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 La loi, c'est la loi - BRAEDEN & JANE

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Jane J. Wellington

WELCOME TO DETROIT
Jane J. Wellington

AGE : 32
NOMBRE DE CONTACTS : 4616
ANNIVERSAIRE : 13/10/1992
EN VILLE DEPUIS LE : 09/03/2012
AVATAR : Jennifer Carpenter




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MessageSujet: La loi, c'est la loi - BRAEDEN & JANE La loi, c'est la loi - BRAEDEN & JANE EmptyMar 13 Mar 2012 - 23:02

**Jane Julia Wellington n’en revenait tout simplement pas. Elle était sur une enquête pour meurtre et la totalité de celui-ci venait de changer de coté. Au départ, après avoir retrouvé un cadavre à la Marina sous un soleil plombant, l’équipe criminelle de Detroit avait cru qu’il avait été tué sur le coup et selon la scène de crime en ces lieux. Une nouvelle preuve venait de complètement changer l’enquête de bord. Un élément trouvé sur la scène de crime démontrait qu’on avait laissé tomber le corps d’un endroit plus élevé. Mais comment, cette enquête donnait de plus en plus de soucis à toute leur équipe et Jane n’en revenait toujours pas. Elle s’était même prise d’un vilain mal de crâne à réfléchir à toute cette histoire. La belle s’était allumée une cigarette sur les lieux pour se détendre un peu. Il y avait tout près un gratte-ciel, mais était-ce réellement possible, sinon, la seule exemple qui lui venait à l’esprit rapidement était le toit de ce grand garage. À croire qu’on l’avait poussé et assassiné par la suite et tout ça, sans que personne ne remarque quoi que ce soit. Le meurtre avait sans doute eu lieu dans le nuit pour qu’il passe aussi facilement incognito. La lieutenant de police conclut sa cigarette et regarda sa montre. Elle n’était plus très utile sur la scène qui avait déjà été analysée à plusieurs reprises. Elle décida de reprendre le chemin de la maison, mais en roulant, elle constata le clignotant de son réservoir d’essence s’allumée. Elle avait oublié de faire le plein d’essence, elle frappa sur le volant en balança violement. « Bordel de merde... » Mais bon, finalement, ça lui donnerait la chance de s’acheter un nouveau paquet de cigarette, ce qui n’était pas si mal à la fin. Elle se gara au réservoir et fit le plein, marcha vers le petit commerçant où elle s’installa devant un stand à friandise. Elle avait la dent sucrée et ne savait pas trop ce qui lui tenait réellement. Il y avait quelques clients pour le moment, tout était calme et banale, elle se dirigea vers le comptoir et attendit à la caisse lorsqu’elle vit au loin, un homme sortit de la station-service avec quelques cannettes de bière dans les poches de sa grosse veste noire. Elle ouvrit la bouche surprise, et se rua vers l’homme.**

« Non, mais j’y crois pas, putain ! Tu vas replacer ces canettes là-bas bordel ou sinon tu les paies ! »

**L’homme se mit à courir dans le magasin, ce qui fut instinctif. Jane leva les bras, son arme à la main et le pointa vers le cambrioleur, bien que cet acte soit peu grave, pour Wellington, elle avait de l’importance. Elle serra les dents, sérieuse, ce qui laissa l’individu stable. Il s’arrêta et la regarder. « Je.. Je .. Je m’excuse... » Elle fronça les sourcils face à ce manque de tact.**

« Mais oui... Tu penses me faire gober tes excuses minable ! Aller, sort ton cash, pour que ce gentil marchant puisse aller payer une belle soirée à sa gonzesse ! »

**Elle fit signe de la tête vers la gauche pour montrer le pauvre commerçant qui semblait plus perdu qu’autre chose. Elle tourna la tête ensuite avec un sourire, voyant bien que l’homme paya et prit chemin vers la sortie, mais elle balança son arme dans le front d’un inconnu, ce qui la laissa mal à l’aise. Elle le rangea sur le coup, toucha l’épaule de l’homme et dit sous le moment, avec un sourire maladroit sur le visage.**

