Pizza or not Pizza, that is the question ! // Lauryn
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WELCOME TO DETROIT
Adam W. Swanson
AGE : 27 NOMBRE DE CONTACTS : 173 ANNIVERSAIRE : 21/04/1997 EN VILLE DEPUIS LE : 10/08/2012 AVATAR : Matt Bomer
Sujet: Pizza or not Pizza, that is the question ! // Lauryn Jeu 1 Nov 2012 - 21:33
Pizza or not Pizza, that is the question !
Lauryn & Adam
Le crayon grattait le papier, mes yeux bleus pâles scrutaient chaque signe, chaque lettre, chaque nombre. Ma main s'hasarda vers le délicieux nectar qui allait encore me faire tenir une dizaine de minutes. Épuisé, lessivé, utilisez le mot que vous voulez pour définir que je suis complètement crevé et que je tuerai un ours pour dormir dans sa fourrure, quelle image joyeuse d'ailleurs. Je léchais mes lèvres complètement déshydraté tandis que ma main et mon cerveau essayait de résoudre ces équations à une allure dont même moi... à nan ça marche pas dans ce sens... dont moi seul arrive à aller ? Quoi de mieux pour s'endormir que des maths, vous voulez calculer avec moi ? Allez on sort les calculettes et on... oué bon j'arrête c'est pas drôle... L'ambroisie du travailleur, le café si vous êtes des incultes c'est à dire la moitié de mes lecteurs... moi narcissique ? JAMAIS ! Enfin juste un brin, de toute façon vous pensez tous que je suis le Dr. Frankenstein... bah en fait c'est ça sans l'accent russe. Bref j'arrête de raconter ma vie... enfin si je dois la raconter justement suis-je saut. Vous l'aviez compris, je bosse dans mon appartement. Mon zooooulie appartement tout moderne tout beau tout propre où t'as une tâche sur le sol bah... tu vois que ça. Du noir jusqu'au blanc, moderne quoi. Certain me disent que c'est déprimant, ce qui est drôle c'est que généralement c'est les gars de quarante ans, avec trois gosses et une femme -ou deux ça arrive- qui me disent ça... bah oui il faut bien critiquer quelque chose dans ma vie si parfaite alors que la leur est calamiteuse, sans intérêt, emmerdante, chiante, mélodramatique etc avec des trucs tout moches pas beau et des bisounours hypocrite armé de pelle et de tronçonneuse électrique. Ma main continuais d'effectuer son ballet sur le papier qui commençait à ressembler à... à rien justement. Tout ça pour vous dire que je bois mon café et que je résous une équation... si c'est pas de la magie qu'est ce que c'est franchement !
L'heure tournée, enfin l'aiguille de la pendule qui fait le « tic tac » assourdissant comme quoi les horloger en fait sont des gros sadiques enfin je ne vais pas me lancer sur le sujet sinon on n'a pas fini me connaissant. Je me relevais finalement soupirant d'avoir enfin clos ce foutus dossier sur les molécules du LSD (Merci Ethan pour l'idée 8D) pour vouloir récupérer certain de ses effets et ainsi créer une autre drogue artificielle enfin vous vous en foutez ou vous vous dites « What the... c'qui ce mec ? » bah euh... voilà quoi ! Je finis la dernière goutte de caféine de mon précieux gobelet avant de faire de gracieusement le lancer à la corbeille à l'opposer de la pièce. Je passais une main dans mes cheveux façon l'Oréal pour un peu mieux me réveiller et surtout me mettre d'aplomb pour aller faire à bouffer.
J'entre enfin dans la cuisine pour ouvrir un placard ! Pâtes... riz... purée... pâtes... de quoi déprimer non ? Qu'est ce qu'on va faire de toi franchement Adam... -oui j'ai mes moments de schizophrénies et alors?-, un soupire las sortit de mes lèvres. Que faire ? Trois solutions s'offraient à moi, preniez vos boîtiers et votez !
