PHOENIX DEMERS

ft. Nico Tortorella

NOM COMPLET: Phoenix Demers AGE : 20 ans (1992) EMPLOI : Etudiant en Médecine SITUATION AMOUREUSE : Célibataire ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel GROUPE : we go together “ A SIMPLE STORY ” TRUST OR SUSPICION Chacun vous dira que la confiance est une chose que les autres nous donnent, que c'est un objet précieux et à la fois dangereux. Cet objet, nous l'avons tous et nous le donnons forcément à une personne, qui pour nous, vaut cet objet. C'est pour cela que certaines personnes la donnent plus facilement que d'autres. Tout dépend de leur vision du monde, s'il voit les autres comme le mal, l'humanité comme une erreur, il sera renfermé, il ne donnera cet objet à personne. En revanche, une personne généreuse qui croit qu'il y a du bon en chacun de nous est plus apte à tendre cet objet vers l'autre. Où je me situe dans ces deux catégories ? Sans doute dans celle où le bonheur est présent, la naïveté... car oui le bonheur n'est qu'une illusion, une illusion de la vie... et moi... je veux seulement croire à mes rêves, à mes illusions. Toronto, une jolie ville d'Ontario dans les terres canadiennes. Moderne et riche elle s'inscrit dans les mégalopoles où grouillent les affaires et la politique. Je suis né dans cette ville, un beau soir de décembre, banal comme début, hein ? Je trouve aussi, mais cela commence comme ça. Un jeune enfant sans soucis particulier avec des parents aimants et généreux. Je n'avais rien à regretter, j'avais été mis au monde dans un endroit magnifique avec des gens extrêmement sympathiques. Je pouvais croire n'importe quoi, les gens s'en amusaient naturellement, mais rien de bien méchant. Je ne vous raconte pas pour l'histoire du fameux Père Noël ou d'Halloween. Le stéréotype de l'enfant rêveur, timide et à la fois naïf. Je relevais la tête pour voir le bout d'aurore boréale blanc qui ondulait dans le ciel étoilé. Une nuit de rêve, accroupis là dans l'herbe le nez vers le ciel contemplant la poésie de la vie. Comment aurais-je pus deviner que plusieurs années plus tard je serais aux États-Unis en Fac de médecine avec des horaires monstrueux et des cours écrasants. Comment le gosse qui rêvait d'être astronaute pouvait savoir qu'il allait terminer à Détroit en projetant d'être interne dans un hôpital aux alentours ? Non... je n'avais aucun moyen de savoir ce qui allait se passer... je n'avais aucun moyen de savoir que j'allais tout perdre... si j'avais su... une phrase qui revient dans chaque vie, dans chaque souvenir douloureux. Vous ne savez rien effectivement... et bien... les deux catégories, ceux qui font confiance et les autres. Qu'elle est la plus destructrice d'après vous ? Bien sûr que vous le savez... car c'est en gardant sa confiance pour soi même qu'on réduit la chute quand vous verrez que tout autour de vous s'effondre... HOPE OR DESPAIR Mes yeux s'ouvrirent dans cette salle blanchâtre, le paradis ? Certainement pas, un froid glacial avait figé chaque membre, mon thorax écrasait mes poumons et un sentiment d'étouffement me prit au vif. Que s'était t-il passé ? Ma mémoire était floue, mes pensées combinées à un mal de crâne m'oppressaient. Je n'arrivais même plus à réfléchir, c'était atroce. Seul, dans cette salle, livré à moi-même. Je baladais mon regard titubant autour de moi, il y avait une perfusion. Je fronçais légèrement des sourcils. Mon ouïe était brouillée et ma bouche pâteuse, chaque mouvement était un effort surhumain. Un hôpital, une conclusion qui sautait aux yeux. J'essayais de me redresser un minimum, mais la douleur prit automatiquement le dessus. Je raclais ma gorge et je relevai les yeux quand un médecin pénétra enfin dans la salle. Un homme dans la quarantaine assez robuste tenant un calepin en main. Son sourire, un sourire navré qui me terrorisa d'un coup. Ce sourire hypocrite alliant pitié et désespoir. Il se mit à parler avec une voix roque et incertaine, lui-même troublé par une réalité que j'allais