« Oh, merde ! Excuse-moi, putain, je suis maladroite, je ne vous ai pas fait mal... »

**Gardant une main sur son épaule et tâtant même son bras à quelques reprises.**
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MessageSujet: Re: La loi, c'est la loi - BRAEDEN & JANE La loi, c'est la loi - BRAEDEN & JANE EmptyJeu 15 Mar 2012 - 5:42




La loi, c'est la loi
ft Jane J. Wellington


Les clients étaient tous des cons. Pourquoi mais enfin pourquoi avait-il ouverts la boutique? A oui bien sur, par pure passion. Il n'avait pas imaginé sur l'instant qu'une vieille bourge viendrait le faire chier pour acheter une batterie à son horrible gamin trop gâté. Bien sur, le gamin avait touché à tout, sous le regard de la mégère souriante et du brun sur les nerfs. La femme avait soûlé Braeden, lui racontant sa vie, lui posant des questions "totalement con" d'après le jeune homme, puis elle avait commencer à partir sur un terrain dangereux. " Si vous voulez mon avis, je pense que cette musique de barbare ne devrait pas être autorisé à la vente... tout ce ... Métal? je sais plus, mais c'est pas important. Bref, toute cette violente, c'est Horriiible!" Elle avait fini sa phrase dans un trémolo bizarre, s'accordant à merveille avec son accent ridicule de bourge. Alors qu'il bouillait de la voir partir, la goûte d'eau fit déborder le vase. Le gamin venait d'attraper des baguettes près d'une batterie. À peine Braeden commencer à lui dire de ne pas toucher à tout qu'il les balançait au sol, riant comme un gorille. Bien sur, il les brisa, un vrai sacrilège pour ceux comme Braeden qui avaient la musique comme seul religion. Apres avoir hurlé, les nerfs lâchant, et avoir fait payer le matériel cassé plus cher que d'habitude, il les vira et décida de fermer. Il lui fallait une bonne bière pour se détendre, la journée avait été longue. Il ne supportait pas les gens qui venaient "juste pour voir" ou bien qui se montaient la tête alors qu'ils n'y connaissait que dal, comme cet ado boutonneux qui lui avait parler d'un air connaisseur de la fender stracastoter... Il eux du mal à ne pas gueuler à l'écorchement du nom de cet instrument de légende.

Il ferma rapidement la boutique, crevé, et partit derrière chercher sa moto. il n'avait jamais jugé utile de s'acheter une voiture. Ça lui rappelait trop de choses que d'être assit dans un véhicule à quatre roues. Il était assis à l'avant lorsqu'un missile lancé d'une base ennemi avait arraché l’arrière du véhicule. Il avait vingt-trois ans, et ne monta plus dans un van que lors des strictes nécessités. Il secoua la tête, évitant de repenser à tout ça. Il n'aimait pas y repenser, mais il ne pouvait pas s'en empêcher dans le sens ou tout lui rappeler ces huit ans de sa vie.
Il monta sur la deux roue, l'alluma, et grimaça. Le taux d’essence était faible. Il fallait qu'il aille à la station, à la lisière de la ville. A cette heure si le trafic était plutôt fluide, il n'aurait pas à zigzaguer entre les voitures. Il enfila son casque, et partit. Comme il l'avait prévu, les rues étaient plutôt tranquilles. Il fila à la station. Il n'y avait pas grand monde, une voiture et quelques personnes à l'intérieur. Il arrêta son véhicule et entreprit de faire le plein. Une fois la chose faite, il gara la moto la où il ne gênerait pas et il entra pour payer. Il y avait de l'agitation dehors, mais il ne fit pas trop gaffe. Il était habitué à l'agitation, il se contenta de payer pendant que les autres clients regardaient avec peur et excitation la lieutenant menacer le voleur de son arme. Il frôla le dit-voleur lorsque celui ci rentra pour aller payer les bières, et, alors qu'il était occupé à ranger sa carte de crédit dans son porte feuille, il reçu un objet lourd et froid sur le front. Le coup le fit tituber, et il porta une main à son front, où il sentit un filet de sang apparaître. Et alors qu'il voyait l'arme au sol, son esprit partit ailleurs.