A – Je fais à bouffe et je mange dans 3 ans B – Je mange pas et je crève en silence C – Je sors aller me faire un resto' ou un truc à emporter
Je sais que vous avez tous hurlé « LA B LA B LA B !!! » comme des attardés, mais je vous ne ferais guère ce plaisir, donc on je vais prendre la C ! Le manteau, les chaussures et on se casse dehors !
L'air était frais, la ville pour un vendredi soir était plutôt calme, le froid a dû sûrement les faire déprimer... ou un truc du genre. Ma respiration créer un filet de vapeur, c'est à ce moment que je me dis que la proposition B n'était pas si conne en fin de compte. Bref ! Je bravais le froid tel un panda dans une forêt de bambous ! Armé de mon fidèle chapeau qui avait du mal avec le vent glacial qui me faisait de face. L'enseigne d'une pizzeria apparut comme par miracle devant mon nez frigorifié. Une idée effleura mon esprit de savant fou. J'entrai donc dans le restaurant italien et je pris une pizza a emporter. Je me dirigea vers un immeuble plutôt luxueux, j'entrais dans le sas avant de gravir les marches ayant la flemme d'attendre l’ascenseur -oui ça m'arrive parfois...- . J'arrivais devant cette porte de bois tendant mon précieux doigt complètement gelé sur la sonnette. Il fallut attendre une ou deux minutes avant que l'antre du monstre s'ouvre : « Hey Lauryn ! Je suis en manque de bière et je me disais que t'en avais forcèment ! Nan je blague, je veux juste partager avec toi noble dame un noble diner que j'ai noblement chassé dans ce noble froid qui m'a noblement endolorit tous les muscles ! Donc tu as le choix, sois tu acceptes ma noble proposition et on passe une soirée à rire comme deux vieux copains se remémorant leurs premières fois ou sois tu me laisses comme un chiot tout sale dehors dans ce froid glacial à manger timidement ma pizza en mode forever alone... Sinon ça va toi ? Toujours pas de truc qui sert de gosses ou de paillasson avec un Welcome dessus ? » Depuis quand je suis direct ? Légèrement direct alors... mais avec mon sourire colgate attention attention !
Sujet: Re: Pizza or not Pizza, that is the question ! // Lauryn Mer 14 Nov 2012 - 12:04
Pizza or not pizza ? Ft. Adam H. Okyrrd & Lauryn A. Edenson
Welcome to the new age ! To the new age ! Ohohoh ! I’m radioactive ! I’m radioactive ! La musique était à son volume maximal. Et Lauryn se déhanchait ridiculeusement dans sa salle de bain, pince à épiler dans la main et cheveux en chignon déstructuré sur la tête. C’était le début de ses jours de congé tant mérité, et qu’elle avait réussit à obtenir après un peu plus de vingt demandes auprès du patron de la banque. Elle regrettait un peu d’avoir usé de son charme pour favoriser son jugement, mais elle était satisfaite de ce que pouvaient faire ses beaux yeux. Elle avait enfin pu se permettre une grasse matinée, pour la première fois depuis… un bon bout de temps. Se trémoussant toujours au rythme de la musique, la jeune fille se dirigea vers sa chambre, et regarda sa montre, il allait presque être dix-huit heures. Elle vivait vraiment étrangement ces derniers temps, elle se réveillait à midi et passait sa journée à trainer, pour enfin s‘activer le soir venu. Elle passa un jean et un pull , histoire de rester décontracté. Elle n’avait pas l’intention de voir qui que ce soit ce soir, et ce n’était pas plus mal que ça, parce qu’elle avait envie de s’octroyer du temps pour elle. A croire qu’elle avait dix fois plus de travail qu’avant, et elle en avait plus qu’assez des chiffres. Donc elle savait qu’elle allait se faire une soirée film à manger un tas de choses mauvaises pour la ligne et elle s’en contenterait très bien. Elle s’installa alors mollement sur le canapé, éteignant la chaine hifi au passage et allumant la télévision. Le contact froid du jeton métallique qu’elle portait toujours autour du coup la fit frissonner, alors elle le mit au dessus de son pull, et le garda en main. Le regard vide, elle l’inspecta longuement, comme si elle venait de la découvrir. Elle s’était toujours dite que d’une certaine manière, Jaymes serait toujours avec elle si elle continuait de garder ce précieux symbole sur elle, constamment.
