Bien des choses avaient changes dans la vie du beau et grand ténébreux Jared Zachary Lee…Il y avait eu des décès, des hauts et des bas, mais surtout du changement, du vrai! Comme quoi me direz-vous? Un interna peut-être? Non pas comme un interne en chirurgie – non pas l’idée qu’il n’aurait pas apprécié cependant – mais bien un interna en psychiatrie…comme patient. Mais maintenant tout ça était derrière lui…enfin pratiquement, étant donné les nombreuses factures que cela avait occasionnées depuis sa sortie. Trois mois, cela suffisait à ruiner un type comme lui, qui passait sa vie à réparer des motos et à changer des alternateurs de petites voitures. C’était un fait, Jared n’était pas riche, mais il savait que sa vraie famille détenait quelques millions en banque, du moins c’est ce qu’il avait entendu dire et il souhaitait plus que tout en avoir le cœur net. Voilà ce qui le menait à Detroit, ça bien sûr et sa jeune mariée qu’il suivrait jusqu’au bout du monde.

Hum… Lys t’as vue mon stock de mécanique? Hurla-t-il du bout de l’escalier, regardant d’un œil avide les nombreuses boites qui trainaient encore sur leur plancher. J’en ai besoin pour demain et si j’le trouve pas j’vais être dans la merde! Siffla-t-il entre ses dents avant de froncer les sourcils, regardant dans un sac qui trainait ouvert, au bas de la première marche. Cela ne faisait que quelques jours qu’ils étaient arrivés et déjà ils avaient trouvés du boulot, franchement il ne fallait pas tout gâcher en oubliant d’apporter le matériel, cela les feraient passés pour de vrais tarrés, surtout Red qui n’était déjà pas très bavard d’avance… Évidemment il était humain, il ressentait des sentiments, comme tout le monde, seulement il n’était pas du genre à les étaler de son plein gré.

Elle était vêtue très simplement : un des t-shirts de Jared qu'elle avait trouvée et des boxers (les siens). Cela ne faisait guère longtemps que le couple avait emménagé à Détroit. Il y avait encore plusieurs cartons qui ne demandaient qu'à être déballés. De ce fait, l'époux d'Alysia cherchait avec désespoir son sac de mécano qu'il avait absolument de besoin pour effectuer son métier de mécanicien. De plus, il devait faire bonne figure, car c'était son tout premier jour. Il fallait faire ses preuves. Attends minutes, j'crois que j'le vois! Lança-t-elle, fière de son coup. Enlevant quelques boites ici et là, elle vit un coffre de couleur noir. Ce doit être ses affaires. Se dit Lysi. Se croyant plus forte qu'elle ne l'était en réalité, Brittnay tira de toutes ses forces sur le coffre. Ce dernier ne bougea que de quelques millimètres. Hey mon grand gaillard, je l'ai trouvé ! Tu veux venir en aide à ta blonde super sexy ? Tout en disant cette dernière phrase, la brune éclata de rire. Elle avait son propre humour, ça se voyait. Une jambe sur le coffre, sa main gauche sur la hanche et la main droite qui dansait dans sa chevelure brune, elle était prêtre pour voir son amour. Je suis une bombe qui n'as pas de force physique. Ha! Ha! Ha! Aly se poussa du chemin qui menait vers le coffre, ainsi laissant la chance à Red de si rendre. Il y avait tellement de boite en carton étalé un peu partout dans la demeure que la belle demoiselle trébucha sur l'une d'elle. Cette dernière tomba sur son derrière, comme une pierre qui tombe à tout allure.

Évidemment, la jeune femme avoua l’avoir vu à quelque part, comme l’aurait cru le bel homme…les femmes avaient un don particulier pour repérer des trucs et Jared ne pourrait maintenant plus s’en passer! Persuadée que son coffre se trouverait à l’étage avec sa petite femme chérie, il monta tranquillement chacune des marches alors que justement la belle brunette lui hurla avoir besoin de ses muscles. Un rictus se forma sur ses lèvres alors qu’il passait le seuil de la chambre, trouvant sa femme un pied sur son coffre, une main dans les cheveux, lui avouant qu’elle était une bombe complètement dépourvue de toutes forces physique, ce qui le fit bien rire. Au moins tu es sexy, que serais-tu sinon? Dit-il pour la taquiner, s’approchant de la grosse boite noire. Mais non, tu es forte Lys, simplement ça…ça c’est réellement trop lourd pour toi! Dit-il d’un ton neutre et il n’avait pas tort, pour une femme Alysia était pas mal du tout, mais son coffre pesait pratiquement son poids au grand complet. Puis il se pencha doucement et attrapa le coffre, le levant d’une unique main alors que sa copine elle, trébuchait encore –oui elle était assez maladroite par moment, mais c’était ce qui lui donnait tout son charme-. Ça va aller? Demanda le mécano, fronçant les sourcils et déposant sa boite à outils pour prendre le bras de son épouse, la tirant d’un trait pour la remettre sur pattes. Une chance que tu ne tenais pas mon coffre, tu te serais tué! Siffla l’homme reprenant son matériel de mécanique.