Bagdad. Une ville magnifique avant les bombes. Un endroit paradisiaque, où chaque coins de rue laisse à croire que Shéhérazade nous attend derrière. Mais sous les bombes et les coups de feux, la ville n'avait plus rien de charmante. L'unité 22A se faisait canarder depuis au moins 5 minutes. Les américains c'étaient retranchés derrière les épais mur d'un bâtiment qui avait du être magnifique avant que son toit ne soit arraché et l'aile droite de la demeure brûlée. Les tirs s’arrêtèrent. Braeden vit un des plus jeunes se lever, il n'eu pas le temps de l'en empêcher. Le blond se retrouva criblé de balles en moins de temps qu'il ne faut pour dire ouf. Braeden était habitué. Alors il ne fut pas choqué plus que ça. Le seul problème était qu'il se savait en sous nombre par rapport aux ennemis, qui d'ailleurs le comprirent vite. Braeden et trois autres gars se retrouvèrent rapidement les bras en l'air, les armes aux sols, à laisser les ennemis les attraper. Vivant, c'est mieux Ça permet de faire des échanges, Braeden le savait. Aussi, lui et les autres hommes se laissèrent emmener dans le quartier général de leurs assaillant. On les fit s'asseoir, et un des chefs ennemis demanda à Braeden des informations. Celui ci ne répondit rien, et reçu un coup de cross sur le haut du crane. Il se réveillé deux jours plus tard, dans un hôpital milliaire. Il ne posa jamais de question, il ne fallait jamais poser de questions.

Il sentit ses bras frissonner à cette vision, ce souvenir. Il lui fallut beaucoup de force pour se persuader qu'il était en sécurité, aux Etats-Unis, que personne ne lui voulait de mal. Il fut tirer de son cauchemars par une douleur. Une douleur atroce, à l'épaule droite. Là où la balle dort tranquillement. Il laissa une grimace de douleurs apparaître sur son visage."Oh, merde ! Excuse-moi, putain, je suis maladroite, je ne vous ai pas fait mal..." Non non tu m'as pas fais mal t'es juste en train de me torturer là! eut-il envie de dire. Il préféra serrer les dents et la décrocher de son épaule. Lui qui détestait être touché, surtout la, il était gagnant. "Laissez moi, c'est bon ça va ça va..."Bon dieu, qu'elle lui faisait mal à appuyer sur la cicatrice. Il tenta de se dire que c'était pas de sa faute, il ne pu empêcher de pester. "Putain lâchez moi vous me faites mal, depuis quand on prend les gens comme ça hein? Et puis depuis quand on balance des armes comme ça, c'est n'importe quoi! Imaginez une seconde que vous n'aillez pas mis le cran d’arrêt et que le canon se soit déverrouiller d'un coup? Vous faisiez des morts!"
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MessageSujet: Re: La loi, c'est la loi - BRAEDEN & JANE La loi, c'est la loi - BRAEDEN & JANE EmptyJeu 15 Mar 2012 - 22:01