La jeune fille fut tirée de ses pensées lorsqu’elle entendit le bruit de la sonnerie. Un peu ennuyée, elle se leva difficilement pour atteindre la porte et regarder par le judas de la porte. Oh tiens Adam ! Avec empressement, elle tourna la clé et ouvrit la porte. Elle ne pu s’empêcher d’éclater de rire devant le monologue de son meilleur ami depuis un sacré bout de temps maintenant. Elle prit un faux air contrarié en haussant les sourcils, « Si je prends la pizza et que je te laisse dehors ca te va ? » Elle sourit alors de toute ses dents, et reprit, « Allez va, c’est bien parce que j’ai pitié ! ». Elle s’écarta pour le laisser entrer, et tourna à nouveau le verrou. « Les paillassons c’est pas joli et en ce qui concerne les gosses, avec qui tu veux que j’en fasse ? Le facteur ? » Lauryn se laissa tomber à nouveau sur son grand canapé, « Et toi ? Les minettes blondes et compagnie ca va ? » Elle savait quel genre d’homme était Adam, ce genre d’homme qui collectionnait les filles et compagnie. Le contraire de Jaymes quoi. Oh Lauryn pitié arrête de tout ramener à lui bon sang ! Ce qu’elle ne savait simplement pas, c’est que ce n’était pas elle qui allait mettre le sujet sur le tapis en premier
AGE : 27 NOMBRE DE CONTACTS : 173 ANNIVERSAIRE : 21/04/1997 EN VILLE DEPUIS LE : 10/08/2012 AVATAR : Matt Bomer
Sujet: Re: Pizza or not Pizza, that is the question ! // Lauryn Mer 14 Nov 2012 - 16:42
Pizza or not Pizza, that is the question !
Lauryn & Adam
Toujours aussi radieuse, ses cheveux blonds m'ont toujours fait penser aux femmes blondes dans les pub l'Oréal qui font genre qu'elles étaient désespérées et que grâce à l'Oréal elles ont retrouvé le goût de vivre... c'est un compliment... si si je vous jure ! Je penchais légèrement la tête en la voyant habiller en mode « je vais passer ma soirée à bouffer de la glace devant la télé parce que j'ai une vie déprimante »... une tenue décontractée oui ! « Si je prends la pizza et que je te laisse dehors ça te va ? », mon cerveau pris un léger temps à comprendre la phrase, je pense commencer à déteindre sur elle, je ne sais guère si c'est une bonne nouvelle ! « Allez va, c'est bien parce que j'ai pitié ! », elle s'écarta pour me laisser le passage libre, mon sourire s'accentua me taisant légèrement pour ne pas avoir l'air méchant ou claquant car parfois oui, je réfléchis aux conséquences de mes paroles. J'avançais doucement, mon regard indiscret aimanté par le moindre indice d'une liaison, meurtre, gosse caché, drogue, arme à feu, terrorisme, viole, harcellement, je suis du genre l'ami qui fourre son nez dans tout se tapant des conséquences, et alors ? « Les paillassons c'est pas joli et en ce qui concerne les gosses, avec qui tu veux que j'en fasse ? Le facteur ? » Je souriais une nouvelle fois, dans un sens je ne voulais pas vraiment la croire car elle avait tout ce qu'un homme souhaite : une poitrine et un fessier en or massif. Car oui, le prédateur mâle aime les choses rondes qui vont par paire... je ne vais pas faire l'allusion à autre chose de rond qui va de pair et qui appartient à l'homme ça serait incorrect... puis de toute façon ce n'est pas rond donc je ne peux faire cette blague de bas niveau digne d'un chimpanzé en rute se frottant contre un lampadaire fuchsia illuminé par un dromadaire mauve qui fait de l'accordéon, noté l'absurdité de ma comparaison. « Bah ça dépend, puis je te verrais bien avoir une relation avec un homme marié et faire ça en douce tout en étant copine avec sa femme... enfin c'est plus de mon niveau, mais bon... on sait jamais ! ».
