Une autre soirée attendait le riche jeune homme de vingt ans. Depuis toujours, William Hurringhton Junior adorait plus que tout faire la fête, s’amuser et s’éclater en compagnies de superbes nanas. Car oui, le blondinet avait un charme fou, il le savait très bien, faisant craquer les cœurs de toutes celles qu’il croisait. Ce que le blondinet aimait le plus lorsqu’il faisait de l’effet à une jeune femme, c’est de jouer seul... Il n’avait jamais joué à deux, jusqu’au jour où il fit la rencontre de Hunter Evan McKinley, un homme de trente ans. C’était lors d’une d’une petite soirée dans un bar quelconque que les deux hommes flashèrent sur la même brunette. De voulant pas la laisser entre les bras d’un autre, Lyam fit face à face avec Hunter. Malgré un départ douteux, les deux garçons sortent, depuis, régulièrement ensemble. Casino, bar, bar et casino, soirée après soirée, ils s’amusaient.

C’est en ce vendredi soir que Lyam demanda à son ami de l’accompagné au Red Box. C’était bientôt le 21ème anniversaire de l’héritier, et il voulait se fêté entre gars quelque jours en avance. Ce fut s’en hésiter que Evan accepta. Malgré que ce dernier était dragueur tout comme Junior et qu’il pouvait lui voler quelque nanas, le blondinet appréciait sa compagnie. Depuis qu’il avait eu une aventure avec la copine de son meilleur ami à Los Angeles, William n’avait pas de sortit juste entre mec. Bien qu’il était en admiration devant les filles, les laissés quelque temps ne lui faisait rien... Ou presque, bien entendu, vu que les deux hommes adorait faire craquer les demoiselles, jamais il ne laissait les femmes de côté. C’est donc en entrant dans le bar, sans trop de difficulté, ils allèrent au comptoir, se prendre une bière, seulement pour commencer. Pendant la soirée, Lyam n’allait pas se gêné pour offrir des verres à toutes les personnes présentes dans se casino. Quoi de mieux pour avoir une fille?!

-Alors mec, près pour une partant pour une soirée de beuveries, de croosage? Moi sii! On fait un jeu d’accord? Celui qui ramasse le plus de numéro de téléphone en dix minutes paye une tournée à tous le monde.


Dit-il, le plus fort possible.

**Depuis son arrive à Detroit, Hunter ne s’était pas fait beaucoup d’amis. Déjà qu’il devait mentir à la plupart des gens, l’homme avait du mal à avoir une bonne relation sachant comment il était, les gens avaient plus tendance à le fuir plutôt qu’à souhaiter sa présence. Mckinley avait tout de même réussis à amener quelques nanas dans son appartement depuis son arrivé, ce qui était au moins quelque chose de sympa pour le solitaire qu’il devait être désormais Hunter. Ce n’était pas pour autant qu’il aimait être seul, mais de devoir s’exiler partout dans le pays, ça n’aidait pas pour les contacts. Il s’était fait des copains dans divers états depuis sa fugue à quinze ans, mais rien qui pouvait le suivre malheureusement. Il ne fallait pas oublier que Hunter avait retrouvé son ex, Autumn, une petite brunette qu’il avait brisé le cœur en couchant avec sa mère et pour amplifier la situation. Sa sœur, April était présentement dans les parages à son tour. Enfin, il avait un jour fait la rencontre de Lyam Hurringhton, un bourreau des cœurs qui n’avait pas seulement cet atout, cet homme était le fils héritier des Hurringhtons, l’une des familles les plus puissantes des États-Unis. Il avait beaucoup entendu parler d’eux, surtout de leur argent et de leur magasin. Il souhaitait développer cette relation dans l’espoir de lui retirer un peu de fric. C’était un plan assez parfait avait songé le blondinet. Il optait donc pour une relation sympa pour le moment. Lorsque Lyam lui téléphona, Hunter accepta son offre d’aller en boîte pour draguer et s’amuser. Evan se rendit là-bas avec le multimilliardaire. Il adorait sa voiture, beaucoup mieux que son vieux bazou. Enfin, il regarda Lyam en entrant dans la boîte avec un sourire amusé.**