Alysia était depuis toujours une femme qui se mets les pieds dans les plats, et ce fait est bien réel. Personne ne pouvait aussi bien tomber sur le derrière avec grâce qu'elle même. Avec le temps, elle appris comment ce rattraper ou bien se placer pour ne pas subir trop de dommages. Encore une fois, la brune démontra ses talents à son bel époux, qui lui lui donna un coup de main pour se relever. Ouais c'est ça, une chance! Lança la demoiselle à Jared qui venait de lui dire qu'elle se serait tué s'il avait avait eu dans ses bras le gros coffre noir. Tout en suivant le beau poivre et sel, l'éducatrice dit sur une note enjouée : Tu veux faire quoi de ta journée ? Est-ce qu'on commence à dépacter ? Parce que crois moi, c'est le fouillis par ici. Brittany n'était pas une femme qui aime à n'en mourir la propre et l'ordre, mais de temps en temps, il le fallait. Si on en croit la moyenne des couples, la moitié de leur paquetage devrait être déjà rangé à leur place, ce qui n'était nullement le cas de Jared et Alysia. Mais ce couple n'a jamais été totalement ordinaire, ce qui fausse les résultats les concernant. La jeune femme prit donc une des nombreuses boites qui se trouvaient sur le sol, la mit sur le comptoir de la cuisine et commença à la déballer. Dans le carton, elle trouva plusieurs livres de recette et cela lui donna le goût de cuisiner quelque chose pour elle et son chéri. T'en penses quoi si je cuisine ce soir ?

« Tu veux faire quoi de ta journée ? Est-ce qu'on commence à dépacter ? Parce que crois-moi, c'est le fouillis par ici.» L’homme en eut quasiment mal au cœur rien que de penser à tout déballer…leur couple n’était peut-être pas des plus rangé, mais Red savait que le bordel ne plaisait pas à sa copine, chose qui lui dérangeait beaucoup moins. Je sais pas… Dit-il, voyant que Lys elle, prenait déjà une boite. Apparemment il n’avait plus le choix de suivre, il fit donc de même, attrapant un second carton puis un troisième qu’il empila un par-dessus l’autre pour finalement descendre les escaliers et se rendre à la cuisine où il déposa les cartons, tout comme sa petite femme. Ce que je pense? Répliqua ensuite le mécanicien, se disant que c’était une bonne idée, il y avait des jours comme ça ou même la pizza du restaurant du coin et le chinois du buffet n’était pas tentant! Tant que tu ne m’empoisonnes pas ou bien que c’est pas cramé, ça me convient parfaitement! Dit-il d’un ton sérieux avant de rire à sa propre blague, ouvrant du même coup l’une des boites pour y sortir des ustensiles en bois. Il n’avait aucune idée de où les poser…devait-il les mettre dans un tiroir, dans un bocal ou bien les ranger sous les armoires? Il haussa les sourcils et les laissa sur la table avant d’ouvrir la seconde boite qui contenait tous les casseroles, ça au moins il savait que leur lieu de permanence était le dessous du four, il s’activa donc pour les ranger en bon et due forme.

Lysi n’était et ne sera jamais l’une de ces femmes dans les banlieues chics où on les voit frotter, récurer et épousseter tout ce qui peut bien se trouver dans leur demeure. Non, Lee n’était pas ce genre de femme. Elle était plutôt celle qui lançait son sac à main dans l’entrée lorsqu’elle rentrait, celle qui laissait son assiette sale sur la table jusqu’au lendemain matin, même parfois plus tard. Mais voilà qu’il y avait quelque temps, elle et son charmant mari avait emménagé dans un appartement, et c’était toujours le fouillis. Des boites de cartons cachaient encore le beau plancher de leur chez soi. La belle brune demanda donc à Jared s’il voulait bien l’aider à dépaqueter une bonne fois pour toute, idée de pouvoir mieux resalir par la suite, non? Alors donc, Brittany prit un carton qui se trouvait sur le sol et y sortit des livres de cuisine, de quoi lui donner quelques idées pour le souper de ce soir, mais ne sachant pas ou ils pouvaient bien aller, elle les laissa par terre et prit un autre carton qui lui, contenait des bibelots d’une valeur moindrement importante aux yeux de l’italienne. Et une boite de moins à vider.
Dit-elle gros sourire au visage. Elle n’aimait clairement pas vider ces boites, mais elle le devait, mais si elle pouvait s’en sauver pour quelles unes, elle le fera sans hésiter. Lee jeta donc les bibelots dans la poubelle qui se trouvait près d’elle et prit une autre boite. Dans cette dernière se trouvait plusieurs souvenirs partagé entre les deux amoureux. Ici, il y avait un album ou l’on pouvait voir les photos de leur mariage, qui fut très modeste, mais Alysia s’en fichait royalement. Tant et aussi longtemps qu’elle avait l’amour de son homme, rien ne pouvait être plus beau.

