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Je déplace dans validés!

Underwater - Allison harvard

Un sourire flottait sur le doux visage fatigué de Leslee; fatigue qui d’ici peu, finirait par s’estomper face à un brin de repos si elle pouvait enfin trouver quelqu’un de confiance pour tenir la boutique quelques fois par semaines ou même ne serait-ce quelque heures par jours, elle en avait grandement besoin! La rouquine regarda donc d’un air confiant son interlocutrice qui plongeait le papier dans son sac pour ainsi lui promettre qu’elle la téléphonerait le lendemain, à la suite des cours qu’elle suivait, n’ayant rien d’autre à faire de toute manière. Cela commençait pour le mieux du moins, une employée modèle qui ne tarderait pas à se trouver du boulot, Less aimait déjà grandement cette jeune femme et sentait que ça allait le faire à la boutique. Elle était certaine que les clients apprécieraient cette jeune rouquine tout autant qu’ils l’appréciaient eux, sans parler de Lili qui ne tarderait pas à lui sauter dans les bras, du moins si elle appréciait les enfants, mais à la voir, Less n’en doutait pas même une seconde!
C’est parfait, je serais là pour te répondre Angie, maintenant faudrait que j’y aille, c’était bien sympa plier des vêtements avec toi…et dire que j’ai même pas le temps de faire ce genre de trucs chez moi, imagines! S’exclama d’un franc sourire la jeune maman, déposant le dernier chandail qu’elle venait de prendre pour ainsi le placer comme il se devait sur l’étagère pour ensuite se reculer doucement et se diriger un peu plus vers l’arrière, où elle trouverait des camisoles pour jeunes fillettes et peut-être un ou deux morceaux pour elle, lui permettant d’avoir un peu moins chaud dans la boutique, lors de moments de canicules comme il y en avaient depuis quelques jours. Alors j’te dis à demain miss et puis n’perds pas ton sourire! Rigola à nouveau la jeune rousse tout en s’aventurant un peu plus loin. Et puis bon magasinage! Conclue enfin la propriétaire du Cup&Cake pour finalement disparaître à travers les tonnes de vêtements et les employées peu modèles.

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When Sage (Cassidy Freeman) swung into Mystic Falls, she was a pretty polarizing figure

C’était clair et net la belle Jane était complètement pétée, ce qui ne manqua pas de faire rire Maddison. Ce spectacle, elle adorait. La brunette n’était pas le genre à dire « Tu as trop bu, tu arrêtes ». Non elle estimait que les gens étaient assez adultes pour se gérer. De toutes manières, Mad n’était plus très nette non plus et l’amusement l’avait, elle aussi, emporté dans une état d’euphorie totale. Son verre, elle se siffla aussi vite d’une fusée. Les deux femmes passaient un bon moment qui resterait gravé dans les anales. Ça faisait tant de bien. La lieutenant manqua de tomber à force de débordements et elle se retint sur son amie qui ne fit que rire encore plus.

- Je sais ma belle, je sais … On remettra ça. T’en fais pas. Elle fit mine de faire la maman rassurante car la belle brune en face d’elle faisait des mimiques d’enfants. Elle était très attachante. Et devine quoi ? Moi aussi je t’adore !

Jane ne tenait plus tellement. La barmaid était là au cas où. La femme fit tomber ses clefs sur le sol. Gentiment, Mad allait les ramasser mais Wellington entreprit de le faire elle-même. Et hop ça tête tournait. L’alcool et ses effets c’était assez hilarant.

- Je vais t’accompagner car là tu vas pas faire long feu. La jolie amusait la galerie encore et toujours. Comment allait-elle rentrer par la suite ? Maddie ne la laisserait partir seule. C’était certain ! Elle n’était pas inconsciente.

- Alors vous allez certainement pouvoir m’aider. Je suis désolée d’en demander trop. C’est vrai, on ne se connait pas. Mais je cherche des réponses. Elle marqua une légère pause. Son regard annoncé une tristesse trop commune ces derniers temps. Non je ne suis pas détective, mais institutrice pour les primaires. La réaction de Haley fit reculer Aileen. Devait-elle lui dire? Ce n’est peut-être pas à moi de vous annoncer la nouvelle. Je ferai mieux de partir… désolé de vous causer des ennuis. Elle ne désirait pas mettre Shelton dans une mauvaise posture. La peur de la brune était palpable. La nouvelle l’anéantirait peut-être, alors Aileen s’en voulait sans même avoir essayé quelque chose.