« Bah, si tu me défis Will I AM… j’accepte ton fucking défi… et tu sais très bien que j’ai une plus belle gueule que toi, alors c’est moi qui va l’emporter ton concours… »

**Hunter aimait bien lui donner ce surnom, cela l’amusait beaucoup, après tout, le blond faisait toujours cela avec les gens, ce qui n’était pas un changement. Il affichait un grand sourire, attendant que son ami claque droit dans la paume de sa main.**

-Tu te goures mon vieux Hunter! J'ai une plus belle geule que toi et j'ai une preuve.. Cette fille là-bas n'arrêtes pas de me regarder.

Dit-il en jetant un regard à la jolie brune qui était assise au loin. Lyam claqua la main de son ami aussi fort qu'il le pouvait. Il venait de confirmer leur plan pour une partie de la soirée.Rien ne pouvait faire plus plaisir au jeune homme de pouvoir draguer de jeune femme, recevoir leur numéro de téléphone et de les appeler s'il sentait un certain besoin s'installer. La plupart du temps, non plutôt dire la strict vérité, tout le temps, les jolies demoiselles ne pouvait résister aux multiples charmes du blondinet. Il n,avait donc aucune craintes à se faire à affronter son ami. Bien que ce dernier avait une belle gueule, et oui Junior avouait qu'il avait un homme qui l'égalait, rien ne lui assurait la victoire. Simplement, le richissime savait qu'il pouvait gagner se défi en se mettant les doigts dans le nez! Il avait beaucoup de respect pour Hunter, mais cette soirée, c'était la sienne et rien ne pouvait le lui enlever...Juste après avoir tapé dans la main de McKinley, Hurringhton cala sa bière d'un coup sec. Il ne voulait pas à avoir à trainé cette bouteille déjà vite. Tout en s'en commandant une autre, il expliqua quelques règles pour le pari. Si William gaganait, premièrement, Hunter lui devait une trounée et il devait obligatoirement lui donner tout les numéro qu'il avait ramasser pendant les dix minutes. S'il perdait, il devait donner les numéros ainsi que payer la tournée à tout le bar complet. En imposant ces règles, Lyam était certain de gagner.

-On commence maintenant! On se retrouve ici dans dix minutes. Tu n'es qu'un loser mon vieux! Ha!Ha!

Et voilà, c'était parti pour faire craquer les jolies filles. Toi, tu vas goûter aux charmes du plus bel homme en ville. Lyam se dirigea vers la jolie brunette qui ne cessait de le dévisager depuis qu'il était entrer dans le Red Box. Tout juste arrivé, la demoiselle se mit aussitôt à faire les yuex doux, se rapprochant de plus près du jeune homme. Ce ne voulait qu'une chose, le numéro et aller voir ailleurs. Avec sa belle gueule d'ange, William lui dit qu'il n'était en ville que pour cette soirée et qu'il voulaitt absolument la revoir et qu'il voulait son numéro pour pouvoir la rapeller quand il le voudrait. Bang, c'tait dans la poche. Elle lui colla un baiser, ce qui surpris le jeune homme, mais il avait d,autres chats à fouetter. Jetant un coup d'oeil derrière lui, Junior vu que son ami était en compagnie d'une jolie rouquine, très sexy. Il ne l'aura pas, c'est moi qui l'aurai...

C'est comme ça que William se rendit aux côté de Hunter. Que pouvait-il bien faire pour compromettre sa chance...

Hunter Evan Mckinley accepta le défi, mais il espérait réellement gagner, il ne voulait pas payer les tournées de son ami milliardaire, ce qui serait de l’injustice total. Il savait très bien que Lyam pouvait se payer Detroit au complet, donc pourquoi recevoir des consommations gratuites, sachant que Hunter devrait voler ; peut-être même le jeune Hurringhton, si il perdrait ce pari. Le blondinet fixait le brunet avec un sourire moqueur. Hunter claqua à son tour dans la main de l’autre blond et accepta le défi. Il savait qu’il avait amplement ses chances, de toute manière, il était plus âgé que William et pourrait plus facilement récolter des numéros, des hommes plus mûres, ça plaisait toujours d’avantage aux femmes. Mckinley savait que peu importe l’âge, il pourrait s’y lancer.

