Seigneur, il a des enfants en plus?! Remarqua la frisée mentalement alors que le rouquin continuait son long dialogue sur la confiance. Cela démontrait que réellement n’importe qui pouvait avoir des enfants…même des dealeuse de drogue…franchement Nancy se sentait fâcheusement déçue d’elle-même à ce moment, elle jugeait cette personne qui ne voulait que faire le bien autour de lui, de façon très peu orthodoxe, mais simplement il cherchait à vider la terre de ses bêtes monstrueuses alors qu’elle… ne cherchait qu’à se faire du pognon vite-fait et sans impôts… Botwin baissa les yeux quelques secondes, continuant de l’écouter parler de ce passager noir. Évidemment elle n’y portait pas tellement attention, en fait elle ne comprenait pas tellement ce qui tentait de lui expliquer, tout ce qu’elle retenue fut son nom ainsi que son prénom, chose utile à savoir lorsque vous prêtez sermon pour un tel pacte…
Puis elle sorti de la lune lorsque ce dernier, ne voulant pas être des plus désagréable lui fit savoir qu’elle serait beaucoup mieux chez elle, pour ne pas ainsi dire attraper une pneumony à la suite de sa chute qu’elle venait de faire, dans l’eau glaciale de ce lac… un mince sourire s’alluma sur ses lèvres tremblotantes, elle avait pratiquement oublié qu’elle avait froid…ou était le froid qui l’avait oublié, Nancy aurait su dire, elle était bien trop chamboulée par tous ces événements…
Nancy… Commença avec recul la jeune femme, se disant qu’il était toujours sympa d’avoir un flic de son côté ; bien que celui-ci était bien plus un spécialiste du sang qu’un flic… Nancy Botwin. Conclue enfin d’un seul trait la mère de famille qui se retourna, fronçant les sourcils, prête à retourner chez elle, après avoir perdu un max de pognon et s’être fait un tout nouveau ami…des plus étranges.

- C’est pas pareil. Comme tu dis c’est plus comme ça pour une passade. Je pense pas qu’on peut forcément s’accomplir là dedans. Perso, ça m’apporte beaucoup d’avoir entrepris ça. Elle sourit et imaginait bien Jane dans ses jeunes années, telle un garçon manqué. Ah j’adore. Alors c’est génial tout ça. C’est bien que tu es réussit dans c’que tu voulais ! C’est pas donné à tous mais bon toi t’es pas de ces feignants.

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L’attitude de Damon était vraiment agaçante. Il se conduisait vraiment comme un salaud: au début il s’éclatait avec la rousse et depuis l’entrée de son humaine dans la pièce, il était irritable. Il jugeait un autre couple que le sien dans vergogne… . Il rappela même sa réputation passée comme pour faire peur au vampire avec qu’il s’entendait bien quelques minutes auparavant. Il allait assurément subir une vengeance. Ces regards noirs firent sourire Sage. Franchement il se prenait pour quoi, pour qui? Il pensait battre un vampire de neuf cent ans? Il se fourrait le doigt dans l’œil. A trop se brûler les ailes, il allait y perdre. Sage de répondre aux dires de ses interlocuteurs. Elle était froide et dure mais elle fut vexée par l’attitude de Salvatore. Ce dernier la plaqua soudainement contre le mur. La belle ne se défendit pas, écoutant ce que le brunet avait à dire avec attention pour enchaîner:

- Numéro deux? Tu dois te faire avoir très souvent pour numéroter les gens Damon… . Tu dis des sottises, tu penses pouvoir m’arracher le cœur? Je suis largement plus expérimentée et plus forte que toi. Tu te prends pour ce que tu n’es pas! Je ne donnes pas cher de ta peau. Tu manques réellement de maturité. Nous ne sommes plus des enfants, et écouter les autres: ça ne peut que t’aider pour t’éviter de sortir toutes les âneries que tu débites si facilement. Le reste du discours à Damon n’était pas dénué de sens. Il avait vu juste: la rouquine était seule. Oui je n’ai personne et je ne m’en plains pas: l’humanité et les autres vampires sont tous d’une bassesse inutile à contempler et à tenter d’apprécier. Tu en es bien l’exemple pur Damon. Je me fous de tout le monde, je préfère être seule que mal accompagnée. Et me divertir n’est qu’un passe-temps. Alors rien n’est pathétique dans tout cela, on recherche tous une raison de vivre et on occupe tous notre existence comme on le peut. Ils en revinrent à Elena. Tu aimes cette humaine? N’essaies-tu pas de t’en convaincre? Elle n’est pas ta propriété. Tu veux vraiment que je tente de te tuer? Je préfère de loin la torture à la facilité, Damon crois-moi je me vengerai.

