AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  




 
Le Deal du moment : -17%
(Black Friday) Apple watch Apple SE GPS + Cellular ...
Voir le deal
249 €

Partagez
 

 Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]:

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage


Anonymous

WELCOME TO DETROIT
Invité




Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Empty
MessageSujet: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: EmptyMer 28 Mar 2012 - 13:40

Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Tumblr_lub98lNedL1qf02xko6_400
Les paroles sont porteuses de sens

La maison Duncan était certainement un modèle de propreté, de rangement, de beauté, etc. Aileen était assez maniaque sur les bords. La rousse privilégiait le côté classieux des lieux. Inutile de dire que son intérieur ne possédait ni jouets qui trainaient, ni poussières, ni vaisselle sale. Seule la chambre de sa fille de dix ans ressemblait à une pièce « normale » si on pouvait dire cela. La mère de la petite avait tendance à gâter sa princesse. Lexie était fille unique. Sa génitrice regrettait certaines choses.

Par le passé elle avait du abandonner son petit-ami de l’époque, le père de son enfant. Il exerçait une pression physique et mentale sur sa compagne. Jamais Aileen n’avait envisagé d’être maman, c'était arrivé sans prévenir. Elle était étudiante à l'université et ses parents l'auraient tout bonnement "achevé" pour cette erreur. Mais elle prit très vite conscience qu’une vie se situait à l’intérieur d’elle. La rousse devait un avenir à cet enfant. Elle avait pris la décision de le garder après avoir accepté sa nouvelle condition, son nouveau rôle de maman. Pour ne pas perdre son bébé, elle s’enfuit à détroit. Cela faisait dix ans maintenant.

Lexie manquait d’un repère. Elle n’avait pas de papa. Cela la perturbait. Aileen le savait car la petite l’interrogeait de temps à autre sur le passé de sa maman. Elle désirait savoir qui était l’homme qui était son père. Elle ne le faisait pas savoir ainsi mais même si ses questions tournaient autour du pot, il ne fallait pas être devin pour comprendre la nature des demandes de Lexie. Celles-ci concernaient toujours cet homme qui était son géniteur: un inconnu pour la petite. Cet état des faits était attristant! Sa mère ne pouvait lui conter la vérité… . Présentement, Lexie et Aileen était posées tranquillement dans la chambre de la petite. Cette dernière montrait ses devoirs en cours. Elle était très intelligente et elle avait pour habitude de rapporter de bonnes notes. Aileen bossait dans l’école primaire où sa fille se rendait. Elles étaient tellement proches et fusionnelles que cela les arrangeait grandement.

Revenir en haut Aller en bas


Anonymous

WELCOME TO DETROIT
Invité




Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Empty
MessageSujet: Re: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: EmptyMer 28 Mar 2012 - 20:13


Les paroles sont porteuses de sens
Aileen & Lexie

Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Amazing-child-model-cute-mackenzie-foy-renesmee-Favim.com-285100

Lexie était une fille admirable. Elle était très aimée de sa mère également. Toutes les deux vivaient leur vie proche, l'une de l'autre. Dans un sens, Aileen était le seul repère de la petite. Pourquoi ? Tout simplement parce que le père était devenu trop violent, trop dangereux. Avec sa petite Lexie, Aileen était certes restée sur Détroit, mais avait déménagé. Par simple mesure de sécurité. Pour être franc, la petite avait déjà tout pour elle : elle était souriante, avenante, travaillait plus que correctement à l'école, s'épanouissait grandement à travers plusieurs centres d'intérêts ... Bref. À première vue, Lexie avait l'air heureuse. Enfin ... Heureuse, la petite l'était. Bien évidemment. Le seul hic, c'était qu'elle ne connaissait rien concernant son géniteur. Du coup, la petite fille se posait énormément de questions. Trop de questions. Cela dit, elle ne pouvait pas s'en empêcher. Curieuse ? Oui, et alors ? J'suis prêt à parier que si vous étiez dans son cas, vous seriez comme elle.

N'est-il pas mieux d'avoir un père et une mère qui s'aiment ? Qui sont toujours là pour nous, prêt à nous aider et nous soutenir afin que nous puissions - en tant qu'enfant - nous forger un avenir rempli d'objectifs, d'espoir et d'amour. Et bien c'est ce dont Lexie rêvait, tous les jours. Maintes et maintes fois, la petite rêvait de son père la nuit. À quoi ressemblait-il ? Que faisait-il dans la vie ? Ça, elle n'en savait rien. La seule chose qu'elle connaissait de lui, c'était son prénom. Byron. Et selon Aileen, c'était bien suffisant pour l'instant. Contrairement à l'avis de la petite, bien sûr. Elle osait espérer le voir, un jour. Mais ça, seul l'avenir pouvait en décider. Du coup, concernant son père, elle ne pouvait rien faire d'autre que s'exprimer à travers des dessins ou des poèmes qu'elle écrivait, grâce à son imagination. L'imagination. Une très grande qualité chez la jeune demoiselle, à laquelle ses professeurs ne restaient pas indifférents. Il fallait le dire, il fallait l'avouer : Lexie avait du potentiel. C'était certain.

