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^^

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je vais t'assassiner ><'

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.. oh merde T_T

Moi je m'aime ! Puis, ce serait trop facile si je te laissais t'en sortir dignement, cette photo est plutôt ... affreusement ridicule

« La vie n'est pas un restaurant mais un buffet. Levez-vous pour vous servir. »

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Me and News Cuties @GoodNewsWendy and @RobertNBCLA at @LAPressClub awards

American Horror Story 20
Big Love 08
Buffy The Vampire Slayer 10
Lie to me 14
Veronica Mars 10
Hart of Dixie 03
Being Human 15
Chuck 12
Urgence 09

e drôles de retrouvailles, c'était le cas de le dire, même si pour la jeune femme, c'était plutôt une première rencontre. Le visage en face d'elle ne lui rappelait affreusement rien. Quelle horreur en sachant qu'elle l'avait aimé plus que tout dans son ancienne vie. Comment notre esprit peut-il effacer ainsi nos passions ? Ou bien alors Riley n'était-il pas le "bon". Personne ne le savait, encore moins la brunette, qui tentait toujours de comprendre ce qui lui arrivait. C'était la première personne qu'elle rencontrait, enfin, façon de parler, qui venait de son passé. Parfois, elle regrettait d'avoir cette nouvelle vie, car finalement ce n'était pas une nouvelle chance, ou peut-être. L'expression "recommencer tout depuis le début" n'avait jamais sonné aussi bien que dans son cas. Seulement, Sunny n'était plus que l'ombre de son passé et cette quête de ses souvenirs l'avait épuisé, au point où elle ne croyait plus à grand chose. Ni même en la bonté humaine, qu'elle avait toujours prôné auparavant.

- Quel est l'intérêt du page blanche, Riley ? Sans forme, vide et quelconque, rien de bien attrayant et passionnant en somme. Surtout quand elle met autant de temps pour se remplir. Et non je n'ai jamais consulté... Je me suis déjà souvenu de certaines choses, mais ce n'était que des bribes de mon enfance, rien de bien intéressant.

Elle sentit le malaise chez son interlocuteur, ayant un certain flair, comme si elle parvenait à lire en lui. Seulement elle ne savait pas trop ce qu'elle pouvait y faire. Devait-elle intervenir ou au contraire, faire comme si elle n'avait rien remarqué ? Elle ne savait pas et préféra ne pas agir, certaine que ce malaise, elle en était à l'origine. Puis, il lui lança ce qui semblait être une pierre, en pleine figure, blessée, elle tenta de se contenir et d'écouter attentivement.

- Je n'ai rencontré personne venant de mon passé... à part vous. Et vous prétendez que vous n'êtes pas la bonne personne ? Surtout si nous étions proches, je ne vois pas de meilleur placé que vous pour m'aider à travers tout ça. Je suis prête pour entendre la vérité, depuis pas mal de temps à présent.

Dit-elle d'un ton convaincu, espérant que cette confiance se transmette à Riley, afin qu'il lui fasse part de sa mémoire la concernant. Il était sa bénédiction du jour, du moins c'était ce qu'elle croyait.

- J'aimerai bien croire que tout soit aussi facile, mais ce n'est pas le cas.

Elle ne désira pas en ajouter plus, ce sujet constituant son talon d'Achille, elle n'était bonne à rien et en était pleinement consciente.

- Ca m'étonnerait, regardez ce que je suis devenu...

Bien sûr, il était le seul à pouvoir entrevoir son évolution. Ses paroles l'avait réconforté, du moins en partie, elle regardait à présent sa main posée sur la sienne. Ses propos suivants, enfin cette courte phrase, donnant la clés de cette énigme lui fit l'effet de... comme si on lui arrachait le coeur en réalité. Elle allait encore se livrer à un interrogatoire constitué de questions stupides, mais sa phrase portait à confusion, Riley ne précisant pas qui était parti en premier.

- Vous ? Moi ?