Elena Gilbert somma à son ami particulier de lâcher Sage. Il s’était exécuté. Elle servie un discours à la con comme quoi les gens les voyaient d’une drôle de manière à l’extérieur. Sage venait d’arriver donc elle jugeait par rapport à des preuves: comme la parole et les gestes des uns et des autres. La brunette essayait de discuter avec Sage. Elle était vraiment suicidaire! Elle évoqua encore Finn. Qu’en savait-elle? Oui, elle souffrait mais jamais elle n’en parlerait avec cette humaine, avec personne d’ailleurs. Elle appréciait s’enfermer dans un monde où le plaisir règnait. Elle se constituait une armée pour se défendre contre Klaus au cas où. Aussi, elle privilégiait une vie sans prises de tête comme les Salvatore aimait par-dessus tout: ils avaient le don de se mettre dans le pétrin et ce, depuis toujours. La rousse avait envie de répliquer à l’action violente de Damon. Or, elle n’en fit rien: elle espérait que les mots parlent plus que les gestes auquel cas elle agirait en conséquence comme toujours.

Me & my beauty @MadisonBlaine95 & a bunch of our cuties at church #Easter

[22:59:54] Taaii Nyirendaa: TOOOOOOOOOOOM!
[23:02:22] Tom Haskell: helloo xxx
[23:02:42] Taaii Nyirendaa: long time no speaak alright;. xxx
[23:09:16] Tom Haskell: aha yeah you xxx
[23:09:23] Tom Haskell: come on skype;)
[23:10:39] Taaii Nyirendaa: im on skypeee:P


(Ma co qui squatte ._.)

La soirée s’annonçait pas mal pour le moment ; les deux jeunes femmes emblaient s’amuser énormément, chacun de leur côté. Évidemment elles avaient choisis de venir ensemble afin de mieux se connaître en dehors des heures de bureaux; en dehors des petits gâteaux que savaient que trop bien faire Leslee en fait, qui avait grandement besoin d’une petite pause, loin de son bloc. Se connaissaient-elles mieux maintenant? Pas réellement puisqu’elles s’étaient parlé environ quinze minutes à peine avant de se lancer dans un concours assez marrant qu’avait mis sur table la belle rousse quelque peu pompette maintenant. Allaient-elles réussir à mieux apprendre sur l’autre? Peut-être bien, en tout cas Less en avait franchement envie, bien que plus la soirée avançait et plus ce petit jeu persistait, moins elle comprenait ce qui se passait ; c’est ce qui arrivait lorsqu’on s’amusait à enfiler des tonnes de verres, sans même prendre le temps de les goûter, alors que visiblement on manque d’expérience… Madison s’était donc approché du comptoir du bar pour aguicher plusieurs mecs qui, excepté un, lui payèrent tous un verre volontiers. Évidemment elle avait été franche avec eux ; il s’agissait d’un jeu entre copine…simplement elle en avait ajouté pour doubler la mise ; la gagnante allait s’envoyer en l’air avec trois garçon qui les auraient aidé à boire de la sorte…évidemment ces hommes s’allumèrent illico, ne pensant plus du tout à leur portefeuilles, lui payant des verres, étant du coup persuadés qu’ils remporteraient le gros lot ce soir. Ce n’est qu’une fois toutes ces boissons absorbées que Less se leva avec peine de son siège de explosa de rire, elle avait menti sans scrupule et ça avait rapporté ; franchement les mecs et leur queues !

La rousse tenta donc de s’avancer jusqu’à sa compagne qui venait de faire dégager un beau petit couple, qui s’était installé à la table qu’elles avaient choisi au début de la soirée, manquant de très près de tomber, après s’être emmêler la patte dans une chaise qu’un pauvre type venait de pousser pour aller se prendre un verre. Hey ho merde fait pas chier! Pourquoi avait-elle hurlé ces jurons? Elle ne s’en souvenait à peine…simplement elle continua d’avancer vers la table, destination qu’elle rejoignit assez rapidement. Une fois face au lieutenant, elle s’emporta d’un rire déjanté, trop saoule probablement pour se contenir. Tada! S’exclama enfin la jeune femme alors qu’elle laissa tomber les parapluies de ses nombreux verres, sur la table, manquant encore une fois de faire une bêtise. Allait-elle remporter cette manche? Leslee était persuadée que si, elle se sentait tellement ivre qu’elle s’imaginait avoir bu une centaine de verres, chose tout à fait utopique. Elle avait enfilé une quinzaine de verres maximums, rien qu’à voir toutes les couleurs sur le côté de la table de Jane et l’on voyait tout de suite le vainqueur. Sans réellement porter attention, la rouquine se lança dans le banc, poussant un cri d’animal tout en fronçant les sourcils…encore une fois, geste qu’une saoule seulement se devait de réaliser. J’suis certaine que t’as trichée…merde t’es même pas… entrepris d’expliquer la jeune femme à l’égard de sa complice de soirée, simplement il était évident que cette dernière supportait beaucoup mieux l’alcool que Leslee…

