Bastian & Constance

Constance Rebecca Swanson voyait sa vie basculer depuis un certain temps. Déjà, ses problèmes d’argents ne semblaient plus si gros depuis sa rencontre avec Jaymes Weeler, un riche homme d’affaire. La belle brunette était tombée amoureuse de ce charmant propriétaire de casino. Elle ne demandait rien de bien gros à cet homme, s’il l’appréciait pour ce qu’elle était, pourquoi ne pas en profiter. On ne pouvait pas dire que Constance était une mauvaise personne, elle adorait Jaymes, mais qu’il soit riche l’aiderait sans doute à être plus heureuse. Cela faisait un moment qu’elle était si pauvre qu’elle n’arrivait même pas à manger plus d’une boîte de biscotte sec durant la journée. Elle était endettée par-dessus les bras et c’était l’enfer cette vie. Enfin, aujourd’hui, elle soufflait. Avec un petit coupon rabais de chez starbuck, Constance pourrait boire l’un de leur délicieux cappuccino glacée et fouetté à la crème. Elle adorait ce genre de boisson, alors elle décida d’y aller. Elle devrait commencer prochainement son emploi en tant qu’hôtesse d’accueil au casino de Detroit, ce qui l’aiderait à garnir son portefeuille et à clore quelques dettes. Après avoir prise sa commande, la pétillante Constance prit place à une table où elle aperçut un homme qu’elle se souvenait bien désormais. Bastian, lui et elle avaient passé une soirée de débauche un soir, il y avait plusieurs mois de cela sous l’effet de l’alcool et elle s’en était voulu, surtout lorsque Mia avait appris que cet homme s’agissait de son meilleur ami. C’était clair, Mia ressentait un truc pour elle, alors aussitôt qu’elle l’aperçut, Rebecca tourna la tête pour qu’il ne puisse la voir.

© fiche créée par ell

Oups

Aujourd'hui j'avais vraiment de la peine à démarrer. J'avais passé la nuit chez Mia à la rassurer & à la consoler car son "copain" n'avait pas été sympa avec elle. C'est pas facile de réconforter la fille dont on est amoureux en secret, on a juste envie de la prendre par les épaules, de la regarder au plus profond de ses yeux & de lui dire à quel point on l'aime & qu'elle mériterai mieux... Bref ça c'était le scénario que je m'étais fait plusieurs fois mais évidemment, je n'avais rien dit, agissant juste comme son meilleur ami & la consolant dans mes bras, dans son lit... Il était près de 16 heures quand je quitta le lycée. Il allait absolument que je me réveille car je devais aller travailler... J'avais décroché un petit job au journal de la ville. J'écrivais des rubiques & de temps à autres j'amenai des photos pour les articles. Ce job me permettait d'économiser pour m'acheter une voiture & de pouvoir me payer à manger durant mon heure de pause à l'école. J'avais loupé mon bus, donc je me retrouva à marcher jusqu'au bâtiment ou le journal siégeait. En passant devant, je me dis que ça serait une bonne idée de me prendre une boisson avec un peu de caféine dedans. A la base je déteste le café, mais dans leur Iced Caramel Latte on ne le sentait à peine alors c'est ce que je prenais en général. Je rentrai dans le café & alla directement à la caisse, bizarrement il n'y avait pas de file d'attente, en général il faut toujours attendre des plombes, mais bon, je n'allai pas me plaindre! Une fois que j'eus récupéré ma boisson j'allai sortir quand je remarqua une jeune femme assise dans un coin. Elle me disait vaguement quelque chose... Celle-ci faisait tout pour éviter mon regard. Ah mais oui, ça me revint... Constance si je me rappelle bien de son prénom. On avait passé une nuit ensembles lors d'une soirée arrosée... J'en étais pas très fier d'ailleurs. Je sorti & couchai avec des filles pour pas que Mia se rende compte que j'ai des sentiments pour elle. J'avais deux possibilités; soit je sorti du Starbucks sans rien dire & je m'en voudrai d'être aussi mal poli, soit j'allai aller la voir & risquer de me prendre un vent parce qu'elle ne me reconnaitrait pas. Mais à en juger par son attitude, elle m'avait reconnu. Je m'approcha de sa table « Eh ben, qui aurait cru qu'on se croiserait ici! » C'était un peu gênant car Constance & moi avions pas mal d'années de différences & comme nous étions bourrés, je suppose que la situation était suffisamment gênante comme ça.

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