https://perfect.forum-canada.net/t298-l-arnaque-ca-ne-s-oublie-jamais-hunter-cassyopee#10158

- Je vais tout faire pour Mademoiselle mais j’avoue ne pas vous suivre … Ce regard n’était pas rassurant. La belle était instit’, pas étonnant. Ça lui allait à merveille. La belle avait cette allure de femme gentille et respectueuse. Ce n’était peut-être que des apparences mais Haley la considérait comme telle. Elle n’était pas méchante, c’était indéniable. Son visage traduisait ce fait. Pardon, j’ai cru … Non restez. La rousse se défilait et préférait partir. Shelton y avait sûrement été fort. Elle se radoucit. Vous ne m’avez rien fait C’est moi qui suit trop brusque. Qu’y a-t-il ? Jason ne va pas bien ? Il a dit quelque chose de mauvais sur moi ?

Un bon coup en plein dans la tronche, c’était exactement ce que méritaient les voleurs en son genre; il l’avait bien cherché! Autumn était fière de son coup, elle avait heurté directement le nez de son agresseur pour ainsi le mettre K.O par terre, où il ne resta malheureusement pas très longtemps… Apeurée lorsque son interlocuteur attrapa son bras frêle, elle laissa échapper de surprise la poêle qu’elle tenait auparavant plus que ferment et qui finit par atterrir en bruit sourd contre son planché de bois franc couleur crème. Hunter!? Sans plus attendre, ses sourcils se froncèrent. La dernière fois qu’elle avait vu ce connard, il était en plein ébats avec une personne qu’elle affectionnait grandement, sa mère. Évidemment il était évident que ce cinglé ne resterait pas bien longtemps encore dans sa vie, elle avait mis un terme illico à leur relation qui de toute manière, commençait à battre de l’aile. Avait-elle pardonnée à sa mère ces actes complètement dégoutants? Absolument…d’accord, pas tout à fait, mais la relation qu’elle avait avec son père était plus qu’étrange et ce dernier n’avait rien à ajouter sur le sujet…sujet qui devint par la suite une cause de moquerie dans la famille Savannah, là où apparemment les femmes prenaient de la beauté en vieillissant. Câliss, c’est à moi d’te demander ça, non!? Explosa de rage la jeune brunette complètement perdue et encore plus sur le choc de revoir ce grand sans-dessin. c’est chez moi merde! à ce moment, elle se dit qu’il avait été préférable que le poêlon tombe sur le sol car elle aurait probablement usée de sa force pour achever ce connard de première; ce qu’elle pouvait le détester! Évidemment elle le fixait, attendant une réponse de sa part, bien qu’elle semblait déjà avoir trouvé la réponse qu’elle cherchait; c’était assez louche de se promener dans les maisons des autres, à fouiller dans bon vous semble et à changer de ville pratiquement tous les ans… ouais, elle connaissait ce petit jeu qu’aimait bien faire Hunter… Les ‘’Huntumn’’ Hunter et Autumn, comme s’amusait à les appeler son père, alors qu’ils sortaient encore ensemble.

Les jeux stupides des adolescents poussaient souvent les plus démunis à faire des choses démentielles. Sans cela, il n’y aurait jamais eu la tragédie de Columbine. Deux adolescents ayant mis à feu et à sang leur propre lycée, tuant une multitude de personnes comme dans leurs jeux vidéos. Certaines personnes étaient plus fragiles que d’autres. La seule vengeance trouvait rester répondre à la haine par la haine, seulement si l’adolescent embêté en question possédait un temps soit peu de répondant. Sinon, les plus faibles se réfugiaient dans des comportements suicidaires. Ils s’automutilaient, se droguer, devenaient anorexique ou boulimique ou même les deux: ces constats étaient affolants. Des jeunes souffraient à cause de leurs camarades bien trop sûrs d’eux. Stella faisait partie de la catégorie des gens populaires. Ceux qui martyrisaient un peu plus les autres. La jeune fille était mature et elle avait du cœur mais son seul tord était de rester passive des fois ou de ne pas crier assez fort pour que ses potes stoppent leurs horreurs. Brett se confia. Il avait perdu un ami à cause de gens qui agissaient comme les amis de Stella: ce clan intouchable mais qui en général paie plus tard ses bêtises. Car en grandissant les rôles s’inversaient. La sociologie ne démentait pas ce fait.

