Travis Dallas Blackwood

ft. Milo Ventimiglia

NOM COMPLET: Travis Dallas Blackwood. AGE : 26 ans. EMPLOI : Photographe. SITUATION AMOUREUSE : Célibataire. ORIENTATION SEXUELLE : Hétéro. GROUPE : So What MON HISTOIRE « Misérable, je ne suis qu'un misérable. Quelqu’un qui finit mort sans qu’on s’en rende réellement compte, piégé au fond d'un trou, parce qu’on ne fait pas attention à ce genre d’individu. Quelqu’un qui passe inaperçu, sur qui on ne se retourne jamais au détour d’une rue. Quelqu’un qui fait peur, parfois, dans des sauts d’humeur trop brusque pour être réels. Quelqu’un qui semble tout seul au monde, mais surtout seul contre tous. A devoir lutter en permanence contre des forces divines qui vous empoisonnent la vie. Abandonné, désespéré et salit. On finit par se méfier des gens, comme s’il voulait tous faire du mal d’une façon ou d’une autre. On devient craintif, phobique de tout ce qui nous entoure. A la limite de la folie. On sursaute, on se retourne, on écoute. Chaque bruit devient suspect. Dans ces cas-là, on devient solitaire, pour éviter de souffrir. Et froid, au cas où quelqu’un parviendrait à s’approcher de trop prêt. À pénétrer dans cet univers qu’on souhaite garder pour soi, enfermé à double tour dans un recoin de son esprit. Puis on montre une autre facette, une qui semble ne pas pouvoir exister au fond d’une telle personne. Sadique et manipulateur. Comme une étrange façade pour se protéger des forces du mal. Un mur de béton. Un rideau de fer. Dans le noir, on se surprend à avoir peur. Le souffle haletant, le cœur battant la chamade, le sang frappant énergiquement contre les tempes. On devient dingue. Survolté par une poussée d’adrénaline. Les gouttes de sueur qui tombent lâchement sur le sol. On prie pour que la lumière revienne, pour apaiser les craintes. Mais elle ne vient pas. On pense alors à la mort, on a peur d’être coincé, prit à tout jamais dans les filets d’un chasseur. On frappe les murs, comme un animal en cage, cherchant désespérément la sortie de cet enfer. On sent le sang jaillirent de nos mains, à force de frapper les murs avec violence. Mais la souffrance fait plus de bien que de mal. Alors on continue. Encore, et encore. Jusqu’à ce qu’on cède. Qu’on accepte ce sort dont on pensait pouvoir s’échapper. Et on comprend finalement qu’on est soumis, à tout jamais. Que notre propre vie appartient à quelqu’un d’autre. Que la liberté n’existe pas, ou plus. On se retrouve mort depuis l’intérieur. Parce qu’au fond, c’est la vérité. » « La vie, la mort… Peu m’importe réellement. Dire que le noir me fait peur, ce serait comme avouer que mes craintes sont encore bien trop présentes dans mon esprit. Je ne veux juste pas me soumettre à cette vie, qui manifestement ne veut pas de ma présence dans ce bas monde. » Le début d’une histoire n’est jamais vraiment intéressant. Chaque naissance commence par le même rituel. La même souffrance. La même panique. Ce 20 janvier, dont l’année échappe totalement à la plupart des gens, dans cette ville qu’est Salt Lake City, État de l’Utah. Cette date marque probablement le début de tout un tas de vie, à travers le monde. Mais un seul et unique cri s’échappa de cette minuscule chambre d’hôpital, dont le parfum du désinfectant brûlait les narines de l’équipe médicale. Ce cri, prisonnier entre la souffrance et la peur, entre l’enfer et le paradis. Car il ne faut qu’un seul détail pour changer le cours d’une vie. Un seul, et peut-être minuscule détail, qui pourtant possède à lui-seul une importance capitale. Même si, pour cette fois, l’histoire s’apparentait plus à une succession de détail qu’autre chose. Et cela, Avery, du haut de ses dix-sept ans et de son esprit encore trop immature, l’avait bien comprit. Avery. Ce visage angélique, ces cheveux blonds dorés qui semblaient flotter gracieusement au vent, cette féroce envie d’avancer dans la vie, telle une lionne capturant ses proies. Cette fille qui aurait finalement donné sa vie pour aider les autres, et que tout le monde apprécie pour sa simplicité d’esprit. Avery. Ce nom ne vous dit peut-être rien, mais c’est à