NOM COMPLET: Ezeckiel Raphael Green AGE : Né le 26 juin 1984 à Washington, capitale des Etats-Unis, il a aujourd’hui 28 ans et toutes ses dents, ce qui relève d’un exploit. EMPLOI : Agent spécial de la CIA en rémission. Professeur de sport, primaire, collège, lycée. SITUATION AMOUREUSE : Célibataire ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel GROUPE : We are family
MON HISTOIRE
Le noir se leva, mes yeux me brulaient, je ne savais pas depuis combien de temps j’étais assis sur cette chaise, attaché par des cordes. Ma vue s’adapta rapidement, il faisait sombre, une simple lumière venait tout droit sur moi, comme dans les films. Un sourire apparut sur mon visage et un poing s’abattit sur moi. La gorge sèche, je vis enfin la personne postée devant moi. Une silhouette fine, une femme, les cheveux longs, châtains, une classe particulière qui reflétait un côté stricte et autoritaire. La seule chose que je savais en plus de cela de cette femme, était qu’elle avait une poigne d’enfer. Gesticulant la mâchoire pour la décoincer, je la fixait pour savoir ce qu’elle me voulait. Sans espoir, elle avait reçu une formation aussi dure voir plus dure que la mienne. Elle devait avoir une cinquantaine d’année mais c’était une très belle femme pour son âge, comme beaucoup de femme russe… Son poing se rabattit sur ma joue et son sourire s’élargit autant que le mien, nous savions tous les deux qu’aucun de nous ne lâcherait. Elle s’approcha et prit mon visage dans une seule main de façon à ce que je ne puisse dévier le regard.
« Ezeckiel Raphael Green, fils de Georges Duncan Green. C’est fou comme tu lui ressembles, tu me fais pensais à lui de nombreuses manières. Ne me regarde pas comme cela, bien sur que je connaissais ton père. Il était beau, charmant, tendre et aimant. C’était un homme bon. Dommage qu’il ait essayé de me retrouver. Il lui suffisait juste de m’oublier… »
Je le savais. C’était elle, cette femme avait pourri ma vie, ma vie entière avait été détruite par sa faute. Mon père ne pouvait dormir en la sachant vivante, il la chercha le reste de sa triste vie, mourant à petit feu comme un amant privé de son amour. L’année de mes six ans, on était venu me voir en me disant qu’elle était venue à bout de lui. Elle l’avait tué lâchement dans le dos comme s’il ne valait pas mieux qu’une simple bête. Elle ne valait pas tout ce que l’on racontait sur elle, mais une chose est sûre, je lui dois une seule chose. Je ne serais jamais devenu un aussi bon agent si elle ne serait jamais apparue dans ma vie. Elle avait un regard intense qui ne me lâchait pas, comme si elle lisait en moi, ce que je ne voulais pas.
« Il est vrai que tu ressembles aussi à ta mère. »
Je ne pouvais pas y croire, ma mère, je ne l’avais jamais vu, je ne la connaissais pas, elle m’avait abandonné, elle n’avait jamais essayé de me revoir et je lui en voulais sans même la connaître. Je savais qu’elle tentait de me distraire, elle connaissait tous mes points faibles, elle savait parfaitement y faire, mon père, ma mère, qu’est-ce qu’elle allait encore chercher pour me faire craquer ? Je ne savais pas mais je ne craquerais pas, je ne voulais pas lui donner ce dont elle avait le plus envie. Ce que je ne comprenais pas était le fait qu’elle ne souhaitait aucune information de moi, juste me torturer pour son petit plaisir personnel, un acte barbare digne des russes. Son accent était d’ailleurs beaucoup moins prononcé que beaucoup d’entre eux, signe qu’elle avait longuement vécu aux Etats-Unis, peut être que le pays lui manquait ? Son sourire grandit encore, je n’en pouvais plus, et puis il fallait que je sache.