- Je suis navrée papa… . Et toi, tu as aimé le lycée? Elle marqua une légère pause. Tu penses? Pour analyser ce qui pousse les gens à se dépasser et aller très loin dans leurs actes? La conversation suivait son cours, rien ne pouvait arrêter les deux protagonistes de cette dernière si ce n’est qu’eux-mêmes. Mais ils étaient bien partis pour durer des heures. C’est quoi qui te fruste papa? Il est du à quoi se caractère? Un bon psychologue doit d’analyser soi-même d’abord pour pouvoir analyser les autres ensuite. La discussion plaisait à la blondinette. Elle rit avec son père. Tu crois? Il ne fallait pas me faire, je te l’avais dit. Brett avait le don de retourner la situation. Question d’équité ou de mal-être? Je ne sais pas. Peut-être le fait que je régis trop durement des fois. J’ai vite perdu mes rêves pour plonger dans la réalité. Des fois, ça me saoule. Elle sourit difficilement. La suite la fit rire de nouveau. Bien-sûr qu’elle était invitée à des fêtes. Mais pour ses parents elle dormait chez une amie la plupart du temps. Je regarde la télévision papa, les émissions pour ados sont bourrés de récits dans les confréries étudiantes. Elle soupira, c’était moins une. Oui tu as raison, je suis d’accord. Les tiennes pouvaient servir, non, alors pourquoi tu n’es pas fier? Car tu as du les stopper en définitive? Tu peux laisser maman tenir la barre au cabinet de détective et faire ce qu’il te plaît. Tu n’as pas envie de reprendre des études? Elle ne releva pas les dires de son père à propos des hommes infidèles qu’ils pistaient. Une bonne chose! Si tu el dis… . Oui je vais prendre mon temps, je veux réussir ma vie: j’ai encore de l’ambition. Son ton se voulait ironique pour titiller son géniteur. Le temps n’est qu’un donnée. Regardes on se parle seulement au bout de seize ans, le temps on s’en fiche, l’important c’est le résultat. Ravie de mieux connaître le détective, elle le fixa d’un air enjoué. La conversation tourna autour du couple Evans qui battait de l’aile. Tu as envie que ça change, non? C’est toi qui voit papa. Les révélations de Brett plut égoïstement qui voulait que ses parents soient heureux à deux. Un rêve d’enfant! C’est une bonne chose. Cela ne t’empêche pas de parler à tes amis, de prendre de leurs nouvelles. Toi t’es marié et il s’en fiche, Nash se marie et ça y’est tout le monde ne doit plus se voir: je me demande ce que tu leur dis… . Stella acquiesça aux paroles suivantes de son père quant à l’intimité de sa fille. Ok, répondit-elle simplement, pas habituer de discuter de cela avec l’homme. Oui maman est un peu trop entreprenante. En plus, elle est jamais là, où sont ses droits? Elle n’est pas comme cela avec toi? Si tu dois toujours lui rendre des comptes, ça craint. Elle marqua une légère pause. La philosophie? J’y connais rien, je parle par expérience c’est tout. Mais merci quand-même. Elle sourit, un peu touchée par les dires de Brett. Je comprends, tu avais besoin d’en parler. La suite avait tourné en séquence émotion. Merci papa. Je suis contente de t’avoir dans ma vie, je l’ai compris tard désolé… . Oui une discussion avec maman est intéressante sauf si elle s’emporte, plaisanta-t-elle. La suite la fit sourire. Super! Tu aimes la musique? Je ne savais pas. Tu m’as inculqué cela sans le vouloir, t’en mieux car je ne pourrais vivre sans la musique.