travers elle que toute l’histoire démarra. Si les gens devaient décrire cette jeune fille, ils auraient probablement tous dit la même chose : sage, comme une image. Toujours souriante, pleine de vie et studieuse. Une fierté pour sa famille, qui voyait en elle un futur médecin, ou quelque chose dans le même genre. Mais sous ses allures de petit ange se cachait en réalité tout autre chose. Quelque chose dont même ses amis n’auraient pas pu imaginer l’existence. A vrai dire, la jeune fille faisait son maximum pour paraître irréprochable. Elle avait de bonnes notes, sortait avec ses amies le week-end pour faire du shopping (bien qu’au fond, elle n’aimait pas cela), conduisait prudemment, ne semblait pas fumer, pas boire et surtout, péché suprême, ne se droguait pas. Ou, du moins, c’est ce que les gens pensaient. Rien n’aurait pu trahir ce secret qu’elle gardait avec une attention toute particulière. Personne ne savait ce qu’elle faisait, en dehors de l’école, en dehors de sa vie familiale irréprochable. Personne, non, personne n’aurait pu trouver, deviner et même envisager ce qu’elle pouvait bien faire, une fois la nuit tombée. L’avantage d’avoir sa chambre située au rez-de-chaussée, c’était probablement le fait de pouvoir passer par la fenêtre sans faire de bruit, sans que personne ne se réveille, sans que personne ne se doute de ses activités nocturnes. Et puis, de toute évidence, elle avait pris ses précautions. Alors les mardis, jeudi et dimanche soir, la jeune fille ouvrait discrètement la fenêtre, et s’en allait sans faire le moindre bruit. Elle savait qu’une fois cette fenêtre (ou barrière, comme elle aimait le dire) franchie, elle n’était plus vraiment Avery. Comme si une autre personnalité prenait le dessus sur elle. Comme si plus rien ne pouvait l’arrêter, elle se sentait libre. Alors elle rejoignait ces gens, qu’elle avait rencontrés durant un festival, accompagnée de ses amies du lycée. A vrai dire, elle ne les connaissait pas vraiment bien, même après quelques temps. D’ailleurs, pour être totalement honnête, lorsqu’ils lui avaient proposés de les rejoindre la nuit, dans ce vieil hangar abandonné à seulement dix minutes de chez elle, Avery avait pensé que cela pourrait être amusant de jouer les rebelles, pendant quelques heures. Juste histoire de changer un peu de l’image que tout le monde avait d’elle. Ce qu’elle n’avait pas prévu, en revanche, ce fût les répercussions des addictions auxquelles elle s’abandonnait totalement. Ce jeu se transforma lentement en habitude, et elle sembla apprécier de plus en plus la présence de ces personnes. Mais, surtout, de ces substances interdites. Ce n’est que quelques mois plus tard que la sentence tomba, foudroyant Avery de plein fouet, comme un choc électrique, comme un éclair s’écrasant sur son petit corps fébrile. Elle avait commis l’irréparable. Pire encore, elle ne s’en souvenait même pas. Les soirées qu’elle passait avec ces gens qu’elle considérait presque comme des amis n’étaient que pur partie de débauche. Le mélange de substances l’empêchait d’y voir clair, le lendemain. Sauf que cette fois, un détail semblait différent. Non pas autour d’elle, mais à l’intérieur même de son corps. Prise d’un doute, elle s’interrogea longuement sur les possibilités ainsi que la probabilité qu’elle puisse avoir quelque chose qui grandissait à l’intérieur de son ventre. N’ayant personne vers qui se tourner, elle décida de prendre les choses en main. Lorsqu’elle prit connaissance des résultats du test qu’elle venait d’effectuer, la jeune fille fût prise de panique. Comment pouvait-elle expliquer ça à sa famille ? La seule solution était de faire passer la chose sous un acte criminel, c’est-à-dire un viol. Heureusement pour elle, la comédie fonctionna à merveille, bien que très mal jouée. À vrai dire, comment ne pas croire une jeune fille dont le profil paraît irréprochable ? La grossesse se passa à merveille, bien que l’idée de devoir mettre au monde cet enfant dont elle ne voulait pas ne l’enchantait pas vraiment. Sa famille s’était chargée de trouver une famille adoptive convenable