« Loser, cowboy, c’est toi qui va se faire prendre à ce putain de jeu ! » Il lui fit un clin d’œil et claqua droit dans sa main. Evan prit donc chemin vers une jolie rouquine. Il avait toujours été intéressé par elles et celle-ci semblait plutôt facile à manier. Il commença à lui parler, il l’a fit rire, mais n’usa pas de verre gratos évidemment, Hunter n’en avait pas les moyens ni l’envie. Il adorait les femmes, mais il était fauché. L’homme continua à parler, il lui faisait des sourires et finit par lui demander son numéro, c’est à ce moment qu’il vit dans son champ de vision Lyam qui s’approchait de lui. Mckinley se mit à rire aux éclats et attrapa la bout de papier, il tourna les talons vers le riche héritier et dit tout sourire. « Tu déclares déjà forfait King of the hill ? »

Hunter ne savait pas ce qu’il faisait, il perdait du temps et jusqu’à présent, l’homme n’avait qu’un seul numéro, il n’avait pas envie de perdre, sinon il trouverait un moyen de fuir et de ne pas payer les consommations de ce cher Lyam, c’était la seule solution envisageable pour Mckinley.

Il s'approchait de blondinet, voulant nuire à sa chance avec la jolie rouquine, Malheureusement pour William, Hunter avait déjà le bout de papier entre ses mains. C'était peine perdue pour cette nana, mais cela ne lui faisait rien, car de toute manière, il aurait son numéro dans moins de dix minutes. Le richissime garçon était confiant ; il avait très souvent fait ce genre de jeu et à chaque coup, il réussissait au la main à surpasser ses compétiteur. Il n'y avait qu'une seule fois où Lyam n'avait pas été à la hauteur ; c'était il y avait trois ans de cela, lorsqu'il vivait encore à Los Angeles. Il draguait une jolie blonde, plutôt bien roulé. Pas de chance, cette journée là, la demoiselle n'était pas d'humeur... Elle claqua le jeune homme au visage et déguerpie. Quelle pouffiasse celle là ! Avait pensé Hurringhton. C'était ce que Lyam disait de cette histoire, car en réalité il avait sans le vouloir insulté la blonde, que le jeune femme l'avait claquer pour faire diversion car son petit ami était rentré dans le bar en question... Enfin, cela avait été la seule fois que le sexe symbole de Détroit avait perdue l'un de ses jeux.

- C'est toi qui devrais déclaré forfait parce que j'ai déjà trois numéros en poche. Je penses que je n'aurais pas à donner le moindre dollars !

Dit-il, et il déguerpit, laissant Evan en suspend. Bien qu'il soit très riche, Lyam Hurringhton Junior adorait triché. Ce n'était pas le fait qu'il n'avait pas d'argent pour payé la tourné qu'il agissait ainsi, au contraire, il avait assez de billets verts pour payer des voitures de luxe à chaque personnes présentes dans le Red Box. Le fait était qu'il adorait voir le visage des gens lors d'une défaite. Cela était très rare que l'héritier avouait qu'un autre mec étaient plus fort que lui. Il ne voulait quand même pas perdre sa réputation de tombeur. Sinon, de quoi aurait-il l'aire ? D'un garçon qui ne peut pas plaire à la gente féminine ? S'il ne pouvait avoir d'agréable moments, dans un lit bien évidement et avec des demoiselles, valait mieux mourir.

Dans ses poches, Lyam avait le numéro de la brunette à qui il venait de faire ses yeux d'anges et deux autres qu'il avait eu la soirée précédente. S'éloignant toujours du pauvre Hunter, le richissime jeune homme vit une ravissante blondinette qui parlait à deux jeune femme de couleur noire. Jack pot, trois en un. Et il s'y jeta, ne regardant pas vers l'arrière. Il ne restait plus que quatre minutes... Et il menait !