**Kaylee Catherine MacAllister se trouvait dans une impasse. Elle était prise entre deux réalités, dans l’une, il y a avait des centaines de fans, des caméras et des projecteurs braqués sur elle à toutes les mètres et dans l’autre, il y avait une horrible défunte qui semblait vouloir l’énerver un tant soit peu. La blonde avait toujours été gentille avec les gens, on ne pouvait pas dire qu’elle n’était pas superficielle et perfectionniste, parce qu’une partie d’elle l’était amplement, mais cela ne signifiait tout de même pas qu’elle était une mauvaise personne. Kaylee pouvait faire plaisir aux gens et savait se faire aimer malgré tout. Lorsqu’on connaissait les célébrités qui jonchaient la carte des États-Unis, Kaylee MacAllister était une très bonne personne. De plus, le métier qu’elle usait n’était certainement pas quelque chose de malsain. Elle permettait à beaucoup de gens de s’en sortir, lorsque le deuil était trop intense et terrible. De se faire harceler de la sorte par cette jeune femme qui semblait avoir la moitié de son âge, en tout cas en apparence, vu que Kay savait plus que quiconque que les apparences pouvaient être trompeuses lorsqu’on parlait de défunt. L’arrêt du vieillissement et l’immortalité de ses êtres en montrait les premiers effets. Pourquoi cette femme s’acharnait-elle sur elle de cette façon, Kaylee ne l’avait jamais vu, elle ne l’a connaissait pas du tout. Elle se sentait choquée, mais aussi profondément perturbée. Cela ne faisait qu’un mois que Catherine avait été attaquée par un inconnu, l’avait enfermé durant deux longues semaines dans un entrepôt loin de chez elle après avoir été torturée. Elle avait encore des cicatrices dans le dos. Kaylee faisait toujours des cauchemars depuis cette histoire et elle ne souhaitait seulement jamais revoir ce fou furieux. Elle doutait qu’il s’était suicidé, mais que ferait-il. Elle avait prévenu le tunnel blanc, mais seraient-ils capable d’agir ? Enfin, elle ne pensait pas que cette femme avait un lien avec ce tueur en série, mais bon, ses questions étaient très étranges, cela donnait littéralement des frissons à la célébrité. Elle se mordilla la lèvre et insista.**

« Arrêtez, je ne comprends pas du tout pourquoi vous agissez ainsi envers moi, je ne vous connais même pas, je ne vous ai pourtant rien fait… je vous en prie, arrêtez… tout le monde me regarde.,,, »

**Elle ajouta un sourire forcé à ses douces lèvres en direction de la foule. Elle voulut avancer le plus vite possible pour entrer finalement, mais la jeune femme lui tira les cheveux vers l’arrière. Elle risqua de perdre pied. La blonde essaya de retirer les mains de la défunte. Tout le monde l’a dévisageait. Elle tourna la tête et tira la main de la jeune femme pour finalement réussir à sortir de ses griffes. Elle recula d’un pas et tenu ses cheveux qui lui étaient désormais très douloureux.**

« C’est quoi votre problème… arrêtez ! J’ai aucun souci, tout va bien, maintenant… partez ! »

**Kaylee s’empressa de marcher vers l’entrée du gala, elle laissa tomber complètement la horde de fan qui désirait recevoir un autographe de la jeune MacAllister. Elle se sentait très maladroite, mais elle ne pouvait pas se laisser ridiculisée de la sorte plus encore.**

Un bon coup en plein dans la tronche, c’était exactement ce que méritaient les voleurs en son genre; il l’avait bien cherché! Autumn était fière de son coup, elle avait heurté directement le nez de son agresseur pour ainsi le mettre K.O par terre, où il ne resta malheureusement pas très longtemps… Apeurée lorsque son interlocuteur attrapa son bras frêle, elle laissa échapper de surprise la poêle qu’elle tenait auparavant plus que ferment et qui finit par atterrir en bruit sourd contre son planché de bois franc couleur crème. Hunter!? Sans plus attendre, ses sourcils se froncèrent. La dernière fois qu’elle avait vu ce connard, il était en plein ébats avec une personne qu’elle affectionnait grandement, sa mère. Évidemment il était évident que ce cinglé ne resterait pas bien longtemps encore dans sa vie, elle avait mis un terme illico à leur relation qui de toute manière, commençait à battre de l’aile. Avait-elle pardonnée à sa mère ces actes complètement dégoutants? Absolument…d’accord, pas tout à fait, mais la relation qu’elle avait avec son père était plus qu’étrange et ce dernier n’avait rien à ajouter sur le sujet…sujet qui devint par la suite une cause de moquerie dans la famille Savannah, là où apparemment les femmes prenaient de la beauté en vieillissant. Câliss, c’est à moi d’te demander ça, non!? Explosa de rage la jeune brunette complètement perdue et encore plus sur le choc de revoir ce grand sans-dessin. c’est chez moi merde! à ce moment, elle se dit qu’il avait été préférable que le poêlon tombe sur le sol car elle aurait probablement usée de sa force pour achever ce connard de première; ce qu’elle pouvait le détester! Évidemment elle le fixait, attendant une réponse de sa part, bien qu’elle semblait déjà avoir trouvé la réponse qu’elle cherchait; c’était assez louche de se promener dans les maisons des autres, à fouiller dans bon vous semble et à changer de ville pratiquement tous les ans… ouais, elle connaissait ce petit jeu qu’aimait bien faire Hunter… Les ‘’Huntumn’’ Hunter et Autumn, comme s’amusait à les appeler son père, alors qu’ils sortaient encore ensemble.