« Où est mon équipe ? » « Qui les quatre avortons qui étaient avec toi ? Raph’ tu es bien trop fort et perso pour être entouré d’une équipe de bras casser, donc je t’en ai débarrassé, tu devrais me remercier, au moins tu n’auras plus à sortir en douce le soir. »
Comment savait elle autant de chose sur moi ? Je ne pouvais me résoudre à tout ce qu’elle me disait. Mes compagnons ne pouvaient pas être tous morts, mais dans son regard je vis qu’elle ne me mentait pas, et ma mâchoire se resserra, ce qui la fit jubiler de plaisir à me voir me crisper. Je n’avais plus rien à perdre de toute façon, je n’avais plus d’équipe, aucune information l’intéressant, alors pourquoi ne pas faire la papote ?
« Alors comme ça vous connaissiez aussi ma mère ? »
Elle explosa de rire et sa tête se renversa à l’envers. Elle m’énervait plus que n’importe qui avant elle. C’était tout simplement une folle à lier. Personne ne pouvait être plus horrible, le fait qu’elle soit russe ne l’excuser en rien, j’en connaissais des biens plus empathique mais surtout des plus humains. Je connaissais un bon nombre de maîtrise de la torture, je savais faire peur, je savais terrifier des gens, je savais aussi comment inspirer la confiance ou l’horreur, je savais y résister. Mais elle était particulière. Je n’avais pas peur d’elle, j’avais quelque chose qui m’attirait à elle et peut être que c’était cela qui me faisait peur car je ne le comprenais pas.
« Bien sur que je connais ta mère petit ignorant. N’as tu donc jamais chercher, es-tu si peu curieux ? Tu me déçois Raphy. Ta mère est l’agent le plus fort du monde, c’est pour cela d’ailleurs qu’elle ne pouvait choisir quelqu’un d’autre que ton père. Un couple magnifique, avant que ton père ne lui apprenne qu’il ne pouvait abandonner les services secrets américains, elle ne l’a pas supporté et l’a donc abandonné, lui laissant six moi plus tard ton baluchon. Elle savait qu’elle ne pourrait être une bonne mère, donc elle lui à laissait son fils, abandonnant tout espoir de revoir cet enfant un jour… »
Son regard se perdait ailleurs, au dessus de moi pendant qu’elle me laissait comprendre ce qu’elle venait de m’avouer. Elle était ma mère ! Voilà pourquoi elle me gardait en vit, pourquoi mon père allait si souvent en Russie, voilà pourquoi il ne pouvait vivre tant qu’il ne l’avait pas retrouvé. Il avait refusé de la suivre. Il avait bien fait. Je ne pouvais m’imaginer grandir aux côtés de cette femme ! Elle n’avait pas de cœur. Je ruminais dans mon coin jusqu’à ce que je vois une larme brillait sur sa joue. Elle n’avait pas pas de cœur, elle n’avait juste pas le choix ! Je ne devais pas avoir pitié d’elle, mais elle était ma mère, elle avait tout de même tout fait pour me protéger, j’avais juste pris la direction qu’elle voulait m’éviter.
« Oui Ezeckiel, tu portes le nom de mon grand père. Je ne voulais pas que tu ailles toi aussi dans l’espionnage, ce métier a prit la vie de ton père comme la mienne, sans pouvoir me tuer. J’étais jeune, je ne vivais que pour mon organisation, et je savais que tu devrais avoir un autre avenir. J’aimais réellement ton père, c’est pour cela que je n’ai pas pu le tuer en face. Mais maintenant je t’ai assez donné d’informations, j’aimerais que tu m’expliques ce que tu as fait à ton tour avec Eleanor ? Elle t’aimait elle aussi. »
Eleanor… Une femme magnifique. Une histoire qui existait que lors de mes voyages en Russie jusqu’à ce que j’apprenne qu’elle était du camp ennemi. Je voulais juste qu’elle parte, qu’elle quitte le camp adverse, et je me rendais compte que je lui avais demandé la même chose que ma mère à mon père auparavant. Mais, je l’avais vu mourir dans un incendie trois jours avant ma capture. Elle me manquerait mais au fond de moi je savais qu’elle n’était pas le grand amour. – Bah oui, même les agents secrets ont le droit d’être romantique-. Je ne comprenais pas la question de ma… mère, alors je la laisser continuer.