La seule chose qui lui manquait, c'était un père. Un père digne de ce nom. Et pour compenser ce manque - presque cruel - Aileen était là pour sa fille. Ensemble, elle pouvait parler de tout et de rien pendant des heures, se balader à droite et à gauche, partager des moments entre fille comme du shopping, des soirées cinéma et tout un tas d'autres choses. Bien que cette histoire de père absent hantait la petite fille, elle ne manquait de rien d'autre. Du moins, elle en avait une forte impression. À quoi cela était dû ? Certainement au fait que Lexie soit fille unique. Aileen la maternait grandement. Cela dit, elle en avait bien raison. D'une part, il s'agissait là de son unique enfant - qui en plus de ça - n'était pas encore entré dans son adolescence. D'où ces traits de mère protectrice chez Aileen. En bref, elle ne voulait que du bien pour sa fille. Que Lexie ne manque de rien. C'était comme si la petite n'avait qu'à demander ce qu'elle souhaitait. Ouais, c'était presque ça, si ça ne l'était pas déjà.

Présentement, Lexie se trouvait dans sa chambre, avec sa mère. Ensemble, elle était penchées sur les devoirs de la petite. Depuis toute petite, Lexie était très portée sur l'école. Sans le moindre doute, elle allait fortement s'attacher à ses études, au moment venu. De temps en temps, Aileen aimait bien rester près d'elle dans ces moments-là. Très appliquée, elle avait rarement besoin d'aide. C'était juste tellement étonnant de la voir à l'oeuvre, concentrée. Parlant de ça, Lexie n'était pas la dernière, lorsqu'il s'agissait d'aider des camarades dans le besoin. Lorsqu'il le fallait, elle le faisait de bon coeur. Sans compter que, ce qu'il y avait de bien, c'était que la mère et la fille se trouvait au même endroit. Bien entendu, via des lois de non-fraternisation, elle n'enseignait pas à sa fille sur son lieu de travail. D'autres professeurs le faisaient. Mais à la maison, elle n'hésitait jamais lorsque sa fille avait besoin d'un coup de pouce. Concernant les devoirs, Lexie était dans son élément. De manière générale, les enfants n'aimaient pas trop ce genre de choses. Bien sûr, Lexie n'était pas du genre à bosser à longueur de journée, bien entendu. Mais quand il fallait s'y mettre, elle ne rechignait jamais. Elle se disait qu'elle construisait avant tout, son avenir. Bien qu'évidemment, la petite ne savait pas réellement ce qu'elle ferait plus tard. À vrai dire, elle avait tout le temps d'y penser.

Au bout d'un certain temps, la petite finalisait tout juste ses devoirs. Rebouchant son stylo, elle s'était retournée vers sa mère :

« Dis maman ... Est-ce que je pourrais avoir un chien pour mon anniversaire ? »

Pourquoi cette question ? Tout simplement parce que malgré ses occupations, Lexie avait parfois du mal à garder le moral. La petite réfléchissait trop, quant à son père qu'elle ne connaissait pas. Du moins, pas encore.

[HRP : Je me suis biiiien libéré, sur ce coup là. N'hésites pas à me dire si un truc cloche. Comme si les Duncan ont déjà un chien par exemple. J'dois avouer qu'à chaque fois que j'écris un RP c'est du 100 % Freestyle x) ]
Revenir en haut Aller en bas


Anonymous

WELCOME TO DETROIT
Invité




Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Empty
MessageSujet: Re: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: EmptyMar 3 Avr 2012 - 15:14

Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Tumblr_lub98lNedL1qf02xko6_400
Les paroles sont porteuses de sens