Sujet dangereux dans lequel ils s'engageaient à présent. Personne ne pouvait savoir comme elle réagirait lorsqu'elle apprendrait qu'elle avait été sauvagement assassinée, presque gratuitement par un inconnu qui n'avait jamais été puni par son crime. Peut-être valait-il mieux que Riley ne lui dévoile rien. La balle était dans son camp à présent, et sa main qui serra celle de Sunny n'annonçait rien qui vaille.

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Le pied que le brunet plaça sur le début du tunnel signifiait aller de l’avant. L’ancienne mourante se sentait capable de le suivre.

Il la garda contre lui. Ça faisait du bien de la serrer dans ses bras. Il avait eu peur pour elle, vraiment très peur. Peur qu'elle énerve les hommes, peurs qu'elle face quelque chose e stupide, peur que sa tête ne revienne pas aux homes, peur qu'elle soit prise pour cible tout simplement. Et elle vivait. Elle se remettrait du choc. Il lui faudrait du temps mais elle s'en remettrait. Il fallait qu'elle se repose, qu'elle se prenne du temps pour elle, qu'elle fasse le vide. Elle devait oublier la peur. Elle devait la combattre, et l’abattre. Elle reprit la parole, la voix tremblante. Elle semblait avoir du mal à lutter, contre tout. Elle semblait se battre contre ses démons, ses peurs, contre elle même aussi. Elle semblait au bord du gouffre. Braeden comprit rapidement que le bus n'était pas une première. Après tout que savait-il de la vie de son amie? Pas grand chose malheureusement. Il lui en toucherait deux mots plus tard, quand elle serait en forme, qu'elle serait "guérit". " Pour répondre à ta question, mon employeur a décidé que je n'étais plus apte à travailler... alors je reste chez moi, bien sagement, en attendant le jour où je pourrais enfin regagner mon bureau. Je... je me sens... inutile. Sans mon emploi... je ne suis rien ! Sans parler du fait que rester enfermée chez moi… ne fait qu'empirer les choses. J'ai peur. Peur que quelqu'un s'introduise dans mon appartement... J'ai du mal à dormir... En résumé, je vais tout sauf bien ! " Ça, c'était dit. Quel connerie de l'avoir mit à l'arrêt! Braeden savait que la meilleure chose à faire pour oublier était de penser à autre chose. Il décida au moment même de lui trouver un truc à faire, de lui aérer l'esprit. Il ne fallait surtout pas qu'elle se renferme dans son monde, ça faisait trop mal de rester comme ça. "Tu... Je sais que c'est dur, que c'est long et douloureux, mais il ne faut pas que tu ais peur, il ne faut pas que tu restes la dedans... Je trouverais une manière de t'aider, mais tu dois te changer l'esprit, tu dois arrêter d'avoir peur, il le faut, pour toi.." Son amie allait mal, elle avait vraiment du mal à ne pas pleurer, à ne pas laisser exploser sa détresse. Il ne savait pas quoi faire. Lui même était dans un sale état, même si il ne montrait rien. Il avait apprit à cacher tout ça depuis longtemps. Personne ne savait ce qu'il avait vraiment vécu. Néanmoins il réussi à la faire sourire, un peu. "Ça ne veut rien dire ça. Tu m'as fait peur, tu n'étais pas obligé de jouer les Rambo... il aurait pu t'arriver bien pire. Tu es un inconscient Braeden. C'est la moindre des choses que de te remercier, alors laisse moi le faire" Elle souriait vraiment, malgré son regard humide. "Eh! Je n'ai pas joué les Rambo... J'suis militaire Hesther, enfin je l'étais. C'est mon boulot tout ça, et puis tu sais c'est pas la première fois que c'est moi la cible... il ne faut pas avoir peur pour moi, vraiment" Il ponctua sa phrase d'une caresse sur la joue de la jeune femme. Elle méritait de savoir un peu, elle méritait de s'en remettre, et lui ne méritait pas que quelqu'un s’inquiète autant. Lui qui avait abandonné sa famille.