Mon sourire s'intensifia, je ne pouvais le nier, j'étais heureux de la revoir néanmoins quelque chose m'irritait, un changement ou... je ne sais pas. « Et toi ? Les minettes blondes et compagnie ca va ? », je la regardais avant de rire et de m'installer à côté d'elle sur ce canapé posant la fameuse et tant voulue pizza sur la table basse. Un sourire cynique ce dressa, ce sourire arrogant et joueur que j'ai très souvent : « Bah... j'en ai largué une par texto donc elle ne doit pas être de bon poil, une autre a découvert une liaison, elle a mit quand même un temps à comprendre que je la trompais quand même, elle a presque battu le record de « la fille la plus lente à comprendre », mais que veux-tu, l'amour niais rend aveugle. Et une autre dont j'ai passé trois soirées de suite sans connaître son prénom que je n'ai pas revu depuis... je crois que je l'ai vexé en disant que faire l'amour avec elle c'était comme retirer à un bonbon son emballage... elle était vierge pour la petite histoire... et euhm... après il y en a deux, trois filles qui doivent pleurer en croyant qu'elles avaient trouvé le grand amour enfin tout le blabla insignifiant du fantasme d'une vie en couple... ». Je penchais légèrement la tête avant de rire une nouvelle fois. Je me relevais : « Je vais chercher deux assiettes, j'espère que tu ne les as pas changé de place depuis ! Au fait, tu comptes faire quoi pour tes fameux congés que tu demandes depuis si longtemps ? », je reviens avec deux assiettes, deux verres et une bouteille d'alcool : je connaissais son appartement par coeur, je peux même vous dire quel tiroir contient ses soutifs ! « Tu comptais peut-être m'attacher à un radiateur, me séquestrer et violer sauvagement ma beauté infinie héritière d'Apollon durant plusieurs jours ? ».
Les blagues de ce genre étaient fréquentes entre nous deux, on se cherche mutuellement et une complicité particulière s'est formée au fur et à mesure, c'est ma plus grande amie et elle n'a pas fini une fois dans mon lit. C'est à marquer dans le guide des records ! En même temps elle me connaît depuis mes dix-ans environ, du temps où je bossais dans un bar paumé en étant musicien pour payer mes études qui m'ont propulsés dans les plus grandes fortunes des U.S.A. « Tu connais la dernière nouvelle au fait ? Jaymes va se marier ! Et le pire dans tout ça c'est qu'il m'invite... moi ! Je déteste les mariages, y'a que des grosses au buffet, les blondes parlent de leurs enfants et de leur régime, les brunes sont déprimés parce qu'elle trouve pas le grand amour, les rousses sont snobs et la majorité des gars ont deux de quotient intellectuel se noyant dans la bière pour devenir des porcs et faire groin groin à chaque fois qu'ils voient une paire de seins... ». J'ouvrais la boite en carton dévoilant la pizza qui fit sauter mon estomac de bonheur, je lançais un regard à Lauryn, quelque chose dérangeait toutjours, je calmais mes ardeurs en coupant en plusieurs tranches la délicieuse nourriture en face de moi : « Toi ça a pas l'air d'aller... crise de la trentaine ? », un nouveau sourire naquit sur mes lèvres, mais celui là était inquiet et compatissant, c'est-à-dire le plus rare de tous... à part le sourire amoureux que je n'ai évidemment jamais fait... bref !