Lexie finit ses devoirs plutôt rapidement. Sa mère vérifiait tout le temps son « carnet de liaison »: les professeurs écrivaient parfois un petit mot pour expliquer ce qui allait ou à l’inverse ce qui n’allait pas chez le propriétaire du livret. Une fois, la petite fille avait poussé une camarade sans raisons apparentes. Son institutrice l’avait écris sur le cahier pour pouvoir en parler avec Aileen qui ne l’aurait pas su. Sa fille lui disait tout, mais parfois tête en l’air, elle oubliait l’essentiel. En discutant, il s’était avéré que la gamine que la belle Lexie avait bousculé n’avait pas hésité à faire tomber la trousse de la jeune Duncan au passage en se gardant de ne pas écraser deux trois crayons dans sa lancée. Alors Lexie s’était vengée. Elle s’était vu affligée d’un petit sermon sur la violence par sa mère mais tout était vite rentré dans l’odre: Aileen aimait discuter avec son enfant des principes à respecter en société et à la maison. Les enfants étaient parfois un peu durs à suivre mais leur attitude était assez compréhensive. L’éducation faisait tout. Aileen ne pouvait que être fière de sa fille qui était vraiment un modèle de bon comportement. C’était une enfant facile à qui on pouvait tout demander sans qu’elle ne s’emporte pour un rien. Elle aidait volontiers. Elle était très polie, gentille et avenante: la bonté dans toute sa splendeur. Elle ne faisait rien de travers et si ça n’allait pas: elle en parlait de suite. Cette enfant était un vrai cadeau du ciel selon Aileen qui l’aimait plus que tout. De manière soudaine, elle évoqua son anniversaire. La rouquine sourit:

- Tu verras bien Lexie. Au final, elle lâcha rapidement le morceau. C’était un des défauts de la femme d’origine irlandaise. Elle cédait vite, et elle gâtait trop sa fille. Elle l’aimait plus que tout: elle représentait sa plus grade fierté donc elle voulait lui faire plaisir à cent pour cent pour qu’elle ne manque véritablement de rien! Bon… pour tout t’avouer: j’y avais déjà pensé. Tu le mérites après tout, tu es une excellente élève et une enfant exemplaire Lexie, je suis si fière de toi. De plus, je t’aime tellement que te dire « non » reste une option inenvisageable, de toute manière j’avais ce cadeau en tête depuis quelques mois… . Il faudra qu’on y aille ensemble pour que tu fasses ton choix: le jour de ton anniversaire ou avant comme tu veux. Mais j’émets quelques réserves. Seras-tu en mesure de t’en occuper? Il ne faut pas que tu t’en lasses vite, tu comprends ce que je veux dire? Pour tout souci de gardes, il y a notre chère voisine qui ne dira pas non pour s’occuper de ton futur chien. Elle est seule, âgée, et elle aime la compagnie. Tu as pensé à des noms? La rousse marqua une légère pause pour avancer tranquillement une idée, plutôt une inquiétude, qui lui passait par la tête. Pourquoi un chien ma chérie? Tu te sens seule ici?
Revenir en haut Aller en bas


Anonymous

WELCOME TO DETROIT
Invité




Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Empty
MessageSujet: Re: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: EmptyDim 15 Avr 2012 - 6:18

Pour le moment, Lexie était plutôt fière de son parcours, y'avait pas à dire. Bon, bien évidemment, le truc qui lui manquait - à s'en répéter plusieurs fois d'ailleurs - c'était un père. Le géniteur qu'elle avait - si seulement elle le savait - était un abruti fini. Rien que le fait d'avoir été si violent avec elle, ça ne pouvait pas se pardonner comme ça. Peut-être qu'avec le temps, ça allait passer. En tout les cas - ça se voyait - Aileen n'était pas prête de le présenter à Lexie. Cela dit, ça n'empêchait pas la petite fille de se poser les même questions, maintes et maintes fois : « À quoi ressemblait-il ? Que faisait-il dans la vie ? Où est-ce qu'il habitait ? Pourquoi il était parti ? » Lexie ne savait rien de tout ça. Et Dieu seul savait à quel point, la petite voulait des réponses. Résultat, elle s'occupait comme elle pouvait, trouvant des échappatoires avec son apprentissage à l'école et les quelques autres loisirs qu'elle avait, entre la lecture, l'écriture et le dessin. Une imagination débordante. C'était l'une de ses principales qualités. Mais à côté de ça, la petite s'ennuyait parfois.

Finissant ses devoirs, perdue dans ses pensées, Lexie aurait aimé la compagnie d'un chien. Elle y réfléchissait depuis pas mal de temps, maintenant. Et alors qu'elle rebouchait son stylo et s'était retournée vers sa mère qui se trouvait là, elle avait décidé d'en reparler. Comme ça. Au début, sa mère lui avait simplement lancé un : « Tu verras. » En réfléchissant, elle le méritait bien. Il fallait juste en avoir les sous, et le temps de s'en occuper. Mais Lexie s'en sentait parfaitement capable. Elle se souvenait encore de cette rencontre avec cet homme : Kayden. Son chien Flop avait vraiment plu à la filette. Il avait un nom très drôle et il avait une bonne bouille. En plus, Kayden avait dit qu'il adorait les enfants. Ça avait d'autant plus attisé l'envie de la petite. C'était décidé. Elle voulait non pas un chat, mais bien un chien.