pour l’enfant, et les heureux élus furent ce couple, âgé d’une trentaine d’années, les Blackwood. L’histoire aurait pu s’arrêter là, si le sors ne s’était pas acharné. Après l’accouchement, Avery n’eût plus jamais de nouvelle de l’enfant, qui vivait à présent à Lansing, dans le Michigan. Ses parents adoptifs étaient des gens sans histoire, qui n’avaient jamais pu avoir d’enfants mais qui en désiraient plus que tout au monde. Ils furent les parents idéals, attentionnés. Des gens que tout le monde apprécie vraiment, le cœur sur la main. L’histoire fût idyllique pendant quinze ans. Les Blackwood étaient plus unis que jamais et se pliaient en quatre pour que la vie de leur fils soit parfaite. Travis ne fût jamais au courant de cette histoire sur sa génitrice. De toute façon, il n’en avait aucun souvenir, puisque bébé à cette époque. Et puis, un jour… Il y a un temps pour chaque chose dans la vie. Un temps pour naître, pour pousser son premier grand cri, prendre sa première bouffée d’air, pleurer à chaude larme parce qu’on ne comprend rien à ce qu’il se passe, encore prisonnier entre deux mondes. Un temps pour grandir, apprendre à parler, découvrir d’autres cultures, aller à l’école, vivre ses premières réussites, ses premières déceptions, apprendre à conduire. Un temps pour vivre, faire des choses nouvelles au fil des ans, prendre en maturité, faire des soirées, passer de bons moments, se faire des amis, vivre des choses plus extraordinaires les unes que les autres. Se bâtir des souvenirs, qui deviendront un solide refuge dans plusieurs années. Un temps pour déprimer, parce que dans la vie, on passe tous un jour ou l’autre par ce stade. Être déçu, n’avoir plus vraiment la motivation pour vivre, être bloqué par des obstacles sur un chemin. Un temps pour surmonter ses craintes, pour aller de l’avant, sans retour en arrière possible. Un temps pour souffrir, que ce soit psychologiquement ou physiquement, souvent à son insu. Et puis, surtout, un temps pour mourir. Pour les Blackwood, le temps de mourir arriva. Ce jour d’été, alors que le ciel était d’un bleu azur sans nuages, alors que le soleil montrait ses plus beaux rayons. Sur cette autoroute menant droit vers le lac Michigan, endroit où les vacances promettaient d’êtres inoubliables. Et puis, un moment seul moment d’inattention. Ce camion qui, juste en face, semblait avoir certaines difficultés pour prendre le virage. Cette voiture dont le chauffard ne regardait pas vraiment droit devant lui… Et l’accident. Le camion qui tombe, la première voiture qui fonce dedans, puis la seconde… Trois morts, deux survivants. Dont Travis, bloqué sur la banquette arrière pendant cinq longues heures, le regard rivé sur deux cadavres. Cinq heures… Probablement les plus longues de sa vie. Comme l’aurait dit Victor Hugo, « La vie n’est qu’une longue perte de tout ce qu’on aime ». Et cela, Travis en avait fait les frais, un an plus tôt. A cette période de l’histoire, le jeune homme n’a que seize ans. Seize ans, et déjà miné par les spectres venant tout droit du passé, à savoir, pour lui, ce terrible accident dont le souvenir restait encore vif dans sa mémoire. La seule chose qui lui restait de ce jour, c’était cette longue cicatrice qu’il avait dans le dos, partant de son omoplate droite et qui terminait au milieu du dos. La marque des sièges, qui s’étaient écrasés sur lui pendant le choc. Après la mort de ses parents, le garçon fût placé chez son oncle, côté maternel. Cet oncle qui, d’ailleurs, l’avait toujours beaucoup aimé. Comme un père, il faisait très attention à la santé mentale de Travis, surtout après cet accident. Il souhaitait qu’il remonte la pente, à son rythme, mais sûrement. Il savait qu’il n’oublierait jamais ce jour. Personne ne pouvait oublier ce jour. Seize ans. Connerie sur connerie, bagarre sur bagarre. Le quotidien rythmé par cette violence que personne ne peut dompter, même pas tous ces psychologues que Travis détestait plus que tout au monde. Dix-sept ans. Même deux ans après, le deuil n’était toujours pas fait, bien que Travis semblait reprendre goût à la vie. Son