apprendre. Une réalité qui allait tout bouleverser, une réalité qui va détruire la mienne et me plonger dans un monde où le rêve n'est qu'éphémère... J'étais assis contre le mur, ma chambre plongée dans le noir, les lumières de la direction encore allumées au loin. Je posais ma tête contre le béton frais, les larmes envahissant mes yeux. Dix-sept années ruinées en quelque instant, en quelques mots. Il était tard, cela fait une semaine jour pour jour que je suis ici, les mots du médecin tournaient en boucle devant mes yeux. Et la déchirure était davantage plus grande. Je n'ai reçu la visite de mes parents qu'une fois durant ces sept jours. Ils avaient l'air plus abattus que moi. Ils n'osaient même pas me regarder, comme s'ils avaient déjà perdu un fils... ils étaient froids et distants. Mes amis ? Aucun... plus aucun contact... rien... Seul. Je soupirais d'un souffle perturbé et incertain. Je raclais ma gorge une nouvelle fois pour essayer de terrer cette boule qui restait coincé en vain. Je rejoignais mes genoux jusqu'à mon torse les entourant de mes bras pour essayer un minimum de me réchauffer et de me rassurer. Je caressais la mort de mes doigts, je sentais sa faux glacée contre ma nuque qui n'attendait que ça. Elle attendait que je baisse les bras, que les sentiments ne me portent plus et que mon cœur s'effondre grâce à sa blessure qui s'agrandissait davantage en voyant l'espoir déguerpir. Jusqu'où ma force peut aller ? Jusqu'où le rêve peut me protéger ? L'épée de Damoclès est là, toute proche, elle va trouver son fourreau... Les mois passèrent et mon état s'empira, quoi de plus normal. Le traitement était éprouvant et mes chances de survies étaient quasiment nul. Un cancer pulmonaire à petites cellules, le pire et le plus rare. Quatorze pour cent de chance de survie et une probabilité énorme de chance de rechute, quoi de plus ? D'après les médecins j'ai encore minimum un mois. Ils me disent d'être optimiste, oui... avec le nombre d'ami qui se totalise à zéro, la tentative de suicide de ma mère qui a effacé la relation positive que j'avais avec mon père... je ne les vois qu'une fois tous les quatre mois et encore. J'ai été gâté, il faut bien un prix pour avoir eu une enfance heureuse. Je m'adossais au mur pour croiser mes bras et fixer les enfants jouer dans la salle, je ne devais pas m'épuiser, mais je ne supporte pas rester sur un lit d'hôpital toute une journée... puis de toute façon on sait comment ça va finir après tout. Je souriais faiblement les voyant rire. « C'est drôle, les plus petits arrivent mieux à oublier et à vivre que les plus grands... », je me retournais haussant d'un sourcil avant de regarder l'homme et de sourire avant de lui sauter dans les bras. « Even ! », cela faisait longtemps que je ne l'avais pas revu, mon oncle. J'étais énormément proche avec lui bien que ces derniers temps je ne l'ai pas vraiment vu. Il a dans la trentaine d'années et son humour chaleureux m'a toujours fait admirer. « Je viens seulement d'apprendre que tu étais ici... vu que tes parents sont injoignables depuis un certain temps. », je baissais la tête réprimant un sourire avant de hocher de la tête. « Ils sont plus abattus que moi... ils ont déjà baissé les bras, je ne les ai vu que trois fois depuis... qu'ils ont fait le diagnostique. » , il roula des yeux avant de rire. « Ils ne sont pas croyables, encore un peu et ils t'auront viré de ta chambre quand tout ça sera fini ! », je relevais les yeux ébahit, tout le monde me disait déjà mort, même les médecins ne voyaient aucun avenir en lisant mon dossier, c'est le seul à croire que je vais m'en sortir... Il me guida vers une salle de l'hôpital avec un piano, je savais en jouer, mais j'ai arrêté depuis... vous savez. Il s'installa pour commencer à jouer quelques notes puis éleva la voix : « C'est seulement toi qui dois choisir et personne d'autre, c'est en serrant le poing et en relevant la tête que tu peux fermer leur gueule... ». Je m'approchais doucement