Et pour tout lui dire, Aileen y avait pensé. Selon sa mère, Lexie était une exellente élève, un enfant exemplaire. Elle lui avait avoué qu'avec tout cela, il lui était presque impossible de lui dire non. Aileen aimait et protégeait tellement sa fille, que cette idée était inenvisageable. La mère avait cette idée de cadeau pour sa fille, depuis plusieurs mois déjà. Elles allaient y aller ensemble, pour que la fillette puisse faire son choix. Avant ou après son anniversaire. C'était à elle de voir.

« D'accord maman. » Avait lâché la petite fille dans un sourire.

Aileen l'avait reprise ensuite. Elle voulait la mettre en garde, en ayant d'abord la certitude de ne pas faire cet achat pour rien. Est-ce que Lexie allait pouvoir s'en occuper ? Ça allait être idiot d'acheter un animal, si c'était pour s'en lasser, quelques temps plus tard. De l'argent gâché inutilement. Cela dit, il y avait toujours l'idée de la voisine, si un souci de garde se présentait, entre le boulot de la mère, et la fille se trouvant à l'école, la journée. La mère avait ensuite demandé à sa fille, si elle avait un ou des noms en tête :

« Pas encore. Il faudrait que j'y réfléchisse. » Songea-t-elle.

La mère avait marqué un temps de pause, puis avait repris, quelque peu inquiète. Elle se demandait si la fillette se sentait seule.

« Par moment, je dois bien t'avouer que oui. » Fit-elle à sa mère, avant de continuer : « Les amis que j'ai à l'école, n'habite pas dans ce quartier, et du coup pour m'amuser c'est un peu dur. J'ai toujours rêvé d'avoir un animal. Le chien, c'est le meilleur ami de l'homme. J'suis sûre de bien m'en occuper. C'est ... C'est en me promenant que j'ai croisé quelqu'un avec un beau chien et ... Ça m'a fait y repenser, pour être sincère. »
Revenir en haut Aller en bas


Anonymous

WELCOME TO DETROIT
Invité




Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Empty
MessageSujet: Re: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: EmptyDim 15 Avr 2012 - 8:29

Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Tumblr_lub98lNedL1qf02xko6_400
Les paroles sont porteuses de sens

La petit fille était d’accord pour choisir son chien avec sa mère. De tout manière, elle n’avait pas le choix. Lexie n’avait pas dit quand est-ce qu’elle désirait s’occuper de cela. Il allait falloir qu’Aileen lui repose la question. La rousse avait beaucoup parlé. Donc, il était difficile pour son enfant de tout comprendre et de tout assimiler. Duncan, de son vrai nom O’Donnelly, admirait sa fille et surtout son côté un peu tête en l’air parfois. La dernière fois, elle avait oublié sa Nintendo DS rose chez la barmaid Maddison Wight. Cette dernière était l’amie des Duncan. Elles l’appréciaient beaucoup. Elles allaient lui passait un coucou avant d’aller à l’école, Lexie pour étudier et Aileen pour y donner des cours. Présentement, Lexie paraissait ravie mais il manquait quelque chose à son sourire: une certaine conviction. La petite paraissait de plus en plus « malheureuse » au fil de années comme si ce manque, celui d’un père, qu’elle n’arrivait pas à combler devenait prenant. Lui acheter un chien était une bonne solution pour pallier à ce vide. Ce n’était pas bien, limite un peu égoïste de faire cela, mais le passé était trop dur à raconter pour Aileen. Donc, un subterfuge, même le plus minime, n’était pas de refus. La mère gâtait trop sa fille avec cela. Mais elle n’avait aucune autre solution. Elles étaient fusionnelles. La mère de Lexie lui donnait le plus d’amour qu’elle le pouvait. Or, cela n’effaçait pas la dure réalité.

- Tu veux y aller quand ma chérie?

Elle la regardait d’un air attendri. Elle aimait tellement son enfant qu’elle avait fait un énorme sacrifice pour pouvoir l’élever: quitter sa ville natale et renoncer à son rêve de devenir physicienne. La rouquine s’y était faite. Elle était ravie de ne pas avoir dévier vers la mauvaise voix avec sa situation. Elle l’avait déjà fait une fois quand ses parents avait osé engagé une aide à domicile pour s’occuper de Mamie « Clio ». Elle était tout pour Aileen et elle aimait se charger de sa grand-mère comme elle l’avait toujours fait. Elle n’avait pas encore dix-huit ans à cette époque, peut-être seize… . Donc, elle avait enchaîné les conneries, voyant que cela affectait sa mamie: la belle avait arrêté. Avec un bébé sous les bras, la femme était devenue peut-être trop droite, trop citoyenne. Elle avait du mal à s’amuser… . Elle avait bien changé. Mais son histoire avec Byron l’avait affecté au plus haut point. Personne ne connaissait le passé de Aileen ou plutôt Caitlyn de son vrai prénom. Sa fille ne savait pas tout sur sa mère ce qui pouvait la dérangeait pour une future construction identitaire à bien y penser.