Se mêler à la foule? Peut-être bien ensuite…après tout ce n’était pas une mauvaise idée de rencontrer d’autres personnes que ce gars avec qui il travaillait en tant qu’agent immobilier… ça lui passerait le temps en plus de lui permettre de sembler ‘’normal’’ aux yeux des autres habitants de Detroit…bien que ces derniers semblaient tous autant centrés sur eux-mêmes. Il y repenserait ensuite, si réellement l’envie de se faire remarquer l’envahissait, pour l’instant il avait mieux à faire…ou à ne pas faire. Une ouverture… une grande soirée, très importante, mais oh combien stressante, non? Une soirée parfaite pour se donner la mort? Certainement. Jameson pénétrait donc par l’une des nombreuses fenêtres donnant sur l’arrière du bâtiment, là où personne bien évidemment ne l’avait vu agir, jetant un rapide coup d’œil aux alentours pour finalement s’y glisser comme un chat agile. Il commençait à avoir l’habitude de ce genre de manigances pour obtenir ce qu’il voulait, en fait ce que les gens voulaient, car lui sincèrement, il s’en balançait ; son métier lui était gratifiant pour l’unique envie de vengeance et de sensations fortes, il pouvait bien se foutre de qui pouvaient bien mourir ou vivre. Marshall se tenait donc debout désormais, fixant la personne qui en terminerait avec sa vie sous peu et qui ne verrait rien venir. Il positionna donc un pied devant l’autre, marchant lentement et pesant chaque pas sous le plancher complètement neuf de l’hôtel pour finalement hausser un sourcil en tendant les mains sur son contrat. Usant de force il réussit comme la plupart du temps à mettre K.O son adversaire, le laissant tout doucement glisser contre le sol, tenant bien sa tête pour ne pas qu’elle tombe violement. Il n’était pas mort suite à un meurtre après tout ; cet homme, riche et puissant s’enlèverait la vie, ayant beaucoup trop de pressions et de responsabilités sur les épaules… certains penseront tout autant qu’il se sentait mal d’avoir trompé sa femme avec cette petite greluche de l’accueil…qui sait? C’était le moment maintenant.
[…]
Le corps était maintenant en place et Jameson s’en lavait les mains, son boulot était chose du passé, il avait maintenant envie d’un verre de champagne…du champagne? Franchement c’était bien trop commun pour quelqu’un de réellement riche et qui appréciait ce qui avait de plus franc. Un double rhum on rock ferait vingt fois et plus l’affaire qu’une simple flûte de champagne. Entrant tel un hôte attendu, Marshall se dirigea doucement jusqu’au bar, se faufilant parmi les invités hautement importants, ne remarquant personne à son passage, tout se déroulait pour le mieux.

David

LA PUBLICITÉ SUGGESTIVE
La publicité suggestive se fonde sur une approche psychologique de l'individu. En terme sémiologique on parlera d'une publicité de la connotation (qui suggère, qui ne fait pas appel à la raison mais aux sens). Ce type de publicité donne un grand pouvoir à l'image (puissance projective qui permet d'influencer l'inconscient)

- Oui je sais c’est bête car elle va grandir et cela risque d’être bien pire. Alors je devrais arrêter de psychoter pour rien j’avoue. Elle sourit. Oui oui, on va dire ça… ta présence est un grand cadeau…! Dit-elle ironiquement même si elle le pensait quand même. Je n'’aime pas trop ça. J’ai fais un enfant, j’assume: et cela implique des sacrifices. La question de Maddison fit sourire Aileen. Je ne me préoccupe plus des hommes depuis bien longtemps. Parfois j’en rencontre mais ça ne dure pas plus qu’une nuit, normal… . Lexie en penserait quoi? Je ne préfère pas me prendre la tête. Et toi? Tu as quelqu’un?

La rousse n’avait jamais posé cette question à Wight. Et pourtant, Maddie était bien belle, intelligente, marrante, une force de la nature, etc. elle devait être casée c’était certain. Duncan ferait tout pour savoir. Soudainement, la barmaid réalisa un autographe pour son interlocutrice. Elle se prêtait au jeu du grand n’importe quoi. A deux, elles en disaient des bêtises parfois. Elles savaient s’amuser. Avec Mad, ce n’était pas difficile, se lâcher était une chose innée pour elle. Aileen prit le chef d’œuvre de la belle avant de lever le pouce pour montrer que c’était bien top. Elle rit juste après.