Hunter savait très bien qu’il n’aurait pas de chance, sachant que Lyam attirait les nanas avec son fric et Mckinley n’avait rien mise à part sa belle gueule et son charme, il ne pouvait même pas payer un verre à une de ses canons. Il se sentait plutôt dégradé et découragé face à ce combat qu’il tentait de mener bien que mal. Le blondinet était un dragueur et un charmeur né, beaucoup le pointait comme étant un coureur de jupon, mais malheureusement pour lui, son ami avait un avantage plus qu’imposant. Il allait devoir faire ce qu’il faisait le mieux, triché. Hunter fronça les sourcils face au commentaire de Hurringhton, il allait devoir tenir bon et semer la pagaille sans que William ne soit présent dans la pièce.

« Je ne déclare pas forfait mec, n’essaie pas de te prendre pour James Bond parce que tu as le fric, j’ai autant le physique que toi alors, tais-toi et pleure ! » L’homme se poussa dans le fond du Red Box. Mckinley aborda un petit sourire, il trouva une table remplie de nanas. Hunter sauta sur un banc libre, s’appuya contre la grande table et dit en souriant. « Hey ! Magnifiques créatures, je suis en train de faire un petit défi avec ce mec là-bas qui est riche à craquer et si j’obtiens le plus de numéro de nanas possible, il paie mes verres toute la soirée et dans le cas contre, c’est moi et je suis carrément fauché contrairement à ce plein aux as… ça vous dirait pas de me filer une bonne dizaine de papier rempli de numéro de téléphone et si vous souhaitez réellement de moi, une petit symbole à côté pourrait me le faire comprendre hein ! » Il se mit à sourire et fit un signe en direction des filles tel un matcho, enfin, c’était bien que ce que Hunter était. Il ne voulait pas devoir fuir et détruire une amitié avec Hurringhton, habituellement, il lui payait un tas de truc.

Généreux ? Non, ce n’était pas ce qui qualifiait le mieux le jeune Hurringhton. Évidement, il payait de tout et de rien à n’importe qui ; la tournée dans les bars, des bidules inutiles pour lui-même et plusieurs dollars pour son ami Hunter. Depuis le début de leur amitié, le blondinet avait dépensé beaucoup pour Evans, mais comme toujours, il ne se rendait aucunement compte du montant total. Depuis sa jeunesse, jamais il n’avait eu conscience des chiffres avant le signe du dollar. Sa famille agissait ainsi depuis toujours. Pauvre de lui, n’ayant jamais appris à agir intelligemment en ce qui concernait l’argent, il en dépensait les yeux fermés et les doigts dans le nez. Pour la famille Hurringhton, dépenser de l’argent était comme lire pour les autres : ça passe le temps. En cette soirée agréable, il avait parié avec McKinley et si vous connaissez bien Lyam, c’était de l’argent qui était en jeu (les boissons). Le beau gosse se dirigea vers une table où trônaient trois déesses. Tout sourire, le jeune homme s’avança, déclarant haut et fort : Bonsoir mes jolie. Vous ne trouvez pas que je suis beau gosse? Disait-il, faisant de beaux sourires et ils faisaient effets, car les trois demoiselle riaient, envoutés par la belle gueule de Junior. Je vous offre une boisson à chacune de vous en échange de votre numéro de téléphone.

Bang! C’était dans la poche. Lyam avait trois numéros en plus dans sa banque. Pendant que les déesses inscrivaient l’or sur une serviette en papier, le richissime jeune homme cria une tournée pour les jolies jeunes femmes assissent à ses côtés. Il ne restait plus qu’une seule minute pour gagner. Pour l’instant, le blond avait six numéros, plutôt quatre, car deux d’entre eux dataient de la soirée d’hier. Voulant voir où en était son ami, William se retourna. Malheureusement, Hunter était trop bien caché pour qu’il ne le voit. En dernière chance, le richissime accosta une autre demoiselle et lui dit du tac au tac qu’il avait besoin de son numéro pour gagner un pari. S’il l’emportait et cela était certain avait-il ajouté, il lui paierait une bière spécialement pour elle. La femme accepta, ce qui enchantait l’apollon.

Les dix minutes terminées, Hurringhton retourna au comptoir où lui et Hunter avait été précédent les dix minutes consacré au pari. Et il attendit qu’il se pointe, Evans, lui qui allait manger le plancher... Enfin, c’était ce qu’il pensait fortement.