- C’est comme tu veux ma chérie. Elle espéra que le nom du chien de sa fille ne soit pas trop ridicule à prononcer. Or, elle la laissait faire comme toujours. Lexie répondit à la question fatidique de sa mère. Il y a des enfants de ton âge dans notre quartier, ma puce. Pourquoi tu ne leur parles pas? Je suis d’accord pour un chien. Mais je ne veux pas que tu prennes goût à trop de solitude. Elle ne désirait pas que sa fille lui ressemble. Je te crois ma chérie, tu vas bien t’en occuper je n’en doute pas, puis je serai là si ça ne va pas comme toujours. Ça t’as fait repenser à quoi? Elle fixa sa fille d’un air un peu inquiet… . Tu t’es arrêtée pour voir un chien, tu l’as depuis quand cette idée? Elle tenta de tempérer la situation avec la question qui lui venait à l’esprit. Elle n’appréciait pas trop le fait que sa fille parle à des inconnus.
Revenir en haut Aller en bas


Anonymous

WELCOME TO DETROIT
Invité




Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Empty
MessageSujet: Re: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: EmptyJeu 26 Avr 2012 - 6:33

La petite Lexie était plutôt contente. Sa mère avait bien accepté le fait qu'elle puisse s'acheter un chien. Elle en rêvait depuis assez longtemps. À vrai dire, elle avait du mal à se faire des amis. Enfin ... D'accord, elle était du genre très sociable et avait toujours des copains à l'école. Là, n'était pas le problème, non. C'était surtout en période de vacances scolaires, en fait. À ce moment là, Lexie se trouvait souvent toute seule. Soit parce que ses amis partaient en vacances, en famille ; soit parce que d'autres habitaient trop loin. Du coup pour s'occuper, ce n'était pas la joie tous les jours. Voilà pourquoi la petite avait demandé un chien à sa mère. Une chance qu'Aileen lui avait dit oui. Lexie avait eu un large sourire. La petite fille était très heureuse. À ce propos, sa mère lui avait demandé quand est-ce qu'elle voulait aller le chercher. Réfléchissant quelque peu, sa fille lui avait répondu :

« Et bien ... Disons, ce week-end ? »

Pourquoi le week-end ? Tout simplement parce que la petite aurait plus de temps pour le choisir et pouvait consacrer son temps au travail, la semaine. Elle n'allait pas être dérangée ou déconcentrée pour travailler correctement à ce moment-là. La petite Lexie était du genre très organisée et elle se sentait déjà bien concernée quant à son avenir professionnel. Cela dit, elle ne savait pas encore ce qu'elle voulait faire comme métier plus tard. Oui, oui. Elle cherchait déjà. Remarquez ... Quel enfant ne l'a pas déjà. Par certains stéréotypes ; tout petit, les garçons rêvent de devenir pompiers, policiers, pilote de chasse et les filles aspirent à une carrière de chanteuse, de danseuse, de médecin ou encore de vétérinaire. Et Lexie elle, et bien elle n'était pas encore dans ce cas là. Après tout, elle se disait qu'elle avait bien le temps d'y réfléchir pour choisir le métier qu'elle voudrait, au moment venu.

Parlant du chien, Aileen se demandait si sa fille avait déjà choisi un nom pour son chien. Et à vrai dire, ce n'était pas encore fait. La petite hésitait. Déjà, il fallait que le nom puisse coïncider avec le sexe de l'animal. Vous imaginez si elle appelait une femelle « Médor » ou un mâle « Chipie » ? Ce serait ridicule, en effet. Du coup, elle allait voir pour son nom, une fois l'animal acheté. À propos du chien toujours, Aileen avait l'air de se demander pourquoi sa fille en voulait un. Dans le quartier, il y avait bien des enfants de son âge pourtant, comme elle l'avait souligné. Aileen était bien d'accord pour l'achat d'un chien, mais elle voulait pas non plus que sa fille prenne trop goût à la solitude. Ce n'était jamais marrant de se retrouver seul, en effet. Et ce n'était pas que Lexie refusait de parler aux enfants de son âge qu'elle pouvait croiser dans le quartier, mais ceux là, elle ne les connaissait pas plus que ça. Et du coup, elle avait peur qu'on la perçoive comme une élève première de la classe ; ce qui faisait qu'elle les évitaient le plus possible. Quoi qu'il en était, Aileen vouait une entière confiance à sa fille. Elle savait que Lexie allait très bien s'occuper de l'animal, depuis le temps qu'elle le voulait ...

« En fait, je ... » Se coupa-t-elle, avant de reprendre : « J'évite de leur parler le plus possible. Je ne les connais pas et ... Je ne sais pas trop ce qu'ils pensent de moi. J'ai surtout l'impression qu'ils me regardent de travers » Confia Lexie à sa mère attentive.