- Merci c’est un honneur Maddie! Waouh, j’en ai de la chance! Les deux amies nageaient en plein délire. La barmaid partit dans un tout autre sujet, un peu spécial… . Un peu surprise, Aileen mit quelques secondes avant de réagir. Non, je ne pense pas. L’addiction de Maddison revint sur le tapis. Attends j’ai bien le droit de savoir, nous sommes amies non? Je te blâme pas, je te dis juste que c’est mal… et je ne veux pas que tu me mentes. Pourquoi tu as besoin de me mentir d'ailleurs? Elle rebondit sur les substances illicites et leurs effets. C’est de la merde ces trucs là, ça te pourri la vie comme un rien. Si tu crois oublier ton quotidien avec ça… tu augmentes plutôt ta dépendance et tu ne seras plus t’en défaire car tu rechercheras des effets qui ne se produisent plus. C’est un cercle vicieux Mad! Cette dernière s’excusa, elle avoua ses erreurs: elle se droguait bien. Si c’est important, je ne veux pas que tu te détruises. Je te pardonne, enfin… je n’ai aucun droit… je suis navrée de cette situation ma belle.

Comment les évènements peuvent rendre journée encore plus merdique qu'elle ne l'était? Envoyer un suicidaire sur ta route... .

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Riley Thompson semblait très attentif aux dires de sa petite-amie. Elle évoquait un thème qu’elle n’affectionnait pas tellement: la cure de désintoxication. La jeune femme avait beau être entourée au centre, elle se sentait bien seule. On la renvoyait sans cesse à son individualité: chose à laquelle elle ne prêtait pas attention par le passé. A l’époque, ses seuls soucis étaient la drogue et Steve. Elle ne se préoccupait que de cela. Son ex-fiancé était un type qui n’avait aucune jugeote. Il n’était pas foutu d’aller à l’heure à son travail de mécanicien à cause d’un sommeil déréglé par la répétition de soirées à longue durée. Ces dernières étaient elles-mêmes perturbées par un abus intensif d’alcool et de substances illicites. Son patron le rappelait à chaque fois pour lui tirer les oreilles mais rien n’y faisait: toujours le même scénario! Cassie bossait en tant que serveuse au Devil’s Tail. Elle n’était pas souvent là le soir, elle constatait souvent les dégâts qu’effectuait Steve et ses potes tôt le matin. Quand elle ne bossait pas, la belle passait son temps à traîner avec ses amis qui étaient des délinquants à proprement parler. Ensemble, ils gênaient plutôt la population qu’autre chose: les travaux d’intérêts généraux ils connaissaient. Rien ne les atteignait. Le seul instant où Cassie redescendait sur terre n’était pas si rare et ils se résumait facilement: les gifles de Steve lui démontraient qu’elle s’enfonçait dans la même merde qu’avec Jackson. Williams n’avait pas de limites par le passé, elle n’aimait personne et s’amusait à provoquer quiconque se mettait sur son passage. La haine dictait ses faits et gestes, elle n’arrivait pas tout le temps à se comprendre elle-même. Or, elle n’avait aucun recul sur chaque situation, sur son comportement et son attitude. Son égoïsme prenait toujours le dessus. Alors, la prison l’avait réellement changé. Ce fut bénéfique. Riley était aussi son sauveur, jamais elle ne l’oublierait. Elle devait penser à plus de choses, ce n’était pas toujours simple. Mais il le fallait pour éviter les bêtises. La cure était un soutien. Elle ne pouvait pas abandonner.