oncle lui avait transmis sa passion pour la photographie. Au fur et à mesure, le jeune homme se réfugiait là-dedans, oubliant presque ses moments de folie au lycée, cherchant à emprisonner chaque moment de la vie, afin d’être sûr qu’ils n’allaient pas partir, comme ses parents avaient pu le faire sans le vouloir. Dix-huit ans, Travis s’installa à Ann Arbor. Il fit des études dans le but de devenir photographe, pour ne plus être qu’un simple amateur. Pour en faire son métier, pour vivre de cette passion qui avait su emprisonner son cœur. La vie semblait avoir un goût très amer, même après tout ce temps. La violence avait laissé place à l’amertume. Dix-neuf ans. Rien ne change, les jours passent mais se ressembles, comme une étrange spirale infernale. Vingt ans. Vingt et un ans. Vingt-deux ans. Les choses se tassent, assez lentement. Vingt-trois ans. C’est à ce moment que Travis réalisa vraiment ce qu’il était en train de perdre, ces précieuses années gâchées à se morfondre. Tout ce temps ou il avait été hanté par ce jour, pas tout ces souvenirs dont il ne pourrait plus jamais parler. Vingt-quatre. Il est temps de vivre, enfin. Travis s’installa à Detroit, dans le but de changer de vie. Vingt-cinq… Les choses doivent changer. La vie doit continuer, malgré les blessures qui cicatrisent lentement. Le temps est venu de s’ouvrir, doucement, à de nouvelles expériences, à une vie plus sereine, à un bonheur bien mérité. Vingt-six, le commencement. CHOSES À SAVOIR Solitaire ϟ pas du genre à sourire beaucoup ϟ manipulateur ϟ fume beaucoup ϟ nerveux ϟ cynique ϟ traumatisé par cet accident ϟ ne peut pas dormir sans lumière ϟ déteste être dans le noir ϟ à une longue cicatrice dans le dos ϟ à peur d'être heureux ϟ peut être violent si les conditions s'y prêtent ϟ soupir énormément ϟ passe le plus clair de ses journées un appareil photo à la main ϟ ne connait pas la vérité sur sa naissance ϟ s'emballe pour un rien ϟ n'aime pas vraiment la vie ϟ est souvent dans les nuages ϟ stresse dès qu'il se trouve à proximité d'un camion ϟ à une peur bleue des hôpitaux ϟ accro à la caféine. AUTRES INFORMATIONS Ne connaissant pas toute la vérité sur son histoire, Travis ne connaît pas ses origines. Et, d’ailleurs, il ne s’est jamais douté de quoique ce soit. Depuis l’accident, il semble comme bloqué sur place, refusant presque de vivre comme tout le monde et ça même des années après. Sa vie n’a jamais été passionnante à ses yeux, il se qualifie comme quelqu’un de tout à fait banal. Toutes les nuits, il fait des rêves étranges. Il ne supporte également pas la pénombre, sous peine de faire comme des crises d’angoisses. DERRIÈRE LE PERSONNAGE NOM : Meghan (Punky, pour les intimes. (a)) AGE : 16 ans. Enfin, je crois. PAYS : France. CE QUE VOUS AIMEZ : Rien. Mes guitares, lire, la Punk, écrire, faire de nouveaux personnages. CE QUE VOUS DÉTESTEZ : Tout. Les coups dans le dos, et... Les petits pois. (Je suis très originale, je sais). SÉRIES PRÉFÉRÉS : Supernatural, Desperate Housewives, The Glades, The Big Bang Theory, Ghost Whisperer, Grey's Anatomy, Close to Home, Esprits Criminels, Les Experts, The Good Wife, Drop Dead Diva, NCIS, Californication. CÉLÉBRITÉS PRÉFÉRÉS : Jensen Ackles, Milo Ventimiglia, Ashley Benson, Jim Parsons, Jared Leto... Et beaucoup d'autres. OÙ AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? Par un partenariat, sur un des forums que je gère :3 CE QUI VOUS A POUSSÉ À VOUS INSCRIRE ? Alors... Pleins de choses ! Depuis cette fameuse demande de partenariat, je suis revenue plusieurs fois. J'avais pas prévu de m'y inscrire, tout de suite... Et puis, j'ai vu que le staff ainsi que les membres avaient l'air sympa, c'est un peu ce que j'apprécie sur un forum. Alors j'ai eu un coup de tête. Et je suis arrivée là par magie. (amen). CE QUE VOUS PENSEZ DU FORUM ? Les mots me manquent... Sublime, magnifique, sensationnel... Tout ce que vous voulez. :3 VOTRE PRÉSENCE : Normalement, 7/7. Dans le pire des cas : 5/7. AUTRES CHOSES À SAVOIR SUR VOUS : Je suis un yéti. L'abominable homme des chiottes ! (Je suis dehors, si l'on me cherche).