**Jane Julia Wellington était une très bonne lieutenant de police, bien que dans la plupart des situations, elle s’emportait très facilement. On pourrait dire qu’elle était à l’aise et très franche, toujours prête à arrêter les criminels, mais ce n’était pas ça qui faisait sa personnalité. La jeune lesbienne avait un lourd caractère et il ne fallait surtout pas la défier. Elle détestait perdre et surtout se faire marcher sur les pieds, situation qui n’arrivait presque jamais. En ce moment, elle se sentait un peu mal à l'aise, ayant usée d’une maladresse stupide, elle avait choisis la bonne solution, celle de s’excuser, mais pour l’homme ça ne semblait pas faire l’affaire, il se mit à l’insulter et haussa le temps violemment à son égard. Jane ne prit guère la situation du bon sens, elle qui avait toujours l’habitude de replacer les gens ne pouvait acceptée la situation inverse. Elle serra les dents un moment, face aux commentaires du jeune homme. Elle venait de le blesser assez violemment, mais ce n’était pas une raison pour rester calme et ne pas l’envoyer promené comme il venait tout juste de le faire. JJ avait fait une erreur de technique et n’avait pas bien maitrisé son arme, elle le savait bien, mais avait tout de même prit la peine de refermer le cran de sécurité pour ne blesser personne. Son arme n’était même pas chargée de toute manière, cette information, il ne le savait pas, mais la brunette rebelle oui. Elle fixa donc l’homme, suivit de la lisière de sang et poussa sur un ton fort qui fut entendu à travers la station-service.**

« Non, mais pour qui tu te prends, putain de merde ! J’ai juste essayée de t’aider connard ! Je vois pas pourquoi tu m’envoie promener comme ça ! et tu sauras que j’ai bien manipulé mon arme quand même… elle n’est même pas chargée pour ton info ! La prochaine fois, si tu veux m’envoyer promener, essaie de trouver un autre moyen ! Je ne vois pas pourquoi tu t’emportes comme ça… Prends tes calment mon p’tit ! »

**Elle serait toujours les dents, serrant même le poing qu’elle avait de libre. La jeune brunette ne savait pas ce qu’il ajouterait, mais elle avait les nerfs en bloque à son tour. Elle venait d’empêcher un citoyen naze de voler un pauvre commerçant et elle avait passé une journée peu agréable, elle n’avait pas besoin de se faire envoyer promener par un idiot comme celui-ci. Elle rangea ensuite son arme, se tournant et prenant une boîte de papier mouchoir, elle l’ouvrit et lui tandis, bien que le sourire n’était plus de même, elle leva son autre main en l’air et dit au propriétaire.**

« Tu l’ajouteras à ma facture cowboy ! Et toi, prends les…e t prends ça comme des foutus excuses, tu peux bien être fier de toi.. parce que c’est vachement rare que j’en fais. Je sais pas ce qui fait vibrer ton p’tit cerveau, mais je peux pas t’aider plus ! »
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MessageSujet: Re: La loi, c'est la loi - BRAEDEN & JANE La loi, c'est la loi - BRAEDEN & JANE EmptyMer 21 Mar 2012 - 19:04