Ils restèrent silencieux un moment, se contemplant, l'un dans les bras de l'autre. Elle l'écouta parler. Elle semblait triste. Elle semblait seule. "Tu en as de la chance, vraiment. Ce sont de véritables amis. Et puis je suis sûre que tu es la coqueluche du service" Coqueluche.. Il sourit. C'était vrai qu'avec Lullaby et Juliette, ses amis d'enfances, qui travaillaient la, et son charme, il avait pas de mal à vivre. Même si tout cela ne marchait pas pour faire changer l'affreuse nourriture de l'hôpital. Et puis.. Elle avait raison, il s'en rendait compte. Il avait des amis géniaux. Downy passait tout son temps libre à l'hôpital, laissant de coté son travail et ses sorties. Juliette passait tout son temps dans sa chambre, laissant les autres patients aux infirmières, et Hesther qui allait mal sortait pour lui. Elle faisait cet effort, elle se battait, pour lui. "Tu es une véritable amie Hesther. Te voir me fais beaucoup de bien..." Une autre caresse sur sa joue. Il était câlin et tactile, c'était comme ça; il voulait la câliner, la chouchouter, la rassurer. Elle le méritait. C'est en plein câlin qu'elle posa LA question. "Et psychologiquement?" Que répondre? La vérité ou un mensonge? Il en avait assez de mentir. Il s’apprêtait à répondre quant elle rajouta "Pourquoi on se trouvaient dans ce maudit bus à ce foutu moment ? La vie a parfois de drôles de jeu il faut croire" "On y était parce que c'est comme ça... c'est pour nous rendre plus fort. Je me suis souvent posé cette question, même très souvent... Y a pas de réponses, faut pas chercher une réponse. Plus tu cherches, plus tu souffres. Niveau psychologique... J'vais voir un psy justement, parce que... J'fais des cauchemars. Je mélange le bus, l'armée, et mes proches, j'vois des trucs horrible, tout le temps, je dors plus..." Il soupira et baissa la tête. C'était plus douloureux à dire qu'à penser. Il avait besoin de se confier, ça faisait trop mal le silence. Il souffrait de trop. La tête remplit d'image de ses proches morts, de tout ceux qu'il avait tué et qui venait se venger, de bus, de déserts, et de sang.

Vous trouverez ci-joint le nombre de B totaux et par service à fin mai pour validation.

Bonne réception,

Cordialement.

http://

(ça sent le job)

https://www.youtube.com/watch?NR=1&v=KsxSxF3JKeU&feature=endscreen

alors bus ligne 82

00h35 Fais des sondages mais stoppe car là c'est trop

Comment tenter de ne pas se faire découvrir ? ♥

uc

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120016645

J'ai adoré !

DP sorry: J'en suis au deuxième: c'est plutôt lugubre, dialogue cru, image à faire flipper mais bien mon truc en somme . Allez je continue!

Évocation du quotidien ; mémoire du passé. Plusieurs thèmes abordés en cette nuit qui touchait à sa fin. Clair obscur - peuplé de cauchemars - investigateur de cette conversation. Le sommeil agité pour les uns et l'absence de sommeil pour les autres venait de réunir trois des membres de cette famille autour de la table du salon. Alors que tout était calme, le voisinage devait certainement dormir à poings fermés – pas un bruit ne montait de la rue – les Silvpil eux étaient bien éveillés. Luminosité chatoyante – teintée de bleu et d'orange, filtrant par la persienne au dessus de leurs têtes – accompagnant leurs paroles, mais aussi le bruit métallique des cuillères cognant le rebord des tasses. Eldin reporta son attention sur Lana, avant d'ajouter avec un sourire narquois. « Oh ne t'en fais pas, je sais de quoi tu es capable lorsque tu es en colère. Je plains tes pauvres élèves d'ailleurs. » Hochement de tête en signe d'acquiescement. Malgré l'inquiétude qui venait de s'emparer de lui, il savait pertinemment que la brunette possédait assez de tempérament et d'autorité, pour pouvoir gérer une classe d'élèves aussi excités que des Ouistitis devant leur repas. Cette pensée grotesque eût pour effet presque immédiat d'arracher un nouveau sourire au Suédois. Bien vite, et en projection mentale il extermina les singes farceurs afin de pouvoir se concentrer sur le dialogue échangé entre son épouse et sa sœur.