Lexie lui avait aussi expliqué qu'elle s'était rappelée de son souhait d'avoir un chien, en se promenant. Elle lui avait parlé de sa dernière rencontre : un homme qui se promenait lui aussi dans le coin, avec son chien. D'un sourcil interrogateur, sa mère l'avait reprise. Elle avait bien cru comprendre que sa fille avait osé parler à un inconnu. Elle se demandait bien depuis quand Lexie avait cette idée en tête :

« Ça ne remonte qu'à une semaine, à peine. C'est tout récent. J'étais allé m'amuser au parc et ... C'est là que j'ai vu le chien. L'homme lui, il avait l'air très gentil. J'veux dire ... Il avait rien de menaçant. Il avait même l'air triste. C'est pour ça que j'ai voulu ... C'est pour ça que je me suis approchée. » Avait répondu la petite à sa mère, gênée.

D'accord, Lexie avait parlé à un inconnu, alors que sa mère le lui avait bien interdit de le faire. Mais le fait qu'il soit gentil, ça ne l'avait pas effrayée. Qui plus est, il était le propriétaire d'un beau toutou. Même qu'elle s'était rappelée de son nom, histoire de changer innocemment de sujet :

« Même que son chien s'appelle Flop. Et lui, il m'a dit qu'il s'appelait Kayden. Il était très gentil. Il m'a même dit qu'il aimait bien les enfants. Malgré ça, il ... Il avait du mal à sourire. Je lui ai demandé pourquoi, et il m'a répondu que sa femme était partie. »

Pour le prouver à sa mère, elle essayait de tout lui raconter en détail, pour éviter qu'elle ne s'inquiète de trop.

[HRP : Désolé pour le temps d'attente ... J'étais comme atteint du syndrome de la page blanche, ces derniers temps. L'une de mes hantises ^^' ]
Revenir en haut Aller en bas


Anonymous

WELCOME TO DETROIT
Invité




Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Empty
MessageSujet: Re: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: EmptyVen 27 Avr 2012 - 20:25

Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Tumblr_lub98lNedL1qf02xko6_400
Les paroles sont porteuses de sens

- Oui ma chérie. Ce week-end c’est parfait. Lexie semblait si contente, cela servit à remplir le cœur de sa mère d’une joie intense. Aussi, on ira voir Ida.

C’était une vieille dame que les Duncan affectionnaient beaucoup. Elle était très attentionnée. Aileen et sa fille l’avaient rencontré lors d’une promenade au parc. Depuis, elles ne se quittaient pas tellement. Les Duncan lui rendaient visite pour son bien-être et pour prendre de ses nouvelles. Elle rappelait mamie Clio à Aileen. Sa grand-mère était partie bien trop tôt. Elle avait élevé la rouquine depuis sa plus tendre enfance. Les services sociaux étaient assez inquiets par cette situation, l’irlandaise avait eu des souci avec ces instances. Or, elle avait réussi à garder la garde de ses petites-filles. Lexie ne savait même pas qu’elle avait une tante: Trinity, une vraie ratée… .

- Ma chérie, ils ne vont pas te juger sans te connaître. Puis, tu t’en fiches de l’avis des autres non? C’est bien dommage de ne pas donner l’occasion à ses enfants de leur montrer la petite fille géniale et brillante que tu es. Je suis sûre qu’ils t’apprécieraient, comme tous les gens qui te côtoient ma puce. Je ne veux pas que tu t’en fasses pour ton image ma chérie, tu es bien trop jeune. Vas profiter et t’amuser ma belle, le monde t’appartiens. Elle la prit dans ses bras pour la relâcher un peu plus tard après cette leçon de morale. Tu ne dois pas parler aux inconnus, tu m’entends ma chérie? Tu ne sais pas ce qu’il cache. Elle écouta attentivement sa fille. Kayden, tu dis, tu lui as parlé longtemps? C’est triste pour lui… mais je suis certaine qu’il va s’en remettre: tu sais la vie est faite d’obstacles, mais il faut les surmonter. La vie vaut la peine d’être vécue. Alors, il ne faut pas se miner le morale et aller de l’avant, parfois c’est très dur mais croire en ce que tu aspires aide ma puce. Elle sourit. Tu ne va pas appeler ton chien Flop rassures-moi? Elle espérait que ce chien ne soit pas son remède à toutes blessures…. .
Revenir en haut Aller en bas


Anonymous

WELCOME TO DETROIT
Invité




Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Empty
MessageSujet: Re: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: EmptyDim 27 Mai 2012 - 4:52

À la demande de sa fille, Aileen avait accepté pour le chien. Restait à voir, quand elles auraient pu aller l'acheter. Suite au commun accord passé entre elles, Lexie et sa mère avaient convenu d'aller le chercher ce week-end. Rien qu'en y pensant, Lexie avait déjà le sourire aux lèvres. Sans compter qu'Aileen avait aussi dans l'idée d'aller voir Ida. Une personne âgée que les deux femmes appréciaient beaucoup. Quelqu'un qui - mine de rien - inspirait la sagesse à Lexie. Lorsqu'elles se voyaient, elles parlaient énormément ensemble. Très proches, Lexie considérait Ida comme sa grand-mère finalement. Ida, qui était une femme très attentionnée, voyait en Lexie un très bon avenir. Ce dont elle était certaine, c'était qu'Aileen pouvait être très fière de sa fille. Pour sûr.