Hunter Mckinley avait accepté le défi de Lyam, mais il n’était pas réellement enchanté par l’entente de celui-ci. S’il devrait perdre, Hurringhton prendrait un vilain plaisir à l’envoyer valser vers le chemin du portefeuille ouvert, mais malheureusement pour lui, il était complètement vide son portefeuille. L’homme venait de mettre sa chance de son bord en demandant à cette table de nanas tous ces numéros de téléphone, il ne voulait surtout pas perdre et une chance pour lui, ces demoiselles avaient été plutôt généreuses. Hunter avait en tout 14 papiers. Il borda un petit sourire et quitta la table de manière plutôt imposante, en tout, il avait reçu 4 numéros bordés d’un symbole qui signifiait qu’elle voulait qu’il lui téléphone réellement. Mckinley retourna au comptoir avec une petite minute de retard, mais ce n’était pas pour dérober un nouveau numéro malgré tout. Il fit un signe de la main tel un capitaine et sauta sur un tabouret. « Voilà mon cher Lyam, j’ai quatorze papiers authentiques ! Est-ce que tu as réussis à faire mieux le tombeur ? » Demanda-t-il le sourire aux lèvres. Il observa le barman un instant qui servait des verres aux clients du comptoir, espérant au plus profond de lui-même qu’il puisse gagner ce petit défi, la prochaine fois, il ne retenterait sans doute pas le coup, sinon, c’est un vol plus important qu’il allait devoir commettre, surtout qu’il avait une partie de poker de planifier pour la fin de la semaine, ce qui serait important pour le blondinet d’avoir quelques milles en poche.

Le blondinet attendait sagement que son ami revienne, ce qui prit un petit moment. Lyam ne savait guère que Hunter avait près du double de numéros qu'il avait en sa possession. Quand il le vit enfin s'approcher, Evan avait un très grand sourire sur les lèvres. Mais voilà que ce visage était justifié ; il avait quatorze petit papier contre un maigre six. Cela n'avait aucun sens aux yeux du richissime. Il avait une belle gueule ! Habituellement, lorsqu'il s'agissait de draguer es jolie filles, personne ne pouvait battre le sexe symbole de Détroit. Les femmes le voulait et les hommes le craignait. J'en crois pas mes yeux. Tu... Comment t'as fais ça? J'suis le plus beau mec d'là ville ! Il ne voulait pas avouer le nombre de ticket qu'il avait, de peur de passer pour un perdant, ce qui n'était évidemment pas le cas. Il donna donc tous ses numéros, sans rien dire. Il espérait que HUnter ne fasse pas de cas. Tournée pour tout l'monde! Cria t-il le plus fort possible. Et lorsque le barman s'approcha des deux blond, l'héritier lui dit : Tu vois ce gars ? Tout ce qui prend tu le mets sur mon compte. Assure toi qu'il est ce qu'il veut en moins de cinq secondes. Finit-il de dire, en donnant au barman un billet de cent dollars. Pour Junior, donner autant d'argent pour un service pareil était très peu. Putain ! Elle est canon celle là ! Une jolie demoiselle à la chevelure noir fit son entré dans la boite. Elle portait des shorts noir et une camisole rouge, qui faisait ressortir la couleur de sa peau. Laissant la beauté de côté ( pour l'instant, car il allait l'avoir un peu plus tard), Hurringhton regarda son ami, qui se délectait avec son alcool illimité pour la soirée. Alors Evan, tu veux faire quoi? Boire jusqu'à ne plus savoir tenir debout? Lança t-il tout en riant aux éclats. Bordel que ce serait marant de te voir saoul à un tel point. Toutes les conneries que tu ferais! Je payerais cher pour voir ça! Et il ricana un bon bout. Pour rire et s'amuser, William était prêt à payer n'importe quoi et n'importe qui ; à n'importe quel prix surtout. Voilà ce qui constituait le jeune hommes ; un paquet de fric qui ne sert qu'à payer des trucs loufoque et complètement inutile. Au moins, il y en avait certain, plus particulièrement McKinley, qui se servait du richissime... Dans son dos bien sur!