La loi, c'est la loi
ft Jane J. Wellington


Elle lui tapait sur les nerfs. Elle lui tapait sur les nerfs littéralement. Était ce à case du vilain coup qu'il avait reçu? Il ne savait pas, mais son caractère sang (très) chaud l'avait emporté sur le reste. Oui, parce qu'il était sang chaud. Un mauvais truc, il le savait. Et du coup, tout lui tapait sur les nerfs. Et cette fille qui l'avait agressé sans raison ne dérogeait pas à la règle. Elle l'énervait pour pas mal de raison. Déjà, cette brunasse l'avait défiguré sans raison et de manière dangereuse. Ensuite, elle l'insultait alors qu'il ne faisait que ce défendre (Mauvaise fois quand tu nous tiens...) Et en plus, ce qui lui faisait le plus peur, c'est que ça vilaine cicatrice à l'épaule semblait s'être ouverte sous les agitations. Mais le pire, c'est qu'elle, simple policière, osait lui tenir tête. Dans sa carrière de militaire, très peu de personne avait oser lui tenir tête. En faite, le seul fou aillant réussi cet exploit eu toute les peines du monde à manger autre chose que de la purée pendant trois semaines; et tout cela fait en toute discrétion. Il avait toujours réglé ses problèmes en toute discrétions, et ils n'avaient pas été nombreux. Et puis quand on fini haut gradé, on a plus trop à s'en faire. En dix ans, il c'était habitué à se faire respecter et apprécier. C'était ce qu'il fallait pour avoir de l'autorité sur ses hommes.
La jeune femme semblait totalement furieuse, et commença à hurler, pour que tout le monde l'entende. Elle ne semblait vouloir qu'une chose, attirer l'attention pour se protéger. Se mettre tout le monde dans la poche. Et vu qu'elle semblait connu et apprécié dans cet endroit où il n'était qu'un inconnu, ça semblait mal parti pour lui. "Non, mais pour qui tu te prends, putain de merde ! J’ai juste essayée de t’aider connard ! Je vois pas pourquoi tu m’envoie promener comme ça ! et tu sauras que j’ai bien manipulé mon arme quand même… elle n’est même pas chargée pour ton info ! La prochaine fois, si tu veux m’envoyer promener, essaie de trouver un autre moyen ! Je ne vois pas pourquoi tu t’emportes comme ça… Prends tes calment mon p’tit !" avait-elle osée? Connard, ça passait. Il était pratiquement habitué. Les justifications stupide sur la protection de cette arme aussi. Non ce qui le faisait bouillir à cet instant précis, c'était le "mon p'tit" Merde alors, il savait qu'il avait l'air jeune, mais tout de même. Cette civile sans cervelle était allé trop loin. Il s’apprêtait à répliquer lorsqu'elle partit chercher un mouchoir et lui tendit. "Tu l’ajouteras à ma facture cowboy ! Et toi, prends les…e t prends ça comme des foutus excuses, tu peux bien être fier de toi.. parce que c’est vachement rare que j’en fais. Je sais pas ce qui fait vibrer ton p’tit cerveau, mais je peux pas t’aider plus !" Et ce fut le coup de grâce. Le vrai bon gros coup de grâce.
La population américaine avait toujours été respectueuse de son armée. De plus, depuis les assaut finals contre le clan ennemi, les militaires étaient devenu très populaire. On leur consacrait des films, es séries, des jouets, et tout un tas d'autre truc. Ils étaient devenu les héros d'un peuple terrifié sous l'attaque ennemi de ce jour de septembre. Depuis, les miliaires était "le bien". Aussi, jamais encore il n'avait été confronté à un tel irrespect. Mais il savait qu'elle le payerait. Oubliant la douleur à son épaule, il tenta de prendre un visage calme, même si il se sentait bouillonner intégralement. "Mon petit? Vous êtes sérieuse mademoiselle? Alors en plus de balancer votre arme sur un haut gradé de l'armée de terre américaine vous oser l'insulter et l'agresser sans raison? Après avoir commis une faute professionnelle grave? Vous savez ce qu'on fait de personnes comme vous en Irak? On les fou au trous pendant des mois, si on ne les envoi pas aux premières lignes des combats comme gibier pour l'ennemi! Alors ravalez moi cette attitude de merde et faites de vrai excuses ou je peux vous assurer que vous aurez de graves problèmes..." il avait réussi, il avait gardé son calme. Lui qui s'emportait si souvent était presque resté impassible, son regard froid dévisageant la jeune femme, sa main gauche essuyant le mince filet de sang de son front, son épaule le lançant horriblement. Il tourna la tête vers celle ci et grimaça. Pour la discrétion, c'était raté. La plaie fermé depuis peu saignait, et saignait bien. Son haut était taché d'un rond rouge écarlate.
"Et merde..." Le sang. Il haïssait le sang. Il n'avait bien trop côtoyé pendant dix ans. Depuis son retour, la vue du sang le glaçait, lui rappelait de mauvais souvenirs. Il avait vu tellement de bains de sang. Et cette cruche qui le frappait ne pouvait pas comprendre. Entre être confronté à un meurtre, et être au front alors que des obus vous tombent sur la gueule, il y avait une sacrée différence. D'un coup la douleur se fit plus sourde. Sa vue se brouilla. Il grimaça. il fallait qu'il se reprenne, il ne pouvait tout bonnement pas s'évanouir devant tout se monde. Il se sentit chanceler et obtempéra, s'asseyant en tailleur sur le sol. Les témoins de la scène qui étaient restés silencieux jusqu'alors commencèrent à chuchoter. La tache de sang sur son épaule se faisait de plus en plus voyante. "trop voyante" Elle était une preuve trop grosse de son passé,qu'il avait tant tenté de cacher jusqu'alors. Il était revenu comme le jeune homme qui voulait mener une vie paisible, pas l'ancien héros de guerre blessé à la suite d'une prise d'otage ennemi. Il n'aimait pas se rappeler de ces trois semaines enfermés dans une cave à souffrir le martyr pour protéger son pays, ses anciens amis, sa patrie, et cette brunasse qui venait de lui taper une scène digne du pire macho. Un comble pour une fille si sexy.
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MessageSujet: Re: La loi, c'est la loi - BRAEDEN & JANE La loi, c'est la loi - BRAEDEN & JANE EmptyJeu 22 Mar 2012 - 21:16