« Tu n’es qu’un ignorant et tu ne fais pas attention à ce qui t’entoure. Tu devrais avoir honte de toi. Tu l’as abandonné alors que tu avais vécu la même chose, jamais tu t’es demandé pourquoi elle tenait tant à ce que tu reviennes vers elle Raphy ? Elle avait besoin de toi, pas forcément par amour, ça je n’en sais rien, mais chez elle, elle avait une part de toi ! Je n’ai pas le cœur à te tuer tout de suite, je viens juste de te revoir. Mais souviens toi de ne pas revenir en Russie, quitte les services secrets cela faut mieux pour toi pendant un petit moment. Tu as quelqu’un qui t’attend dehors. Dépêches toi de partir car je ne retiendrais pas mes agents trop longtemps. »
Je vous avouerais que le reste de la scène a été très floue. Je suis revenu en Amérique, mais je ne suis pas revenu seul. Le personne dont me parler ma ‘mère’ était un petit garçon, mon fils. Je ne pouvais pas l’abandonner. J’étais son père et je ne voulais pas qu’il vive comme je l’avais fait, même si je ne pourrais lui rendre sa mère, je resterais avec lui, lui donnant un véritable choix de métier. Je sais juste qu’en arrivant à la base, ils m’ont demandé de faire une pause dans ma carrière, de me concentrer sur le petit bout qui était maintenant avec moi. Je sais surtout qu’ils ont voulu me mettre à part car durant cette mission, j’ai perdu quatre hommes et découvert que mon ennemi juré était ma propre mère. Je fais encore des missions mais beaucoup moins importante, à vrai dire, je m’ennuyais un peu trop à Washington sans pouvoir faire de vrais missions. Avec mon bout de chou, nous avons donc pointé sur une carte notre nouvelle destination : Detroit. Cela fait un an que je suis revenu de Russie, et un mois que je suis à Detroit. Je n’aime pas trop mon changement de vie, mais c’est bien la première fois que je me sens différent, que j’oublie un peu ma vie d’avant même si elle reste graver au fond de moi. J’attends que mon fils soit prêt à ce que je reparte pour retrouver le pentagone et la CIA mais pour le moment je reste un agent en rémission…
CHOSES À SAVOIR
Papa poule ❧ Mystérieux ❧ Sportif ❧ A une grande maîtrise de lui ❧ Empathique ❧ Protecteur ❧ Stratège ❧ Accro à son portable ❧ Déteste être loin de son fils ❧ Croit au grand amour ❧ Orphelin de père ❧ Hait sa mère ❧ Super prof ❧ Attentionné ❧ Libre ❧ Courageux ❧ N'aime pas particulièrement être contredit ❧ Adore la France ❧ Ses films préférés sont les disney ou les films d'actions à l'eau de rose ❧ Connait Obama ❧ A une cicatrice dans le dos.
AUTRES INFORMATIONS
N'ayant pas vraiment eu d'enfance, il n'a pas une culture très développer sur les trucs touchant aux petits sauf les Disney. Il déteste manger un truc bizarre du genre une patate bleue. Il ne supporte pas les hommes qui jouent au football (soccer). Il est un véritable papa poule et ne supporte pas que son fils soit loin de lui pendant plus d'une journée. Il a beaucoup de tic ou de toc qui lui donne un charme (pour certaines). Il court tous les jours. Je vous raconte beaucoup trop de bêtises donc j'arrête là ^^
DERRIÈRE LE PERSONNAGE
NOM : Maëva ou pimentine (bouh ici parce que pimentine était trop long ^^) AGE : 18 ans et bientôt 19 bon ok dans 3 mois, mais c’est bientôt ^ PAYS : France CE QUE VOUS AIMEZ :Beaucoup trop de choses pour les cités toutes ^ CE QUE VOUS DÉTESTEZ : Encore bien plus de choses ^ SÉRIES PRÉFÉRÉS : GG, DH, OTH, Castle, NCIS, Glee, HIMYM, GA, PLL, Smallville et pleins d’autres^ CÉLÉBRITÉS PRÉFÉRÉS : Beaucoup ^^ OÙ AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? PRD CE QUI VOUS A POUSSÉ À VOUS INSCRIRE ? Il est trop beau, trop classe et trop bien CE QUE VOUS PENSEZ DU FORUM ? Dit juste en haut ^ VOTRE PRÉSENCE : Cela dépend énormément des semaines, en ce moment ça peu être assez chaud mais d’autres moment où se sera 7/7 AUTRES CHOSES À SAVOIR SUR VOUS :
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