« Oh oui, alors ! Je l'aime beaucoup moi, Ida. Elle est très gentille. » Fit-elle, illustrant sa joie d'un large sourire.

Non pas parce que la vieille femme lui offrait des bonbons de temps en temps. C'était surtout parce qu'en parlant longuement avec elle, la petite Lexie avait la véritable impression d'être comprise, avec une autre personne que sa mère. Dans un sens comme je le disais, c'était comme si Ida faisait partie intégrante de la famille. Lexie était toujours très contente d'aller la voir.

« On ira la voir ce week-end, aussi ? »

Puis, elles en étaient revenues au centre de la discussion. Sa mère surtout. Lorsqu'Aileen avait demandé à Lexie pourquoi elle voulait un chien, elle lui avait répondu que, par moment, la petite ne se sentait pas vraiment à sa place. Elle n'était pas non plus rejetée, mais certains n'hésitaient pas à la cataloguer. Heureusement, tous ses camarades n'étaient pas comme ça. Mais il y en avait bien quelques-un. Mais dans un sens, il y en avait toujours un ou deux qui vous voulait du mal, dans votre jeunesse. Des jaloux, des personnes qui trouvait le fait de vous comprendre, impossible. Ce qui jouait là-dessus ? Certains parleraient d'éducation, d'autres parleraient surtout de l'amour apporté à ses enfants. Ces jaloux en question, n'en avaient pas forcément autant que Lexie par exemple. Voyez ?

En lui offrant une petite leçon de morale, sa mère lui avait expliqué qu'ils ne pouvaient pas la juger, sans la connaître. Sans compter qu'elle devait s'en ficher de l'avis des autres. Histoire de se mettre un peu plus en avant - sans trop en abuser - il fallait que Lexie leur montre de quoi elle était capable. Il fallait qu'elle leur montre pourquoi certains s'amuser à lui vendre de tels clichés d'enfant, premier de la classe. Après tout - comme le disait sa mère - Lexie était une petite fille talentueuse, et ça s'arrêtait là. Pour Aileen, Lexie avait encore beaucoup à voir, à apprendre. Mais avant cela, étant bien trop jeune, il fallait que la petite fille profite au maximum du présent. Elle avait même illustré la fin de sa phrase, en rajoutant que le monde dans lequel elle vivait, lui appartenait.

Finissant sa réponse, elle lui démontré son amour et son soutien, en la prenant dans ses bras. Après quoi, elle la relâcha en la regardant dans les yeux, pour continuer. Aileen avait bien insisté sur le fait qu'elle ne devait pas parler aux inconnus. Ce à quoi, Lexie avait répondu qu'elle ferait attention. Après tout, elle pouvait bien reconnaître une personne digne de confiance, du contraire. Kayden, par exemple. Ce type qu'elle avait rencontrée tout près de la maison, avec son chien Flop. C'était notamment cet homme-là, qui lui avait donné LA révélation, sur le fait d'acheter un chien. Quelque peu inquiète, elle se demandait si elle avait parlé pendant longtemps, à ce Kayden.

« Un quart d'heure, vingt minutes. Tout au plus. Mais tu sais, il est très gentil. Et je dois t'avouer que son chien et mignon. C'est grâce à lui que j'ai eu cette idée d'avoir un chien à la maison. Et puis, Flop pourra avoir un copain aussi ! » Fit Lexie enjouée.

En continuant, sa mère avait avoué que l'histoire de Kayden était triste. Mais cela dit, elle était persuadée que l'homme puisse s'en remettre. Embrayant une seconde fois sur une certaine moralité, Aileen avait expliqué à sa fille que la vie était parfois semée d'embûches. Mais qu'il fallait savoir les surmonter, petit à petit. Aller de l'avant. Que la vie méritait amplement d'être vécue. Effectivement, elle avait raison. Il fallait que sa fille puisse avoir de la détermination, et beaucoup de courage pour réussir ce qu'elle entreprenait. Souriant quelque peu, elle avait repris : elle osait espérer que sa fille n'appelle pas son chien, Flop.