**Jane Julia Wellington était bien remontée à son tour et rien ne semblait pouvoir la calmer. Elle avait toujours été une vrai tête de cochon et dès qu’elle se lançait dans une bataille, elle s’acharnait jusqu’à la toute fin, laissant de côté tout le reste. Ce petit aspect de sa personnalité lui avait souvent value divers problèmes, la belle ne pouvait comprendre qu’on puisse l’envoyer balader de cette manière sans même la connaître. Elle avait tout de même débuter la partie avec un point du côté de l’homme, elle lui avait très bien laissé la chance, elle s’était excusée à la base pour son erreur et la blessure qu’elle avait infligé à l’homme inconnue, mais de se faire remettre l’appareil de cette manière, JJ ne pouvait pas l’accepter, c’était beaucoup trop lourd pour elle, elle s’était défendue et le ferait jusqu’au bout, ne laissant aucune chance à cet abrutie de première. Ce qui était amusant dans cette histoire, était sans aucun doute que la belle Wellington connaissait l’homme et même très bien. Lorsqu’elle était encore une adolescente boutonneuse, elle passait beaucoup de temps avec le militaire ici présent. Il s’agissait en fait d’un très bon ami de son frère et du même coup, ils vivaient tout près, ce qui les amenait à se côtoyer régulièrement et malgré leur différence d’âge éminente, JJ avait quand même participer à des soirées de rires et de délires en compagnie de Austin et Braenden. Si JJ saurait avec qui elle avait affaire, la situation serait sans doute différente, mais pour le moment, cet information restait inconnue pour la belle et elle en voulait beaucoup à l’homme qui montait beaucoup trop vite contre elle, lui répliquant chaque mot, ce qui permettait à la lieutenant de pomper encore plus et de lancer un tas d’injure à son égard. Elle le fixait, le regard noir, prête à lui sauter sur la tête s’il le fallait. La femme n’avait aucune classe présentement, mais ça ne l’empêchait pas de se calmer un peu. Elle se mordilla la lèvre de colère et répliqua face à la réponse peu convaincante qu’il venait de lui formuler.**

« Tu veux rire de moi Brad Pitt ! Ce n’est certainement pas ton petit discours sur ta vie à la guerre qui va me faire calmer, je me suis excusée en partant et c’est toi qui m’a balancé un tas de merde au visage ! J’ai rien à voir avec tes problèmes et c’est pas parce que tu as fait la guerre que je vais te prendre en pitié ! Putain, tu te prends pour King Kong ou quoi ? »

