Quand le Starbucks est bondé mais que la vie sociale est inexistante.

•• Dean Roksan Bennett venait de rester debout pendant près de 4 heures, et elle était épuisée. Ses collègues ne lui avaient pas dit qu'elles déjeuneraient ensemble, c'est à dire sans elle, dans un restaurant très chic. De toute façon, Dean n'aurait même pas de quoi payer un simple cocktail. Elle avait déjà dépensé beaucoup d'argent pour ses dépenses inutiles lors de la récente fête qui avait eu lieu hier. Elle avait donc préparé elle même un maigre sandwich composé d'une pauvre tranche de jambon coincée entre deux tranches de pain presque rassis. C'est avec soulagement qu'elle retira son affreux ensemble Starbucks et sortit de la partie réservée aux employés pour essayer de trouver une place dans la cafétéria même. Ce qui n'était pas une tâche facile. A peine avait elle fermée la porte qui séparer la partie réservée au clients de la partie des employées qu'elle fut effrayée par la masse de clients. En effet, il était une heure de pointe et il fallait s'y attendre, beaucoup de personnes avait les moyens de venir se payer un petit quelque chose ici. Elle scruta chaque tables, dans l'espoir de trouver une petite place pour manger son ridicule petit sandwich. Il y en avait bien une de place, en face d'une jeune femme blonde (ce devait être la treizième blonde qu'elle avait vu aujourd'hui), mais Dean était très timide et n'osait jamais aborder les gens comme ça. Mais il fallait qu'elle le fasse, sinon, la place serait vite prise par un buisness man très pressé, visiblement très attentif lui aussi. Elle se décida finalement a demandé si la place était libre, d'un air stupide, avec un sourire de vraie blonde.

DEAN • Excusez-moi mademoiselle, pardon de vous déranger alors que vous déjeuner bien tranquillement (quelle abordage stupide, pensa-t-elle). Mais il n'y a plus que cette place, je peux ?

**Aujourd'hui Juliette Weaver ne
travaillait pas aujourd'hui. Elle était crever après avoir bosser
toute la semaine avec des horaire de fou, le manque de personnel au
service des urgence l'avait fait se coucher au alentours de 5-6
heures du matin. La blonde décidât donc de ne rien faire, dormir
était l'une des seules choses dont elle avait envie. Sauf qu'il
était 12h45 et que son estomac commençait a crier famine. Quelle
mauvaise idée de ne pas déjeuner, en même temps elle venait tout
juste de se lever. La flemme et l'habitude amenèrent Juliette à ce
décider pour manger au Starbucks, depuis quel avait son poste a
l’hôpital, Juliette n'avait quasiment jamais manger chez elle de
mauvaises habitudes très certainement mais c'était tellement plus
simple. Et puis elle n'avait jamais été douée pour la cuisine elle
se souvenait de la fois ou elle avait invitée quelque amis a manger,
ils avaient pour ne pas la vexée a peu près tous dis qu'ils était
allergiques au aliments présent sur la table. Cela ne l'avait pas
vraiment vexée car la belle blonde savait très bien qu'elle était
nulle pour cette tache. Depuis elle avait décider de ne plus faire a
manger elle même. Il était vrai que depuis cette décision son
budget alimentaire avait considérablement augmenté.



Juliette s’habillât à la hâte,
pour partir au restaurant, elle le savait le Starbucks serait bondé.
Mais la jolie blonde espérait que son beau minois lui permette
d'avoir une place assise. Dehors l'air était frais, plutôt étonnant
pour la saison. Elle adorait être dans la rue voir les gens qui
étaient pressée, ceux qui râlaient quand les transport en commun
ne fonctionnaient pas. Weaver se demandait si elle aussi avait cette
tête quand elle était en retard pour le travail. Question idiote
bien sur quelle détestait quand son bus qui l'amenait au travail
était en retard. Éric le chauffeur, était un amoureux de la
bouteille, mais par un quelconque miracle il y avait jamais eu
d'accident. Par contre ces innombrables gueules de bois le rendait
très lent.



Là voilà devant le Starbucks, comme
elle l'avait prédit il y avait du monde mais pas suffisamment pour
qu'il ne restât plus de place.La blonde commendat une salade et
milk-shake a la fraise, son préféré. Après avoir récupéré son
repas, Juliette s’installât a petite une table ronde, coté
banquette.


Quelque minute plus tard le restaurant
était plein a craquer, Weaver se félicitât en silence d'être
partie un peu en avance.



Juliette pageait quand un jeune femme,
s’approcha d'elle.


Excusez-moi
mademoiselle, pardon de vous déranger alors que vous déjeuner bien
tranquillement. Mais il n'y a plus que cette place, je peux ?



Pourquoi pas ? Un
peu de compagnie ne lui ferait pas de mal. L’inconnue n'avait pas
l'air désagréable bien que peu sure d'elle.

Bien sur! Juliette lui servit son plus beau sourir. Je ne vous ai jamais vue ici, vous êtes de passage ?

•• Dean fut enchantée de pouvoir trouver une place. Le buisness man avait choisi de partir et de manger certainement sur le chemin du retour, ce qui enchanta Dean puisqu'il l'avait dévisagé avec insistance. Elle s'assit en souriant et était plus que soulagée que la cliente lui eut posé une question. En temps normal, aucun Américain n'avait envisagé d'engager une discussion avec elle. Elle était plutôt réservée et se faisait souvent discrète. Mais il fallait que ça change, alors elle répondit avec (un peu trop) d'enthousiaste.

DEAN • Non non, à vrai dire je... Je travaille ici ! (elle sourit bêtement) Peu de personnes se souviennent de mon visage après avoir commander un de ces délicieux cafés. Je suis très discrète et je ne risque pas d'attirer un quelconque regard sur moi.

Dean eut alors l'impression d'en dire trois fois plus qu'elle ne l'aurait voulu. Elle sourit bêtement, l'air gêné. Elle sortit ensuite son pauvre sandwich de son sac et mordit légèrement dedans pour lui donner l'impression d'avoir plus de choses à manger. Elle regarda timidement ce que son interlocutrice mangeait et ça lui parut délicieux. Son regard se perdit dans la foule de clients. Parmi eux, il y en avait un qui ressemblait étrangement à Yann, son ex petit copain. Puis bientôt deux, trois, cinq... Tous ressemblaient à son ex petit copain. Même la personne qui lui avait céder une place. Ce devait être la fin qui lui donnait de telles hallucinations.

TOPIC ABANDONNÉ & VERROUILLÉ