Bienvenu à toi

Beau choix d'avatar !

Bienvenue à toi !

Un photographe, c'est chouette ça

Mon dieu, Amber Heard, Shantel Van Santen **
Merci beaucoup !

Bienvenue ^^

Bienvenu toi de plus en plus de mec chouette chouette chouette :3 Et je ne suis plus la seule minimoys entre les grands

Je sens que je vais me plaire ici. (a)
Merci ! :3

Entre photographe et mannequin on risque de bien s'entendre
Et tu verras tu vas te plaire ! Je suis ici depuis hier et j'ai l'impression d'avoir toujours été ici

Oui, nous sommes très.. Accueillant (tant que tu ne t'approche pas trop près de certaines personne ><")

J'ai des pouvoirs magiques, j'ai pu lire ta phrase.
Ah ? Je sais pas si je dois avoir peur mais... Dans le doute, je vais garder un flingue à disposition. :3

J'en profite pour dire que je pense - je pense, donc je suis presque sûre *fuis* - que j'ai terminé ma fiche. (a)

Welcome !

Braeden, véritable chien de garde mdr ! En tout cas dès que tu es validé, je veux un lien, Hesther étant passionnée de photographie, c'est plus qu'obligé j'ai envie de dire

Oui prend le flingue ça vaut mieux Et Hesther, j'suis pas d'accord, t'as pas le droit d'avoir un lien avec tout les beaux mecs ><"

ta fiche est cool :3

Depuis quand tu diriges ma vie Braedychou ? Je suis grande, je fais comme j'ai envie, nan mais ! Espèce de vieux jaloux.

Merci :3
Ce sera avec plaisir le lien ! Enfin... Du moment que je ne suis pas attaqué par un jenesaisquoi en furie, tout va bien. (a)

Oh ! Encore une nouvelle membre. Je te souhaites la bienvenue ^^

T'inquiètes Travis je crois qu'on va faire une ligue de protection pour les nouveaux gars qui aimeraient parler à Hester

Bienvenue en tout cas et ta fiche est magnifique

Flood ON : Je vote pour cette ligue Eze' ^^ Flood OFF

Merci beaucoup ! :3 En à peine quelques heures, je suis déjà accro à ce forum avant même d'avoir commencé à RP.

Et c'est une excellente idée ! Allons chercher des armes, des gilets pare-balles, des boucliers, des fouets... :3 (je suis déjà dehors ->[])

Tout de suite je me sens moins seul, je t'aime déjà Travis *Mode la fille derrière l'écran on* C'est Milo en plus *mode la fille derrière l'écran off*

Va chercher ses armes ^^ [Je te suis ->>>]

Bienvenu!! Très belle histoire! J'espère que tu te plaira ici

bienvenue à toi et puis désolé pour le retard, décalage :/
j'espère que tu te plairas parmi nous ^^ pour ce qui est de ta présentation, tu es validé sur-le-champ !
j'aime bien ton personnage, en plus il a un plus que Leslee connait gravement ; l'addiction à la caféine...justement j'ai un café à moi si jamais l'envie te prends XD
puis côté séries, que de bons goûts, j'ai cru reconnaître quelque peu Geidon de CM à travers tes paroles que je buvais (a)
m'enfin je me la ferme sinon je risque de parler pour rien dire muhahah
encore bienvenue et puis j'espère sérieusement que tu te feras bien du plaisir en notre compagnie GNIA.

Bonjour Bonjour Travis & Bienvenue sur IM NOT PERFECT, c'est un réel plaisir de t'y accueillir surtout après avoir lu tous ses gentils compliments sur le forum ! C'est un plaisir de te souhaiter la bienvenue. Petite question en partant ; c'est quel ce forum qui nous a permis de t'amener vers nous ? Sinon, désolé du retard, on est québécois, donc école XD Brefouille, ton histoire et ton personnage est super, je te valide sur le champ, rien à ajouter, tu peux donc débuter le jeu
Tu as de plus, de très bon goûts coté Série télé !! DH, Grey's CM !
Sinon, tu n'aimes pas les petits pois comme moi ! :O
Je te souhaite ainsi que du plaisir parmi nous, j'ai très hâte de rp avec toi et je te remercie une fois de plus pour tes gentils messages ! Have fun et j'espère que tu ne le regretteras pas

Je suis validéééééééééééééée ! \o/ *dansedelajoie* Hum, hum... Petit moment d'égarement. Pardon. (a)
Sinon, merci pour cet accueil ! Je ne regrette absolument pas de m'être inscrite, d'autant plus que je me plaît déjà ici :3 Sinon, le forum, c'était See The Sun. (a)
Vous pouvez pas savoir à quel point j'ai envie de commencer à RP (je suis en manque, oui). Et... J'ai comme l'impression d'avoir bu, je me sens totalement euphorique.
(Et Alyson Hannigan... American pie !)

Bref, encore merci !

C'est une superbe nouvelle en tout cas ! Défoule toi au max sur le jeu, c'est l'important et je trouve ça super que tu te sentes déjà bien parmi nous !
Et merci pour le nom, je ne regrette pas ma demande alors Ü