**Elle roula les yeux, lançant même un long soupire au même moment. La belle rageait intérieurement. Elle ne savait pas comment faire comprendre à ce con qu’elle ne devait pas lui faire d’autres excuses, mais aussitôt qu’elle eut terminée, l’homme sembla se sentir mal, une tache de sang transperça son t-shirt, ce qui surprit la brune qui ouvrit la bouche de surprise. Elle avança d’un pas et dit choquée.**

« Non, mais putain de merde, c’est quoi ça… C’est moi qui t’a fait ça bordel ? Sérieux, j’en suis navré… mec ! Tu es sur que ça va... tu veux tout de même pas que j'appelle l'hosto ? »
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MessageSujet: Re: La loi, c'est la loi - BRAEDEN & JANE La loi, c'est la loi - BRAEDEN & JANE EmptyDim 15 Avr 2012 - 11:03




La loi, c'est la loi
ft Jane J. Wellington


"voilà, tu m'as tiré dessus, je me vide de mon sang, félicitation" Il avait parlé tranquillement, grimaçant. Bien sur il savait que la flic n'avait absolument rien fait, à part appuyer comme une malade sur la plaie fragile, mais après tout, il avait bien le droit de lui ficher la frousse un peu non? Vu comment elle s'était comportée, elle le méritait amplement. La plaie n'était pas totalement refermé. En faite elle c'était déjà ouverte trois fois depuis son retour, ce qui la rendait si sensible. La première fois, c'était à peine une semaine après sa sortie de l’hôpital, alors qu'il était toujours sous le choc. il avait dit aux médecins qu'il avait été frappé. La vérité était qu'il avait lui même forcé la barrière des fils, sous la douleur qui lui lançait. Il voulait se libérer, il voulait que tout cela ne soit jamais arrivé. Les médecins lui avaient pourtant formellement interdit d'y toucher. Il risquait de contaminer la plaie, mais aussi de faire bouger un peu trop l’instrument de fer, au risque que celui ci abîme un tendon. Braeden avait tellement entendu parler des hommes qui avaient mis des mois à retrouver l'usage de leurs membres. La balle était bien trop proche des nerfs fragiles pour qu'elle puisse être retiré sans risque. Vivre avec était une sorte de rédemption. Elle lui faisait se rappeler de ses amis, qu'il avait perdu tragiquement.
La deuxième fois que la blessure c'était ouverte, était lorsque, faisant le con, il avait eu un accident de moto. L'engin avait glissé, c'était couché, et avait projeté le brun sur plusieurs dizaines de mètres, sur l'épaule. il n'avait heureusement rien eu d'autre que ce petit soucis. La dernière fois qu'elle c'était ouverte, c'était à peine trois semaines avant, alors qu'il travaillé d'arrache pied au magasin. Un stupide faux mouvement en portant des caisses de Cd. Le médecin l'avait réprimandé, lui avait dit d’engager un employer. Le brun avait promit, et n'avait rien fait. engager un petit merdeux qui ne s'y connaissait rien pour tenir SA boutique? Et puis quoi encore. Non il préférait bosser seul, c'était plus... libre.

Le brun regarda la flic. Elle semblait assez paniqué par le sang qui transpercé le fin t-shirt que Braeden avait passé vite fait ce matin, en pleine canicule. La tache n'était pas large, mais suffisait à déstabiliser le militaire à la retraite. Il n'aimait décidément pas le sang. Ce fut sa raison pour tourner la tête, l'air concentré sur un point au loin. Il fallait qu'il aille aux urgences, qu'il face recoudre ça. Les internes commenceraient à être habitué. Il ne sentait plus son sang ruisselé sur son visage. Celui ci perlait près de la plaie, calmant sa course folle. Tant mieux, il ne voulait pas bousillé plus que ça son t-shirt. il ne le reporterait plus, ça c'était sur. le sang est lavable, mais il ne supporterait pas l'idée d'en voir ne serait ce qu'une infime trace à nouveau sur le morceau de tissus.