hypnotisé par la musique et ses paroles, je me posais à côté de lui. « Se suffire à soi-même n'est qu'une utopie, je touche à ma fin... même si je survie un minimum je n'aurais pas le courage de vivre seul Even... », il me regarda en penchant avant la tête avant de rire : « Et moi je compte pour du beurre ? Ne les écoute pas Phoenix, toi tu as le pouvoir de rêver, eux ils se frustrent contre la réalité alors que toi tu vois plus loin que le réel. ». Je relevais la tête tandis que des larmes commençaient à baigner mes yeux puis je finis par racler ma gorge, il avait sans doute raison. Je caressais les touches du piano avant de me mettre à jouer, la mélodie accentuait mes larmes, mais... elle me donnait de la poésie, elle me vendait du rêve, il avait raison. L'espoir et le rêve sont étroitement lié, c'est en rêvant d'une vie meilleure qu'on a l'espoir de l'avoir... « Même sans espoir, la lutte est encore un espoir. » Romain Rolland ERASE AND LIVE & FORGET AND DREAM INFLAME YOU LIKE A PHENIX « J'espère au moins que vous vous épanouirez bien que pour moi, vous n'êtes pas mes parents à proprement dit. », je parlais calmement et sereinement avec un sourire un sac dans le dos et un plus gros à la main avant de hocher de la tête. « Après tout... vous ne vouliez pas souffrir donc je vous comprends, laisser son fils en cours de chemin parce que ses charges sont trop lourdes. Enfin... je vous dis au revoir ou peut être adieu, mais ça vous est égale, au moins ce n'est pas des aux revoir déchirants ». Je souriais davantage les voyant fuir mon regard, je n'étais jamais retourné chez ces deux personnes qui ne comptent à présent plus pour moi. J'avais vécu chez mon oncle durant les deux mois d'après ma guérison soit disant miraculeuse qui a quasiment effacé en quelques semaines ce cancer qui restera néanmoins toujours présent. Il devait être vingt-deux heures ou peut-être plus. « Enfin voilà, je pars pour le Michigan pour poursuivre mes études... vous vous en fichez, mais laissez-moi au moins croire que mes deux géniteurs se préoccupent plus de mon avenir que du leur. » On sentait une légère haine dans ma voix, ça ne me ressemblait pas de faire de l'ironie au niveau du cynisme. Je me retournais, ils ne disaient pas un mot, c'est bien, ils restent fidèle à leur poste rester là à attendre et exclure les charges trop lourdes pour eux. Je me retournai pour prendre la porte et me dirigeais vers la voiture d'Even qui me fixait en hochant de la tête : « Ce n'étais pas une bonne idée Phoe'... », je relevais la tête avant de rire plaçant mes deux sacs dans le coffre : « Je voulais au moins dire au revoir et tourner la page de cette trahison... ». Mes yeux se relevèrent pour le fixer avant de sourire pour au moins le rassurer sur ce que je ressentais à ce moment là. Une page se tourne effectivement, je pris mon inhalateur pour en prendre une petite bouffé vu qu'il pleuvait et l'humidité vous le savez c'est mauvais pour les bronches. J'entrais dans la voiture pour enfin me poser tout en plaquant ma tête contre la vitre pour ensuite soupirer un peu. Even me sourit tout en actionnant sa clef pour faire démarrer sa voiture. « Je t'ai trouvé une collocation... j'ai un ami qui accepte de te prendre vu qu'il est seul avec sa fille qui souhaite faire les mêmes études que toi légèrement plus âgé... » je tournais la tête avant de lui sourire : « Merci... » Bouquin sur les genoux, dos contre le mur posé sur mon lit de cette chambre trop grande pour moi je lisais un livre sur la médecine effleurant certain mot de mes doigts pour les mémoriser. Me voilà dans le présent à vingt ans pleinement accomplit. Mon cancer reste encore endormis et d'après certain médecin j'ai une marge de chances pour qu'il reste endormit malgré mon asthme qui sera toujours présent. Mais j'encaisse bien les heures de cours et j'essaye de manger le plus sainement possible évitant à tout prix les fumeurs ou les fumées industrielles. Enfin bref, j'ai retrouvé le cours de la