Le moins que l'on puisse dire, c'est que Eira avait un certain chic pour appuyer là où ça fait le plus mal, comme parler de l'emploi de son frère et du fait que plus rien ne l'obligeait à présent à persévérer dans la voie choisie par leur paternel. Tout en remuant son café - de manière peut-être un peu trop vigoureuse, extériorisation de son léger énervement du moment – il chercha ses mots. Au bout de quelques secondes il dit enfin : « Personne ne me force à continuer à jouer les psy, c'est sûr ! Mais à mon âge et sans autre bagage, qu'est-ce que tu veux que je fasse ? Et puis soyons réalistes, je ne suis pas tout seul, je ne peux pas jouer aux égoïstes en reprenant des études... Cela voudrait dire plus qu'un seul salaire pour faire vivre notre famille, et ça je ne veux pas. Je ne veux pas infliger ça à Lana. Je n'ai pas ton insouciance Eira, tout le monde ne peut pas agir selon ses envies, sans se soucier le moins du monde des conséquences. » Durant un instant, on pu presque voir des flammes dans son regard alors qu'il posait les yeux sur sa sœur adoptive. Finalement, cette espèce de jalousie latente était toujours présente. Jamais au grand jamais quelque chose n'avait été imposé à la blondinette. Elle ne savait pas ce qu'était de ne pas avoir le choix, d'être obligé de suivre un chemin tracé d'avance par une main différente de la sienne. Elle ne savait pas à quel point ça pouvait faire mal, elle ne savait pas tout ça. C'est pour toutes ces petites choses qu'il lui en avait voulu, et qu'il lui en voulait encore un peu. De quel droit se permettait-elle de lui donner des leçons alors que leurs parcours étaient si différents l'un de l'autre ? Comme s'il l'avait attendue, pour réfléchir à son avenir professionnel. Rien ne servait de s'énerver, pour faire retomber la pression, il bût une longue gorgée de sa boisson chaude.

La légèreté et ce ton – employé par Eira - une fois de plus insouciant au possible, l'irritèrent un peu plus. Ne voulant pas se montrer plus cassant qu'il ne venait de l'être, il n'ajouta rien de plus sur les activités professionnelles de sa sœur. Ils n'étaient pas là pour se battre, mais pour s'épauler, aussi fît-il un effort pour arborer de nouveau un visage amical. « Besoin de changement ? De quel genre ? Et puis qu'est-ce que tu as fais de ton fiancé ? Tu l'as laissé au fin fond de ton placard à Chicago ou bien … ? » Cela ne le regardait pas vraiment, aussi laissa-t-il sa phrase en suspend. Haussement d'épaule avant d’enchaîner. « On a plus vraiment grand chose à se dire avec les parents... mais un petit effort ne peut pas faire de mal. Il réfléchit un peu, cherchant de nouveau des termes simples avant de reprendre la parole au sujet des cauchemars. En fait, tu cherches une réponse voire des réponses au travers de ces cauchemars. Alors ok ce n'est pas plaisant de revivre ces souvenirs, mais si tu revois tout ça c'est pour trouver cette fameuse réponse. Une fois que tu l'auras trouvé, ton cerveau te laisseras en paix et ne t'enverras plus ces images. C'est ce qu'on appelle l'illusion perceptive. Il y a une image ou un message caché derrière ces « simples » cauchemars. A toi de trouver le pourquoi du comment. Un large sourire s'afficha sur les traits du quarantenaire. Oui ça sert à te guérir. Ça nous feras donc un total de 50 dollars pour cette séance. »

Lana venait de déserter la pièce - belle excuse que ce café renversé - ne supportant visiblement pas ce sujet de conversation. Il jeta un regard à sa chaise vide, avant de reporter son attention sur la blondinette, guettant une réaction de sa part.