Sujet: Re: Pizza or not Pizza, that is the question ! // Lauryn Dim 16 Déc 2012 - 14:51
Pizza or not pizza ? Ft. Adam H. Okyrrd & Lauryn A. Edenson
Beaucoup de personnes normales auraient pu être complètement sidérés ou choqués par les propos de cette énergumène immoral. Mais à force, la jeune fille s’y était habituée, tout simplement parce qu’elle le connaissait depuis ses seize ans et qu’elle l’avait vu évoluer. C’est avec un amusement non dissimulé qu’elle lui rétorqua, « Oh oui c’est vraiment mon genre ! Et puis de toute façon tu sais très bien que je me sentirais tellement coupable que je ne finirais pas tout avouer en pleurnichant ! » Lauryn retourna s’affaler sur son canapé, après tout c’était lui qui était venu sonner à sa porte avec des cartons à pizzas dans les mains. La blondinette grimaça et administra une tape derrière la tête de son ami, « Non mais ça va pas ! Tu sais que t’es vraiment dégueulasse avec ces pauvres filles ! Je sais pas tu pourrais au moins leur servir des trucs comme : c’est pas toi, c’est moi ou j’ai besoin de temps pour réfléchir. Ou alors dit que tu dois quitter la ville parce que t’as une mission importante au fin fond du Guatemala ! Enfin je sais pas un peu d’imagination, histoire de moins les faire souffrir ! », s’exclama-t-elle. Adam était ce genre de garçon qu’elle détestait, combien avait-elle du jouer la petite amie qui piquait une crise pour le sortir d’un mauvais plan avec une fille collante. D’un signe de tête, elle lui indiqua que, non elle n’avait pas changé les assiettes de place, « Ben enfait, je suis en congé là, j’ai réussis à jouer ma pauvre petite fille désespérée. Et toi tu travailles pas ? » A la suite de sa phrase , Lauryn fit mine d’avoir en envie de vomir en mettant ses doigts devant sa bouche, « Tu te fous de moi ? Je te veux je te désire depuis toujours Adam, tu devrais le savoir, tu devrais même pas avoir à poser la question ! », dit-elle en lui adressant un clin d’œil.
La suite de la conversation la cloua sur place. Avait-il bien dit Jaymes ? Non, il avait dut dire James, Eames, Jake ou n’importe quel autre prénom que celui de son ex-fiancé. Elle bondit sur lui, « Jaymes ? MON Jaymes ? Jaymes le patron du casino ? Mon ex ? Il se…QUOI ?! » Les yeux écarquillés, elle n’avait plus du tout envie de manger quoique ce soit. La blonde tapa son ami sur l’épaule à plusieurs reprises, « Dit moi que c’est une de tes nouvelles blague, je t’en supplie ! » Lauryn réagissait comme une hystérique, mais c’était juste inconcevable, elle ne voulait pas que Jaymes se amrie, parce que c’était un point…de non-retour. S’il se mariait, elle ne pourrait plus jamais avoir l’éventualité de le reconquérir, jamais. D’un bond elle se leva et se planta devant son ami. « Non ! J’ai même pas encore trente ans Adam ! », elle se remit assise alors côté de son ami en mettant sa tête dans ses mains, « Et dire que je passais une bonne journée…avec qui il se marie ? Et pourquoi il t’invite toi, sérieusement ? » Pour l’instant, elle était plus surprise et bouleversée que triste, mais cela ne saurait tarder.
AGE : 27 NOMBRE DE CONTACTS : 173 ANNIVERSAIRE : 21/04/1997 EN VILLE DEPUIS LE : 10/08/2012 AVATAR : Matt Bomer
Sujet: Re: Pizza or not Pizza, that is the question ! // Lauryn Dim 16 Déc 2012 - 16:34
Pizza or not Pizza, that is the question !