La belle travaillait pour qui? Dans quelle domaine? Pour quelle entreprise? Avait-elle des choses à se reprocher? Était-elle aussi corrompu qu’Hamilton? Savait-elle une information qui pourrait aider la mère de famille à comprendre la raison de ce suicide imprévu? Jason avait été surprenant sur ce coup, rien ne laissait paraître ce geste. La brunette connaissait-elle l’homme que Jason avait regardé avant de se donner la mort? Pourrait-elle aider Aileen dans son enquête? La rousse ne souhaitait pas en demander trop à l’inconnue. Elle faisait le boulot de la police, derrière le dos de cette dernière, au risque de se faire remballer. Elle voulait mettre des mots sur cet acte pour pouvoir dormir en paix. Dunan avait tant apprécié l’homme, alors elle n’acceptait pas sa mort.

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Sarah Ҩ Brett

« Si le temps ne changeait jamais, la moitié des hommes n'auraient aucun sujet de conversation. » - Jules Renard

Le soleil commençait tout juste à pointer le bout de son nez sur la Grosse Pomme ce matin-là, conférant au ciel cette teinte si caractéristique. Des nuances pastelles, douces ; caresse suave comme la promesse d'un jour meilleur. La fumée s'échappant de son café brûlant montait en volutes vers le plafond. S'élever ainsi, qu'est-ce qu'il en rêvait ; pouvoir disparaître de cette situation bien trop pesante dans laquelle il se trouve. Debout depuis quelques heures déjà - Morphée n'ayant pas voulu de lui, ou du moins d'une manière plutôt chaotique – Brett observait le vide se trouvant devant lui, songeur. Vide de tout sens que sa vie actuelle. Se perdre dans les méandres de ses pensées et prier tout bas pour être absorbé par celles-ci, de manière à totalement disparaître de la surface de cette maudite terre. Une mauvaise nuit pour lui donc ; des heures durant, il avait repassé mentalement en boucle les paroles de sa femme à son encontre, lors de cette catastrophe qu'avait été la réunion parents/professeur ; se retournant à l'infini dans le lit conjugal, sans trouver le sommeil. Paroles qui lui restaient toujours en travers de la gorge. D'ordinaire, ce genre de propos aurait glissé sur lui, comme on aurait dérapé malencontreusement sur une plaque de verglas. Quitter l'entretien comme il l'avait fait n'avait sans doute pas été la chose la plus judicieuse du monde, mais c'était bien plus qu'il n'avait pu en supporter. A choisir, il avait été préférable de s'en aller, s'enfuir, plutôt que de prendre le risque d'encastrer son épouse dans le premier mur venu. Se contrôler, une chose que Sarah ne connaît pour ainsi dire pas. Ses paroles et son emportement l'ont clairement blessé, sans doute y avait-il un bien-fondé derrière tout ça, mais tout de même ce n'était pas une raison pour l'insulter publiquement. Passer du rire aux larmes. Après avoir tenté d'en savoir plus sur ce qui avait bien pu faire couler les larmes de la brune, Brett s'était retranché dans sa tour de silence. Sentiment de lassitude et de découragement mêlés, il n'avait pas poussé plus en avant ses interrogations, laissant Sarah en proie à son désarroi. Jean qui rit, Jean qui pleure, à n'y rien comprendre et puis force était de reconnaître qu'il n'avait pas eu plus envie que ça de comprendre. Ce petit jeu ne l'amusait plus. Le détective avait déposé les armes, cette bataille se disputerait à présent sans lui.