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19286290&cfilm=132874.html

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**Jane Julia Wellington, dites lieutenante Wellington était toujours dans l’immeuble où un meurtre avait été commis. Cet homicide ne semblait pas être très complexe, mais, JJ se devait tout de même de faire son enquête. Elle savait bien que cette histoire se réglerait beaucoup plus rapidement que cet homme qu’on avait étrangement retrouvé assassiné à la Marina de Detroit il y avait quelques semaines de cela déjà. L’enquête semblait se stabilisait et ce n’était pas une bonne chose. Jane se sentait régulièrement énervée pour cette raison. La brunette souhaitait seulement qu’on clôt une ou deux enquêtes dans son service pour remonter un peu l’échec de celle de la Marina. Habituellement, le service que dirigeait JJ à la criminelle avait beaucoup d’affaire réglé, ce qui était un bon point. Elle n’avait pas été nommée lieutenant pour rien, surtout sachant qu’elle était plutôt jeune pour avoir ce poste. La lesbienne adorait son métier et elle se donnait toujours corps et âme pour régler ses affaires, bien qu’elle savait également s’amuser, pour cela, Jane était la reine de la fête, mais bon, aujourd’hui, ce n’était pas le temps de faire bouger son corps sous une musique endiablé, mais bien de poursuivre son interrogatoire avec ce voisin étrange. Elle nota quelques trucs sur son cahier, tandis qu’il semblait répondre avec malaise. Lorsqu’il prononça le mot « chiant » JJ s’arrêta d’écrire et leva aussitôt la tête. Elle fixait le visage de l’homme qui s’était soudainement mis à pâlir. La brunette mordilla discrètement sa lèvre inférieur, passa une de ses mèches de cheveux derrière son oreille et reprit.**

« Chiant.. Que voulez-vous dire par là ? Est-ce qu’il était du genre à venir vous embêter... Ou bien embêtait-il plutôt certaines autres personnes ? Des voisins, de la famille ? J’aurais besoin d’un peu plus d’explication sur ce sujet... »

**Elle attendait une réponse de la part de l’homme avec hâte. La jeune Wellington ne savait pas si elle arrivait vers une piste, mais ce que cet homme allait lui révéler, que ce soit de son côté ou pas, Jane pourrait ajouter cela à son rapport et peut-être se lancer plus vite que prévue vers une conclusion. Elle attendait juste une réponse, observant avec dégoût la manière que l’homme mangeait ses chocolats, déjà que la qualité de l’appartement était merdique, pas besoin d’ajouter une dose pensa la femme. Lorsqu‘il lui posa une question, JJ se replaça sur son fauteuil. Elle passa ses deux mains d‘un coup sur les pantalons et dit après avoir raclé sa gorge discrètement.**

« Selon ce que nous savons pour l’instant, il a été frappé à la tête. Je ne pourrais en dire plus, parce que je n’ai pas d’avantages d’information... »

http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18611848.html
L'autre comme moi - José Saramago

Il était clair que maintenant, Haley flippait totalement. Elle commençait à s’imaginer le pire, vu le nombre de manières qu’arboraient Aileen. Son regard se devait d’être perdu et l’assurance qu’elle avait s’envolée petit à petit. Le stress montait. Si la jolie rousse hésitait à en parler, c’était parce que ça devait être dur à entendre. C’était obligé … Que voulait-elle ? Il était vrai que Jason avait une vie plutôt mouvementée. Il n’était pas net du tout mais bon la brunette ne se mêlait pas de tout cela. Elle faisait juste son job. Aileen ne savait rien de tout ça. Haley but un gorgée de son café rapidement, c’était comme pour se ressaisir. Elle regarda son interlocutrice plus tranquillement. Inutile de s’emballer ! L’escorte demanda à la professeur de rester avec elle et de lui dire ce qui lui taraudait l’esprit. Tout l’attention de Haley était donc portée sur la belle.

- Suicidée ? … Comment ça ? Vous rigolez ? Haley n’était pas contente, c’était limite de la colère… Aileen n’était que l’énonciatrice de cette sale nouvelle. Ce n’était pas de sa faute. La brune était carrément surprise et sa réaction ne se fit pas immédiatement. La femme ne réalisait pas encore que son client était bel et bien décédé. Une enquête ? Je ne comprends pas … Je le vois demain vous savez … Je ne sais rien, absolument rien … Les seuls vrais détails que Haley possédait n’était pas de ce domaine. Elle savait que l’homme parlait parfois de lui mais l’écouter, elle évitait. Elle aurait du car elle aurait pu éviter un suicide apparemment … Qu’Est-ce qui s’est passé ?

http://www.purevid.com/v/891PU1yooheijkh6263/

Bon anniversaire kévin <3 profite ! No news ...