Lauryn & Adam
Un nouveau sourire se créa entre mes lèvres, amusé par ses reproches sur le fait que je manque légèrement de compassion, d'humilité et de pitié. Je vais aucunement la démentir ça serait hypocrite de ma part, mais cela ne me dérange pas plus que. Sans-coeur ? Bien sûr que je le suis vous vous êtes imaginé quoi ? Je prenais la délicieuse nourriture dans une petite assiette, mes yeux et mon ventre obnubilés par l'odeur qui s'imprégnait dans la vapeur de la recette italienne. Ma langue parcourue ma rangée de dents supérieures, ce petit tic que j'ai toujours quand mes désirs les plus vicieux se réveillent et que j'ai envie de me jeter sur l'objet de mes fantasmes pour la mordre avec passion et me délecter de ces délicieuses saveurs, non, ca ne devient absolument pas glauque. J'essayais en même temps de l'écouter dire que j'étais le pire des salauds, que je devrais avoir plus de coeur et d'empathie. Choses qui se sont cassées il y a bien longtemps de l'organe en métal que j'ai dans la poitrine.
Il y eu un léger éclair dans ses yeux quand je me mis à parler de ce fameux Jaymes qu'au fond je connaissais que de vue et que je n'aime pas trop... sans doute sur le fait que Lauryn à pester sur lui durant des heures et des heures après leur séparation et que j'étais là à écouter une bière à la main lui disant de se trouver un autre mec pour changer et d'oublier l'autre serpillière. Dans un sens quand il était là je ne pouvais pas m'incruster chez elle comme ça, je ne pouvais pas faire de métaphore poétique sur nous deux coucher l'un contre l'autre en train de faire sauvagement l'amour ou chose dans ce genre, c'est très frustrant je vous l'assure. « Jaymes ? MON Jaymes ? Jaymes le patron du casino ? Mon ex ? Il se...QUOI ?! », mon sourcil s'arqua en la voyant se défouler sur mon épaule ne comprenant pas réellement ce qu'il se passait là tout de suite. « Dis moi que c'est une de tes nouvelles blague, je t'en supplie ! ». Ma tête se pencha légèrement et un doux sourire s'afficha sur lèvre bouche entre-ouverte un peu choqué je dois l'avouer : « Je vois... ». Je plaçais mes jambes en tailleur en la voyant se relever avant de rire doucement à sa remarque sur son âge trop absorbé par sa réaction. « Et dire que je passais une bonne journée...avec qui il se marie ? Et pourquoi il t'invite toi, sérieusement ? » Je secouais la tête en haussant des épaules ne sachant aucunement qui était le thon prit dans le filer légèrement refroidit.
Elle se rassit enfin, je suivis son regard moins amusé qu'en début de soirée pensif pour une fois avant d'appuyer mon menton sur son genoux assez calme et posé en finissant par murmurer : « Tu as encore des sentiments pour lui, hein ? » je fixais un instant ses yeux mes lèvres dénuées de sourire cherchant à la dénudé entièrement et recherchant surtout ce qu'elle ressentait là tout de suite. Je secouai la tête avant de soupirer : « Désolé de te l'avoir dit comme ça... ». Je redressais mon crâne un brin l'air préoccuper, je me redressais du divan me posant un genoux au sol juste devant elle prenant sa main pour enfin l'observer un sourire nouveau sur mes lèvres prenant à deux mains mon rôle de meilleur ami ce qui est a marqué d'une pierre blanche ! « Tu devrais passer à autre chose Lauryn, depuis que tu n'es plus avec lui tu te terres plus dans ton appartement qu'autre chose et tu deviens rare dehors là où il y a une vie active... » je penchais la tête posant à nouveau mon menton sur son genoux. « Et évite de me faire la gueule toute la soirée ou de faire la moue toute la soirée j'arrive pas encore à me marrer tout seul... », je lui donnai une petite tape au genoux avant de me relever pour me remettre à côté d'elle un sourire léger aux lèvres prenant les deux bières en main pour lui tendre une et décapsuler la mienne trinquant avec elle : « A nous et notre merveilleuse amitié qui dure sans que l'un ait violer l'autre ! ».
