à l'imatinib et le traitement par un ou plusieurs inhibiteurs de la TK avait échoué chez 80 % d'entre eux. Les participants ont reçu de l'omacétaxine administrée par injection sous-cutanée à raison de 1,25 mg par mètre carré (de surface corporelle) deux fois par jour pendant 14 jours chaque mois (cycle d'induction), puis la même dose 7 jours chaque mois (entretien).

Le traitement a été bien toléré. Le principal effet indésirable était une diminution passagère de l'activité de la moelle osseuse (appelée dépression médullaire). Des effets secondaires non hématologiques d'intensité modérée à grave (diarrhée, fatigue) se sont manifestés chez moins de 5 % des patients.

Des données sur l'efficacité du traitement ont été présentées dans le cas de 44 participants. Chez ceux qui étaient atteints de LMC en phase chronique, le nombre médian de cycles reçus était de quatre; 39 % des patients ont reçu au moins six cycles. Le traitement a été associé à une diminution de la mutation T315I sous le seuil décelable chez 64 % des patients atteints de LMC en phase chronique.

La deuxième étude a été menée auprès de 60 patients (âge médian de 58 ans) atteints de LMC (toutes phases) chez qui le traitement précédent par au moins deux inhibiteurs de la TK avait échoué (Wetzler et coll. ASCO 2009; résumé 7027). Les patients ne présentaient pas de mutation T315I, mais 38,5 % présentaient une autre mutation du gène bcr-abl. Les résultats préliminaires étaient comparables à ceux rapportés dans le cas de l'étude précédente : le traitement semble bien toléré et les réponses précoces sont encourageantes. L'essai se poursuit et la prochaine mise à jour des résultats sera affichée dès qu'elle sera disponible.

https://perfect.forum-canada.net/t58-encore-toi-jane-maddison

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I try to ignore how ridiculously terrible the tvd fandom could get at times. Like how sexist and self-righteous some could get?! Ugh please the world doesn’t revolve around you and your ships. Grow up. Also it’s a pretty ignorant statement to say you hate the actress who plays Sage or more specifically “I hate Cassidy Freeman”. CASSIDY FREEMAN. Google her up. Watch a couple of her interviews on youtube at the very least. Then formulate your opinion about her. -xoxo

https://www.youtube.com/watch?v=Rm_tiWDwA7A