Je déplace dans validés!

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Mihael Keehl

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Maddison attendait toujours dans cette banque et son rendez vous promettez de tarder. Le banquier était affairé avec une autre personne. Tout ce qu’elle voulait c’était entendre cette bonne nouvelle de vive voix et faire les papiers nécessaires pour clôturer cette histoire. La femme ne pouvait faire une scandale et ça seule issue était de poiroter encore et toujours. Être à la merci de gens, elle en avait horreur! Il était certain qu’elle en aurait pour un bon moment. Comment pallier à l’ennui ? Le portable de la barmaid était déchargé alors exit les petits jeux amusants qui font passer les minutes. Regarder les gens devenait même chiant. Les secondes paraissaient des minutes et les minutes des jours. Il n’y avait rien à faire … Mad s’ennuyait. Que faire ? Maddison avait soif maintenant à force. Quelle aubaine ! Y avait-il une fontaine à eaux au moins ? La brune inspecta les lieux du regard. Elle vit une blonde qui se la jouait trop. Ça la fit bien rire. « Quelle pouffe »,pensa-t-elle. Tiens pas loin de cette femme aux allures de taré. Bingo ! Elle s’y rendit. C’était comme si la banque savait que les gens auraient soifs à attendre des plombes. Bien prévu.

Le célèbre écrivain souriait désormais bêtement à l’égard de la jolie blondinette qui prenait finalement place à la table qu’il avait préalablement choisie, alors qu’il achetait deux cafés pour l’occasion. Il se dit qu’heureusement, il n’avait pas eu à attendre indéfiniment, au risque d’offrir une boisson tiède ou bien froide à cet agent de la plus haute importance, il se serait senti afar de la situation, ce qu’il détestait hautement. Un rictus empara ensuite son visage aux traits tirés et au teint bronzé pour le temps qu’il faisait l’extérieur, alors que cette même jeune femme citait la Chine, comparant ensuite la ville mondaine à ce pays totalement désordonné. Elle n’avait tout de même pas tort là-dessus, il faudrait faire quelque chose aux risques de tout détruire pour de bon, et ce jour-là, dieu seul sait comment les êtres humains le regratteraient! De toute manière, ne sommes-nous pas censé mourir cette année? 2012, vous y croyez? Posa bêtement l’homme à la carrure pratiquement parfaite, jouant d’une intonation des plus intéressé, tout comme ce regard qu’il avait posé sur elle tout en lui demandant cette question banale, mais oh combien importante dans la vie de chaque citoyens Américain ou Canadien, peu importe.
Bien que captivé par cette attraction qu’était supposément la fin du monde, Rick préféra laisser couler, ou du moins baisser le degré d’intensité qui trahissait ses yeux pour finalement racler sa gorge et prendre une bonne gorgée de café, qui plus est, était plus que bouillante. Tâchant de ne pas se faire prendre la main dans le sac, le beau brun avala de travers, se tournant doucement la tête vers la droite pour tenter de jouer le tout pour le tout; un célèbre écrivain se brûlant la langue, ce n’était pas des plus virils, encore moins de plus sophistiqué. Au même moment, elle lui demanda quelque chose de stupéfiant, tout en comparant son livre à des meurtres s’étant produit dans les années 80, que de bonnes choses à attendre apparemment…simplement il avala de nouveau de travers lorsque la blondasse en question lui demanda franchement s’il voulait se joindre à l’équipe d’enquête afin de faire avancer les choses. Tout confiant, Castle fini par avaler correctement une seconde gorgé de café pour ensuite froncé les sourcils, il n’allait pas sauter au plafond tout de même, il devait se garder une certaine distance, un certain mystère… Laissez-moi jeter un coup d’œil à mon emploi du temps… Dit-il, attrapant son téléphone qui ne fonctionnait plus, faisant par le fait même semblant de vérifier quelque chose puis le reposa presqu’aussitôt. Je suis un homme fort occupé, mais je crois bien pouvoir me libérer pour vous. Évidemment il était totalement libre de ses actes et tel un gamin, il se serait mis à courir partout dans le restaurant, beuglant comme un singe…

David Toews C 21 157500* 1 51 50 54 57 58 51 63 57 74 53 58 57 51 55 59

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Mihael Keehl

A REPONDRE

Mihael Keehl