vie, malgré le fait qu'Even me manque énormément vu qu'il est repartit dans le nord canadien. Je me redressais ayant légèrement faim, munie d'un débardeur blanc et d'un simple pantalon noir je m'engageais dans les arcanes de ce manoir, pied nu. Le propriétaire était un homme adorable tout comme sa fille qui n'a qu'à peine une année de plus que moi. Cela fait d'ailleurs un an et demi que je suis hébergé gratuitement ici raison de plus pour dire que cet homme est formidable. Je m'approchais enfin de la cuisine, il était plutôt tard vers une heure du matin et j'essayais tant bien que mal de ne réveiller personne avec ce parquet qui grince à chaque pas. Je pris une pomme entre mes mains avant de jouer rapidement avec pour enfin me retourner... je sursautai d'un coup : « Monsieur Richards ! Je... je suis désolé je vous ai réveillé... », il ricana doucement, sa patience m'inspirera pour toujours : « Non, non... j'avais seulement légèrement soif... tu devrais aller dormir. ». Je m'apprêtais à dire que je devais réviser, mais il avait sans doute raison alors je finis par hocher de la tête ce qui lui arracha un sourire, il me dépassa me souhaitant bonne nuit pour se diriger vers la cuisine. Je finis par rejoindre ma chambre croquant à pleine dents dans ma pomme pour m'approcher de ma fenêtre et ainsi lever le nez vers les étoiles avant de sourire sous les doux souvenirs qui berçaient ma pensée. Tout avait changé, de nouveaux amis, de nouvelles études, de nouveaux lieux, de nouvelles habitudes, une nouvelle vie. Malgré mon attachement au passé je vivais sereinement, avec deux personnes adorables comme colocataire, Monsieur Richards et sa fille Anastasia que j'apprécie également ayant à peu prêt les mêmes centres d'intérêt en musique. Pourtant il y a trois ans on me disait mort, sans avenir, sans amour, sans rien du tout. Ils disaient tous que j'étais foutu, que la maladie serait plus forte que ma détermination qui avait faibli voyant le monde me laisser tomber. Mais ma résurrection s'est faite grâce à quelques paroles, ma force a été renouvelé et tel un phénix je me suis embrasé pour fermer la gueule à mes parents et toutes ces personnes qui me disaient mort. La maladie sera toujours là, mais ma force l'est toujours et à présent je suis armé face à cette plaie qui m'a il y a jadis terrorisé. Ma confiance que je donne aux autres, mon espoir qui brûle en moi, j'efface et j'oublie pour vivre et rêver. Je prends un nouveau souffle pour une nouvelle route... “ IT'S JUST ... ME ? ” √ Naïf √ Rêveur √ Généreux √ Optimiste √ Travailleur √ Fidèle √ Timide √ Altruiste √ Musicien (Guitare & Piano) √ Très peu lecteur √ Attachant √ Peu Sportif √ Asthmatique √ Câlin √ Attentif √ Docile √ Sang froid √ Dormeur √ Ponctuel (A cours de mot) √ Empathique √ Sentimental √ Nostalgique “ ANYTHING ? ” √ Est né le 21 Décembre 1992 à Toronto au Canada. √ Parle l'Anglais et quelque peu le Français. √ Il vit avec Anastasia et son père pour une durée indéterminée. √ Il a changeait son nom de famille à 18 ans, son ancien nom étant Kingsley. √ Il projette de devenir interne à l'hôpital de Détroit. √ Il a une chaine en argent avec un tigre, son animal favoris. DERRIÈRE LE PERSONNAGE NOM : J'aime conserver l’anonymat 8D AGE : 15 ans ~ * PAYS : France, belle et douce France ~ * CE QUE VOUS AIMEZ : Bonne question... /PAN/ Baaaah... Kingdom Hearts & Final Fantasy (GEEK) CE QUE VOUS DÉTESTEZ : Hum... ce que je déteste... Raah vous m'en posez des questions è.é (c'est un habile subterfuge... *tousse*) SÉRIES PRÉFÉRÉS : Pretty Little Liars, Once Upon A Time, Kyle XY et c'est tout... CÉLÉBRITÉS PRÉFÉRÉS : Jamie Dornan, Nico Tortorella (étonnant ?) et Jake Gyllenhaal. OÙ AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? Partenariat CE QUI VOUS A POUSSÉ À VOUS INSCRIRE ? Le contexte *w* CE QUE VOUS PENSEZ DU FORUM ? Il est zoulie *w* VOTRE PRÉSENCE : 6/7... AUTRES CHOSES À SAVOIR SUR VOUS : Pas grande chose non... PRÉSENTATION TERMINÉE : OUI [√] NON []