« Oh non, rassures-toi. Déjà parce que, si notre chien vient à faire ami-ami avec Flop, se serait idiot d'avoir deux chiens avec le même prénom. J'aurai bien aimé quelque chose d'original, certes, mais je vais chercher encore. » Légèrement pensive, Lexie avait continué : « Si je pensais à un chien plutôt qu'à un chat d'ailleurs, c'est aussi et surtout pour avoir de la protection dans la maison, si tu n'es pas là ou que l'on part un moment. » Pourquoi ? Tout simplement parce que la famille Duncan, manquait d'un père en réfléchissant. Du moins, cette famille manquait d'un père présent, adorable et adoré.

[HRP : Désolé pour le retard Aileen, mais j'étais très pris. Et même avec les rares moments que j'avais, je n'étais pas très inspiré. Mais là, j'suis plutôt fier de moi Very Happy ]
Revenir en haut Aller en bas


Anonymous

WELCOME TO DETROIT
Invité




Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Empty
MessageSujet: Re: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: EmptyJeu 7 Juin 2012 - 17:06

Voir Lexie heureuse était le but de la rousse. La vie se résumait à courir après le bonheur. Aileen Duncan tentait de le ramener chaque seconde aux yeux de sa fille. Les actions qu’elle effectuait allaient dans le sens de la petite. Elle aimait la rendre souriante, la sentir pleine de rêves et d’espoirs. Elle la gâtait très souvent. En même temps, elle tentait de combler l’absence d’un père pour son enfant. Jouer deux rôles n’étaient pas une mince à faire. Or, avec Lexie, ’Leen n’avait pas à se plaindre.

- C’est bien ma chérie! Oui Ida est un ange, elle va être contente de te voir. On y va se week-end. Tiens j’y pense, tu pourras lui montrer ton chien?!!!

Cette présence aidait la gamine à se confier, à discuter avec un autre pair que sa mère. La sociabilité était une étape importante pour accéder à la reconnaissance de autrui. Lexie avait de quoi être aimée: l’intelligence, la beauté, elle avait tout ce qu’elle désirait contrairement à d’autres camarades, l’amour immense d’une mère, etc. Elle pouvait même être enviée. Cela, Duncan n’en doutait pas. Elles en revinrent aux sujets des inconnus.

- Je n’en doute pas ma puce! Et il vit où? Pas loin de chez nous je suppose… . Qui sait, on va peut-être le recroiser ensemble?!!! Elle soupira à cette phrase: « C'est grâce à lui que j'ai eu cette idée d'avoir un chien à la maison ». L’homme avait conté quels bobards? Un chien ne va pas remplacer la présence qui te manque tu sais… Aileen tenta de se lancer dans un sujet un peu fâcheux. Tu y as pensé, non?

Aileen savait que Lexie souffrait du manque d’un papa. Parfois, elle lançait des phrases comme: « Il est beau cet homme, hein maman? », ou « Tu as des copains garçons? », mais encore des « Tu devrais sortir plus souvent? », et pour finir des « T’es belle maman, tu trouveras un homme pour toi dis »: tout cela dans le but de caser sa maman. La mère de famille ne se plaignait pas de sa solitude. Son enfant le faisait pour elle.

- Bien. Tu as raison, tu fais preuve d’une bonne logique ma chérie! Tu mériterais un bon point, même un grande image, et oui le langage de professeur ne la quittait pas à la maison. Ça pouvait faire peur parfois! Caramel ça te plaît pas? Elle savait que cela ne trouverait pas la satisfaction de la petite tant l’originalité était de mise par celle-ci! La rouquine fit un effort pour aider sa fille: Lumpy? La suite la fit sourire. Bien vu ma chérie! On est pas à l’abris sauf si maman est là. Je serai toujours la pour te protéger. Je t’aime tu sais.
Revenir en haut Aller en bas


Iseult M. Ainsworth†

WELCOME TO DETROIT
Iseult M. Ainsworth†

AGE : 36
NOMBRE DE CONTACTS : 1570
ANNIVERSAIRE : 13/01/1988
EN VILLE DEPUIS LE : 12/03/2012
AVATAR : Stana Katic




Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Empty
MessageSujet: Re: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: EmptyDim 5 Aoû 2012 - 21:39

Abandonné, verrouillé & archivé.
Revenir en haut Aller en bas



WELCOME TO DETROIT
Contenu sponsorisé




Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Empty
MessageSujet: Re: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]: Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Les paroles sont porteuses de sens [Lexie Duncan]:

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Cappie "Je me sens comme une figurante dans le film de ma propre vie."
» Arizona J. Campbell - T'a interet à me carresser dans le bon sens du poil !
» Une petite fille, un chien et un coeur brisé - LEXIE & KAYDEN
» Une rencontre entre petite et grande fille-Lexie & Angie
» LEXIE DUNCAN | Do you want to meet me ?

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
I'M NOT PERFECT ::  :: ϟ RPG-