Le regard rivé à la surface du liquide brun, il se demandait ce qu'il pourrait bien dire à celle qu'il avait épousée lorsqu'elle se lèverait ; n'ayant pipé mot depuis la veille, le dialogue promettait d'être tout sauf simple. Sans doute le gratifierait-elle d'un de ces piques acerbes, dont elle seule possède le secret. Enveloppe vide... qu'elle aille au diable. Plus il y pensait et plus il avait envie de lui faire payer cette infâme attaque.
Les résidentes de la maison silencieuse ne se lèveraient guère avant quelques heures, aussi avait-il largement le temps de penser à ce qu'il pourrait dire, ou ne dirait pas d'ailleurs à celle qui partage – normalement – son quotidien. Quotidien bien entaché par de nombreuses querelles à propos de tout, mais surtout de n'importe quoi. Perversion de leur lien, un véritable cercle vicieux. Comment sortir de tout ça? En laissant couler l'eau sous les ponts comme ils le faisaient depuis de nombreuses années? Il voyait aujourd'hui ce que ce manque d'initiative pouvait donner. Prendre le taureau par les cornes, quitte à le provoquer et l'énerver un peu, voilà ce qu'il restait à faire, ni plus ni moins. La situation ne pourrait certainement pas empirer, le point de non retour ayant déjà été atteint. Quoique... au fond du gouffre il est toujours possible de creuser, encore et encore, jusqu'à tomber toujours plus bas, une abîme, un puit sans fond s'ouvrirait alors à leurs pieds. L'écho de leurs voix résonnerait sans plus jamais s'interrompre. Vide abyssal.

En sursaut il se réveilla, bondissant légèrement sur sa chaise, une gerbe de café éclaboussa la table de la cuisine. Depuis combien de temps était-il dans cette position inconfortable? Regard rapide en direction de l'horloge murale... presque 1 heure, une bonne petite sieste en somme. S'endormir de la sorte, preuve qu'il avait vraiment passé une sale nuit. Qu'est-ce qui avait bien pu provoquer son réveil soudain? Son propre rêve ou tout autre chose? Il tendit l'oreille, attentif aux bruits environnants. Des pas... quelqu'un marchait à l'étage, sans doute était-ce le bruit du parquet légèrement grinçant qui l'avait tiré de cette petite sieste intempestive. Dans l'hypothèse où Sarah descende la première, il se leva d'un geste lent, alla chercher une éponge et effaça les traces de sa boisson à présent tiède et répandue copieusement sur la laque de la table blanche. Alors que les pas se rapprochaient, il étouffa un bâillement. L'heure de la confrontation finale était-elle arrivée? Sans nul doute. Complètement dans le cirage, il n'était pas vraiment prêt à répliquer quoi que ce soit, l'adversaire l'emporterait forcément. Tout en se frottant un œil, il vida son café froid dans l'évier, avant de se servir à nouveau. Au moment où la personne franchissait le seuil de la cuisine, il se retourna, sa tasse à la main.

fiche par century sex.

Et toi tu as des choses à me confier? Toi qui veut jouer au jeu de la sincérité.

HAPPY BIRTHDAY TO MY BABE

Vous est-il déjà arrivé d'avoir envie de disparaître soudainement ? Dans un nuage de fumée, numéro digne des plus grands prestidigitateurs ou bien tout simplement de vous fondre dans le décor ? Que n'aurait pas donné Riley pour pouvoir faire quelque chose dans ce style.

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Cassie voyait bien que la situation n’était pas facile pour son amie. Elle était enfermée chez elle. La brunette était dépendante des autres. Elle vivait dans un fauteuil qui limitait es déplacements et qui l’empêchait de faire des choses simplement. Williams n’aimait pas la voir ainsi. La belle ne semblait pas rassurée face à sa situation bien qu’elle paraissait s’y habituer. Elle devait faire avec cette contrainte. Les événements du quatorze février en avait marqué plus d’un, mais Déborah faisait partie de ces grands blessés.

- Les cachets t’aident à avoir moins mal? Elle espérait que la jeune femme n’avait pas pour médecin un charlatan qui la coulait. Certains auraient profité de la situation. Tu n’as pas été épargnée ma belle. J’étais avec toi, Zachary te soutenait. Je n’avais pas vu ce qui s’était passé pour que tu sois dans cet état. Je suis navrée… je me rappelle quand on a du te sortir du bâtiment. Je ne pensais pas que tes jambes allaient en subir pour longtemps, ni que tu allais finir dans un fauteuil roulant. Je te souhaite de te rétablir très vite, je passerai plus souvent histoire de prendre de tes nouvelles et de te distraire. Je pourrai te faire sortir un peu. Et je ramènerai de la lecture et tout, je ne vais pas te laisser seule.

Cassie acquiesça quand Déborah évoqua son histoire avec le musicien. Ils ne se bousculaient pas l’un l’autre. Ils tentaient de vivre au jour le jour. Quoi de mieux? Leur histoire promettait de durer. C’était tout ce que Cassie pouvait lui souhaiter. La jeune femme connaissait assez bien Zach pour savoir qu’il était plutôt réservé. Mais il aimait Lys, sinon il n’aurait pas surmonter vents et marrées pour pouvoir la sortir du Vintage Hôtel… .