Il regarda au loin avant de tourner son visage vers la femme. Elle ne semblait pas très vieille. il se demanda un instant si elle était du coin, depuis combien de temps. Il était presque sur que la brune lui disait quelque chose; il l'avait peu être croisé au détour d'une rue, ou bien sur les bancs de l'école, il y a longtemps. Il ne savait pas, et la il s'en fichait un peu. Elle lui avait totalement manqué de respect, et il détestait ça. Il allait lui jeter ses excuses à la figure quand il se dit que ce serait plus marrant de la faire tourner en bourrique. Il se mit alors à chanceler, exagérant à peine, et murmura faiblement, comme pour lui même malgré qu'il était conscient d'être au centre de l'attention. "Oh, je me sens mal... comment vais je faire pour conduire la moto...." il gémit légèrement, comme désespéré, et la regarda. [color:7897= #EB6C47]"C'est de ta faute Lily Cole, t'as intérêt à réparer ça.." Il lui sourit, conscient de l'effet de salopard qu'il donnerait. Pourtant il saignait, et ne faisait pas semblant. Si la jeune femme le laissé ainsi, elle aurait de sacré problèmes hiérarchiques, ils le savaient tout deux. Il se redressa et s'approcha d'elle, grimaçant légèrement. [color:7897= #EB6C47]"Où est ta voiture la belle?" Il lui fit un clin d'oeil tout en se tenant l'épaule. Oh oui, ça allait être bien plus marrant qu'il ne le pensait.


excuses moi pour l'horrible retard :(
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MessageSujet: Re: La loi, c'est la loi - BRAEDEN & JANE La loi, c'est la loi - BRAEDEN & JANE EmptyMer 18 Avr 2012 - 20:28

**Lorsque le jeune homme se mit à saigner de plus belle. La jeune lieutenante paniqua, ce n’était certainement pas en lien avec la vue de ce liquide rougeâtre qui empêchait certaines personnes de rester sur ses pieds, elle avait vu bien pire que cela, mais surtout parce qu’elle semblait en être la cause. Elle avait peut-être frappé l’inconnu au visage avec son arme déchargé, mais elle ne lui avait pas tirée dessus pour autant, elle pouvait en être certaine, surtout que la brune n’avait pas de balle à l’intérieur de celle-ci et qu’aucun coup de feu n’avait été entendu. Elle fronça les sourcils face au brunet qui faiblissait de minutes en minutes.**

« Non, mais putain, tu déconnes complètement, j’ai certainement pas tirée sur toi, tu as entendu un coup de feu toi, quelqu’un a entendu un coup de feu ? »

**La colère montait toujours à l’esprit de la jeune femme originaire de la ville. Elle était en rogne après son interlocuteur, ne sachant pas non plus que dans leurs jeunesses, ils avaient été des amis. La jeune Wellington entendit alors une femme s’exclamer « oh mon dieu, elle lui a tiré dessus. » Jane rougit de colère, on aurait presque pu voir ses yeux sortir de leur orbite. Elle se tourna, lança un regard furtif à la vieille dame et dit.**

« Vous, la mégère, n’inventez pas des histoires ! Mon arme est déchargée, combien de fois il faut que je le dise ! »


**Elle tira sur le plancher à deux reprises pour montrer ses paroles. Elle rangea à nouveau son fusil dans sa ceinture, regarda les clients terrifiés et reposa son regard sur le jeune homme. Elle passait pour le méchante présentement, ce qui n’était pas à son avantage. Elle fronça les sourcils, attrapa le bras de l’homme et dit.**

« Parfait, mon camion est là-bas… allons y ! »

**Elle l’aida à monter à l’intérieur, ne prenant pas non plus la peine de remarquer si du sang coulait sur ses bancs. Elle possédait un camion neuf, mais de l’amener à l’hôpital était le plus important. Wellington roulait à toute vitesse, elle activa la sirène d’urgence qu’elle possédait sur son véhicule, après tout, il devait arriver là-bas avant qu’il ne tombe dans les pommes.**

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