Hunter n’en croyait pas ses yeux lorsqu’il se ramena vers son ami Lyam et balança son paquet de papier devant lui. Le blondinet prit panique aussitôt face à cette remarque, ce qui décrocha un malicieux sourire sur les lèvres du criminel, il se mordilla le bout de la lèvre et éclata de rire aussitôt. Le macho qu’il était n’aurait jamais cru gagner malgré tout face à cette grosse tête de Lyam Hurringhton. Après tout, contrairement à lui, le jeune homme n’avait pas l’argent possible pour faire tout ce qu’il voulait, mais au moins, cette petite guerre était terminée et il venait d’obtenir ce qu’il souhaitait, la tournée payée pour toute la soirée sans devoir débourser le moindre verre pour l’autre blond. « Ça veut tout dire mon Lyam, le plus beau vient d’être surclassé ! » Et il tira son bras vers l’avant, comme pour démontrer qu’il était fier de lui. Il souriait grandement, laissant sa mâchoire se contracter par le mouvement de fierté qu’il venait de faire.

Dès que l’homme prononça qu’il payait sa tournée au barman, un sourire amusé se glissa sur son visage. Son regard se posa vers les bouteilles d’alcool qui trainaient derrière le bar et il fit un bond sur l’un des bancs vacants, ce qui était plutôt rare au Red Box. « Je vais te prendre une tournée de Tequila et au pire, passe la bouteille Cowboy ! » Il leva les sourcils en même temps que de sourire et sortit un tantinet la langue. « Si tu veux me saouler, profite de l’occas Big Daddy, parce que c’est toi qui paye ma cuite aujourd’hui. » Il hocha la tête au barman et attrapa la bouteille et les petits verres à shooter pour rejoindre la table où ils étaient assis un peu plus tôt, mais une bande de mec venaient de la prendre avec une nana. « Hey, on dégage les abrutis, c’est notre table ! » Soudainement l’un d’eux se leva, le fixa dans les yeux, il était un peu plus grand que Hunter, mais ça ne lui dérangeait pas. Il déposa le cabaret sur la table voisine, provoquant l’étonnement des voisins et hurla. « Tu veux quoi le connard, c’est ma table alors tu dégages ! C’est tout » Et l’homme se prépara à frapper, mais Hunter se pencha, attrapa le bras du costaud et le tordit pour lui balancer une droite directement dans le visage.

Lyam ne digérait pas vraiment le coup de grâce que Hunter lui avait servit. Ce dernier avait gagner le petit pari qui était de rapporter le plus de numéros de nanas possible en dix minutes. Ayant perdu, le jeune héritier devait payer chaque boisson consommé par son ami qui allait surement en profité à fond. T'as tout faut McKinley. J'aurai ma revanche plus tôt que tu ne le crois. Lança t'il, d'une voix qui mettait encore plus accent sur le message qu'il venait de passer. Après avoir payer le barman, Lyam vit Ethan dire aux serveur de laisser la bouteille de Tequila avec là, car il allait s'en servir très souvent. Les deux, sourire aux lèvres, se dirigèrent vers une table, leur table à ce que Hunter disait. Mais la situation dégénérait... Un grand costaud se tenait devant eux, bars croisé contre sa poitrine. Hurringhton n'étant pas le genre d'homme à être '' peureux '' s'avança près du géant, idée de l'intimider. Mais c'était plutôt le contraire qui se produit...

Lyam ne pouvait s'empêcher d’applaudir son ami après cette droite bien envoyé. Non mais quel connard ! Pensa t-il envers l'homme qui s'essuyait le visage. Tout juste il se remit sur pied qu'il envoya solidement un crochet au visage de richissime. Ce dernier eu le temps de se retourner et d'ainsi éviter le coup qui venait vers lui. Prenant le bras de Ethan, il prit la porte en criant : J'fiche le camp d'ici ! Si je veux ma revanche, j'ai besoin de ça. Dit-il, en désignant son visage. Les deux sexe symboles échangèrent une poignée de main, quelques mots et quittèrent les lieux pour leur chez soi respectif.

Terminé & verrouillé.