BIENVENUE!

NICOOOO TORTORELLAAAAAAAAA
EPOUUUUUUSE MOOOOOIIII *folle off*

Alors bon courage pour ta fiche, hâte de découvrir ton perso! Et puis j'espère que tu t'amuseras parmi nous <3

Ana un peu de retenue voyons... BIENVENUEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

Ninix, re-bienvenu Bon bah je te colle déjà sur la CB mon pauvre Oo'
bonne chance pour ta fiche et amuses toi bien parmi nous, ce qui semble bien parti Si tu as de nouveau un soucis n'hésites pas, je vis dans la CB et tu ne me dérange pas x) Et les autres modo et les admins sont formidables et ne mordent quasi pas *-* et ton avatar quoi

LES FILLES CALMOS IL EST MIEN 8D

Il est tien de rien du tout pardi ! Tu as suffisamment d'effectif à ton Braerem ! Nix, méfies-toi de lui, il va te sauter dessus si ça continue ! Puis, Jamie, Jake, Nico ; good good !

Bref, bon courage pour ta fiche et comme le dit mon comparse, si tu rencontres des soucis -encore ?- ou si tu as des questions, tu n'hésites pas, tout le monde est gentil, -y a que Braedy qui mord ! -à ta disposition et sera heureux de te fournir réponse et aide ! 'Fin voilà quoi, à très vite en jeu !

Bienvenue

Beugnoir meussieu !

Rebienvenue sur IMNP. Bon t'as déjà vu que les demoiselles étaient un peu en rut, et que les gens avaient une case en moins. C'est bien, ça, c'est bien. Tu sais déjà où tu te réengages, c'bien. T'as la foi dis donc.

Bienvenue à toi. Nico c'est un magnifique choix d'avatar.

Omg omg omg je t aime !!
Enfin quelqu'un qui a presque mon age et nico quoi *-*
Bref bienvenue a toi

Bienvenue bienvenue dans ce forum et j'espère que tu t'y plairas davantage avec tous ces membres x') ! Bonne chance pour la fin de ta fiche !

Je t'ai même pas encore souhaité la bienvenue :oooooooo, bon alors BIENVENIDAA

Bienvenueeeeee à toiiii !! (:
J'espère que tu te plairas sur le forum ! Si tu as la moindre question, surtout ne te gênes pas, on est là pour ça ^^
un autre fann de Once Upon A Time, il commence à en avoir un sacré paquet ahah !
breff j'ai bien hâte de voir ton personnage à l'oeuvre (: amuses toi bien (a)

Oooooouh des gens *w* Merci à tous pour vos bienvenues <3 Je vous n'aime etc... *se pend* Enfin c'était pour dire que j'ai terminé ma fiche 8D -enfin... bourrée de fautes T.T-

Je trouve ton histoire super (: C'est triste pour sa maladie, hâte de voir le destin que ton personnage aura sur le jeu en tout cas, je suis également ravi que tu ailles déjà un petit lien avec Anastasia ^^
Je te valide sur le champ, tu peux dès maintenant ouvrir tes sections importantes et débuter le jeu (: Amuses toi parmi nous surtout

^^ Je n'ai rien à ajouter pour ce qui est de ton histoire, je te souhaite simplement bon jeu !
Pour ce qui est des fautes, t'en fais pas, c'était très bien ahah (:
amuses toi bien et encore une fois, ne te gênes pas s'il y a quoi que ce soit (a)

BIENVENIDOOOOOOO

*100000 ans de retard , on ne dira rien*

Très bon choix d'avatar *-* Au plaisir de rpotter avec toi, passe me voir pour un pitit lien :3