- Je comprends, vous avez le temps. En tout cas, vous faites un beau couple. Soudain, Déb afficha un étonnement face aux révélations de Cassie. J’y suis restée deux mois. Je n’étais pas bien à l’époque, elle resta évasive. Parler du bar allait peut-être faire oublier la discussion précédente. Elle ne voulait pas que son amie la voit comme une personne à ne pas fréquenter. C’était assurément trop tard… . Cassie ne désirait pas subir un nouveau jugement. Elle avait payé pour ses erreurs, elle avait changé. Merci Déborah. C’est le Reaper, ce n’est que le début de l’aventure mais je suis assez satisfaite. J’y passe tout mon temps pour le faire marcher, d’ailleurs après j’y retourne. Elle sourit. Je te présenterai Riley sans soucis. On t’invitera à la maison avec Zach si tu veux quand tu iras mieux. Tiens… tu me rappelles quelque chose. On fait une pendaison de crémaillère, on a pas encore de date, mais tu pourrais venir avec ton boyfriend si tu le peux bien-sûr, ça serait un plaisir pour nous.

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460 st-philippe laval

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Hey merde… soupira la jeune brunette, voyant que ses clés n’étaient plus dans la poche arrière de ses pantalons trois-quarts en jeans. Qu’allait-elle faire? Marche arrière, évidemment. Elle n’allait tout de même pas déranger son propriétaire qui ne vivait pas la porte d’à côté simplement pour que l’on vienne lui ouvrir la porte… Soupirant de nouveau, elle fit le chemin inverse qu’elle venait tout juste d’effectuer, vérifiant de part et d’autre les lieux, à la recherche de ce trousseau vite qu’elle aurait égaré, en vint. La brune retourna donc expressément au cimetière, là où elle venait de faire la rencontre d’une pauvre fille dans le besoin, qui avait tenté de voler un mort. Sur le coup, Autumn n’avait pas tellement appréciée, mais en parlant un peu plus, elle se rendit vite compte qu’elle ne pouvait rester là, les bras croisés. Elle lui avait donc offert la possibilité de poser pour elle, à défaut de trouver un manager. Leah parcouru donc les longues lignées de gazon qui longeaient les pierres tombales pour finalement récupérer les clés tant cherchées. [color:1f20=darkkhaki ]Vous voilà! Dit-elle, un sourire en coin. Leah se pencha donc lentement pour prendre l’objet métallique, se relevant ensuite presqu’aussi vite pour reprendre son chemin en direction de la maison. Gardant les clés qu’elle venait de retrouver dans sa main droite, Leah refit le chemin exact qu’elle venait tout juste de faire pour finalement se retrouver au point de départ, son appartement. La jeune femme se trouvait donc au pied de l’immeuble, ne prêtant pas attention à ce qui se tramait à l’intérieur, pour finalement pousser la porte du rez-de-chaussée. Marche par marche, elle grimpa jusqu’à son niveau pour finalement longer le couloir, rien d’anormal à l’horizon, peut-être seulement le chien de la voisine qui, pour une fois ne semble pas lui porter attention ; alléluia! Comme ce chien pouvait être agaçant…sans parler de la proprio qui ne comprend pas un traitre mot de ce que tente de lui expliquer la jeune femme. Poussant un nouveau soupire, Autumn pousse enfin la porte de son appartement, après y avoir glissé le bout de métal dans la serrure, ne portant pas attention à la poignée qui était apparemment déjà débarrée… Comme à son habitude, Leah commença par déposer ses clés sur le meuble d’appoint puis se dirigea directement dans la cuisine pour déposer son appareil photo et ensuite télécharger les photos prises en direct de son ordinateur…simplement en passant, quelque chose capta son attention ; une silhouette semblait se dessiner sur le mur du salon. Méfiante, Savannah attrapa sans faire trop de bruit, le poêlon qui reposait sur le four, le serra à bout portant puis s’avança de nouveau vers la pièce en question. Sans réfléchir, la brunette frappa de toutes ses forces l’homme qui squattait son salon, pour ensuite reculer d’un pas en lâchant son arme de défense.