- Oui et non. Je n’aime pas l’idée de faire partie d’un cercle… . Les gens étaient censés s’entraider. Les plus forts apportaient leur soutien aux plus faibles: à la cure ça marchait ainsi. C’était trop simple à dire. Cassie se sentait un peu à part, elle n’admettait pas son problème. Faire face à des gens plus atteints qu’elle ne la rassurait pas, elle n’était pas confiante. Elle avait peur dans cet univers. Elle s’était cru guérie fut un temps, la réalité avait été trop dure à supporter: c’était l’inverse. La belle n’avait pas touché à la drogue depuis bientôt sept mois et des personnes du centre en prenaient encore… . Les différences de stades étaient trop pesantes! Williams avait du mal à l’accepter. Tu sais les autres sont parfois dur à supporter… . Sinon, j’apprécie d’entendre des récits de gens qui vont bien. Bien que cela me paraît moins utopiste qu’avant, j’admets me sentir nulle parfois. A les entendre, les personnes coincées en cure sont vraiment basses. Enfin… je ne prends pas tout pour argent comptant. Alors, j’écoute mais sans plus. Elle sourit légèrement. Merci de me soutenir. Je ne suis pas stressée mais je n’y crois pas. Ça me plaît bien, j’imagine les commentaires de fin, pouvoir aider les autres. Tu as raison, mais je n’y suis pas donc pas de précipitations. Riley eut une marque d’attention aux paroles de Cassie: il rit quand elle évoqua Holly et Jayden. Sa petit-amie sourit plus généreusement pour le coup, le canadien avait de l’humour. Je passe c’est clair. Ils ne sont pas prêt d’entendre raison ces deux là. Je les déteste, souligna-t-elle de nouveau. Rien ne me retient du dis? Son manque de confiance en elle si. Je ne suis pas invincible et je crois que je suis à un moment de ma vie où je stagne, je ne sais pas pourquoi. J’ai tout ce que je souhaite mais… ma santé est mon plus gros défaut: cette vieille addiction me tape sur le système. Pourquoi commencer? J’ai été vraiment idiote, je me suis laissée influencer depuis toujours. Les questions de Riley étaient légitimes. Cassie y répondit sans trop traîner, le faucheur avait le droit à la vérité. Je me suis excusée auprès de ma sœur, je lui ai fait vivre un enfer et ma mort n’a pas arrangé les choses. Je n’étais pas un modèle donc mon immeuble entier y est passé pour résumer la situation. Ils en revinrent au sujet des psychologues et de la prison. Le canadien avait été jugé de manière très poussée. Cassie était triste d’entendre cela. C’est bien dommage, ils ont été loin sur le coup. Personne devait t’ennuyer après ça. Il ne faut pas t’en vouloir pour si peu. On y pense pas toujours, j’aurai du tout te raconter de mon propre chef. Enfin, tu représentes mon bonheur. Chaque instant passé avec toi je les vis à fond et je ne pense pas à tous mes problèmes. Elle sourit en fixant son chéri droit dans les yeux. Je t’aime, avec toi je me sens bien et je sens qu’on peut aller loin à deux: on va déplacer des montagnes… elle rit, l’air amoureux prenait le dessus. Ils s’embrassèrent. Ça me touche Riley. Je ferai tout pour toi. Le changement…, la prison…: des thèmes pas évidents à aborder. Oui il le fallait sinon ma vie était vouée à l’échec: j’étais une vraie emmerdeuse publique, si tu savais… . Elle rit. Merci… . Elle sourit. Riley avoua se ficher d’avoir perdu un ami. Jayden est dur de la feuille, je crois qu’il n’oubliera pas d’aussi tôt la façon dont tu l’as tabassé. Ce n’est pas facile de perdre un ami… si tu as besoin de soutien mon chéri: n’hésites pas. C’est sûr que Jay est un cas à part. Il ne sait pas pardonner et prendre du recul pour accepter les choses. Il est tellement bizarre… . J’imagine bien, tu as tout lâché sur lui. Oui ne t’en fais pas, Jayden t’as frappé avant, je suis témoin et je ne suis pas la seule. Ta réponse était légitime, il aurait pu te tuer j’en suis certaine, s’il avait une sarbacane: il n’aurait pas hésité, je l’ai vu dans ses yeux de victime. Elle rit. Elle avait user d’humour et minimiser l’arme que Jay pourrait posséder histoire de rendre son récit un peu plus bête qu’il ne l’était. L’auto dérision lui appartenait sur ce coup-là. Riley présenta des sortes d’excuses déguisées à son interlocutrice. Merci de ne pas avoir campé sur tes positions mon chéri. Je n’aime pas me disputer avec toi. Discuter m’a fait du bien et toi? Oui, nous verrons bien. Il évoquèrent l’avenir, leur avenir! De même, je pense que oui. La proposition de Riley fit réagir Cassie de manière inattendue. Elle sautait presque de joie et elle se jeta au cou de son petit-mi. J’accepte mon amour, à deux, ensemble, nous affronterons mieux ce monde. Elle sourit. Tu es mignon. Je pense que je t’ai ensorceler. Mais ne t’en fais pas tu exerces le même pouvoir sur moi. Elle lui prit la main. Allons au Délicieux. J’ai une amie qui bosse là-bas. Elle a failli me trouver un job dans cet endroit… . Le reste me plaît encore plus. Elle l’embrassa pour la énième fois.

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