WELCOME TO DETROIT Gabrielle A. Robbins AGE : 32 NOMBRE DE CONTACTS : 467 ANNIVERSAIRE : 13/10/1992 EN VILLE DEPUIS LE : 09/08/2012 AVATAR : Katharine McPhee
| Sujet: Comme dans un livre ouvert - CLOVER & GABRIELLE Jeu 14 Mar 2013 - 19:47 | |
| Cela faisait un moment que Gabrielle Robbins fut agressée. La mère de famille avait perdu son enfant, kidnappée par une cinglée et maintenant, elle se retrouvait encore plus perturbée par toute cette mésaventure. La brunette avait quand même vu son mari disparaitre dans la nature, son restaurant diminué en chiffre d’affaire et ses affaires la repousser. Que lui restait-elle maintenant mise à part Carol-Ann, son autre fille ? Une chance qu’elle pouvait compter sur elle, sans ça, elle serait vraiment sur le bord de la folie – bien que ce n’était pas très long pour elle – hospitalisée depuis plusieurs semaines, la femme n’arrivait pas à reprendre de son énergie. Elle ne savait pas comment se sortir de toute histoire sans oublier le suivi psychologique qu’on lui obligeait à subir. Gaby était confuse et totalement perdue. La mère de famille n’avait plus la force de s’occuper de sa fille durant un temps. Elle venait souvent à sa chambre, mais ne pouvait pas rentrer chez elle pour l’instant. Robbins tentait de souffler, mais ça lui démangeait sérieusement le creux de l’estomac. La chef cuisinière reçut récemment une visite plutôt contrariante – sachant que son histoire avait fait la première page du Detroit News et les manchettes du BTV News. Un homme l’avait approché pour publier son histoire dans un livre, ce qui avait perturbé la brunette qui n’avait certainement pas envie que toute la ville connaisse son histoire, c’était déjà assez pénible comme ça, de vivre comme étant la femme qui avait peut-être tuée son mari et ensuite qui avait été agressé dont l’enfant avait été enlevé à la naissance. Une panique l’avait envahie. Gab s’était mise à criser et à tout lancer autour d’elle, laissant la sécurité expulser cette homme. Robbins se trouvait un peu plus calme à l’instant même dans sa chambre. Elle fixait le plafond sans rien faire d’intéressant. |
|