Sujet: Re: Pizza or not Pizza, that is the question ! // Lauryn Mar 15 Jan 2013 - 14:53
Pizza or not pizza ? Ft. Adam H. Okyrrd & Lauryn A. Edenson
La jeune fille n’en revenait pas, mais d’un côté qu’avait-elle bien pu espérer ? C’était elle qui lui avait dis de se trouver une femme qui aimerait l’argent, et qui se contenterait de cela. Et elle espérait que cette future mariée ne partage pas plus avec lui. Oui, c’était égoïste, mais il ne fallait pas se mentir, même en se sacrifiant pour leur bonheur à tous les deux, il lui était insupportable de l’imaginer en aimer une autre. Et l’était encore plus l’idée qu’il s’engage avec quelqu’un d’autre pour la vie. Ils auraient des enfants, une grande maison tape à l’œil… Le jeune fille secoua la tête, elle était à la fois triste et en colère, ce qui était assez difficile à expliquer. C’était une partie d’elle-même qui se fissurait, encore une fois, tout s’effondrait, comme d’habitude. Capricieuse, egoiste, opportuniste, c’était ce qu’elle ne voulait pas être, et pourtant elle ne voulait pas qu’il se marie, il ne devait pas se marier, non c’était une erreur. Rompre avec lui avait été une erreur. Et maintenant elle savait, elle savait à quel point cela faisait mal de se savoir ignoré par la personne qu’on aime, et elle s’en voulait à mourir, elle regrettait, tout, du début à la fin. Oui, à l’époque, elle avait pensé que c’était ce qu’il y avait eut de mieux à faire, mais la douleur au creux de son estomac qui ne s’était pas estompée depuis, lui démontrait bien qu’elle n’avait pas fait le bon choix. « Bien sur mais tu vois c’est pas facile. J’ai rompu avec lui pour qu’il puisse évoluer, et ne pas m’avoir à son crochet comme une de ces nunuches cupides qui se contentent de dépenser l’argent que leur maris amènent à la maison. Je savais qu’il ne pouvait pas me donner les deux, et je savais aussi que même si à l’époque il m’affirmait le contraire, j’étais pas faite pour lui, du tout ! La jeune fille s’arrêta de parler un instant parce qu’elle avait déversé un flot de paroles incontrôlable et qu’elle n’avait laissé aucune opportunité à Adam d’en placer une.
« Tu vois, maintenant je me dis que j’ai fait une erreur je peux pas le laisser en épouser une autre. C’est mon âme-sœur, Adam. Je sais que vu comment tu vis et considère l’amour tu vas avoir du mal à savoir ce que je ressens, mais c’est comme ça. » Lauryn prit une profonde inspiration pour regarder son meilleur ami dans les yeux et lui sourire du mieux qu’elle le pu. D’un geste elle saisit sa bière et trinqua avec lui avant d’en boire une gorgée. « Oui on tiens bon ! Tu parles si t’avais voulus me sauter dessus je me serais surement pas laissée faire aussi beau sois tu ! » Lauryn eut tout un coup une idée qu’elle pensa être du génie, « Oh mais c’est ça ! C’est ça l’idée ! » D’un bond elle se rapprocha de son ami un large sourire aux lèvres, « Pas qu’on se saute dessus bien sur vas pas te faire d’idées.. mais veux-tu m’épouser pour de faux ? Comme ca je viens avec toi au mariage sous la couverture de fiancée et par la suite je trouve un moyen de voler le marié ! » Alors elle gratifia son meilleur ami d’un rapide baiser sur la joue, « Dis oui, dis oui, dis oui ! »