Red continuait donc de ranger le contenu de la boite, heureusement ils avaient eu la bonne idée de placer toutes les boites dans les pièces appropriées, sinon ça aurait été totalement le fouillis, du moins davantage qu’à ce moment, ce qui n’aurait franchement pas été des plus sympa! Il se retourna au même moment que sa douce, sourire au visage, lui disant que cela ferait une boite de moins à ranger. Ses sourcils froncés, se demandant de quoi elle pouvait bien parler, Red regarda sa copine se rendre jusqu`à la poubelle pour la voir jeter le contenu du paquet. Un bruit effroyable en sortie, ce devait être les bibelots. Un sourire béat s’installa sur le visage du mécanicien. Avoir su, on aurait bien pu les laisser là-bas, ça aurait fait une boite de moins à trainer! Dit-il, sachant très bien qu’ils n’y avaient pas pensés tous les deux. Disons qu’ils avaient préférés tout mettre à la va-vite dans les cartons pour quitter le plus vite possible leur ancien lieu de résidence. Il sourit de nouveau, regardant sa femme d’un amour vrai. Ils étaient bien tous les deux…ils avaient beau avoir vécus des drames et plusieurs histoires effrayantes, ils en sortaient pas moins gagnants. Justement, la brune souleva une boite souvenir, des photos, des petits mots d’amour –plus rares étant donné le côté moins romantique de l’homme- et d’autres babioles qui les réunissaient au final. T’as trouvé le meilleur? Questionna le brunet, un petit sourire en coin.

Dans son jeune âge, Alysia ne fut pas une petite fille comme tous les autres. Jamais elle n’avait rêvé au prince charmant. Son esprit vagabondait plutôt sur les motos, ce qui lui donnait l’aire d’un garçon. Mais plus les années avançaient, et plus la brunette commentait à s’intéresser à l’homme ou la femme idéal. En ouvrant cette boite, Brittany retrouva des petits mots, des cartes et des photos qui lui remémorèrent plusieurs souvenirs.
Le meilleur, ça oui! Tu étais plutôt sexy dans ton bel habit.
Dit-elle à Red, qui avait un petit sourire en coin. La jeune femme savait très bien que le côté romantique de son homme n’était pas des plus développer, mais elle l’aimait comme ça, que voulez-vous? Elle se colla donc sur lui, et tourna les pages de cet album mythique.
Ouah! Regarde moi ce mec, il était mignon à souhait dans ce temps là. Lança la brune à l’intention de son mec. Brittany avait toujours eu son propre humour. Il fallait croire que Jared avait passé par-dessus ce petit côté qui pouvait être tranchant. Mais bon, il fallait bien connaître la demoiselle pour comprendre que ce qu’elle disait n’était pas nécéssairement mal. Oh fait, tu te souviens de cette fille qui avait dansé avec toi? Celle aux cheveux longs rouges ? Elle avait un béguin pour moi. Ha! Ha!

Red émit un petit sourire, il adorait repenser à toute leur passé, à leur début d’histoire où il ne connaissait encore rien aux femmes. Dire qu’étant encore gamin, il se disait jamais pouvoir être en mesure de trouver quelqu’un pour lui. Un amateur fini de la moto et de ses pièces…il avait même failli se tuer plus d’une fois. Il fallait dire qu’Aly lui avait carrément tapé dans l’œil, maintenant il était heureux en ménage et ne changerait ça pour rien au monde. Le mécanicien traversa de l’autre côté du comptoir et se laissa coller contre sa petite-amie maintenant devenue sa femme. Ah parce que maintenant tu le trouve horriblement moche ce mec? Dit-il en riant, faisant référence aux deux propos sur lui que sa femme venait de faire. Il regardait l’album avec elle, zieutant chaque personne présente sur les photos…dire qu’aujourd’hui les gens préféreraient garder le contenu dans les ordinateurs…c’était bien plus touchant de les regarder comme ça, de pouvoir les effleurer. Oh fait, tu te souviens de cette fille qui avait dansé avec toi? Celle aux cheveux longs rouges ? Elle avait un béguin pour moi. Ha! Ha!

Le quarantenaire sorti de la lune, portant son attention sur la femme en particulier, fronçant les sourcils pour tenter de se rappeler de cette dernière. Tu veux rire, elle m’a pincé les fesses une bonne dizaine de fois! Pourquoi tu penses que je l’ai laissé tomber après une seule danse ! Il rit, trouvant la situation des plus cocasse.

Tu veux rire, elle m'a pincé les fesses une bonne dizaine de fois! Pourquoi tu penses que je l'ai laissé après une seule danses.

Voilà les dernières paroles qu'elle entendit avant qu'un coup de feu ne surgisse de nul part. Surprise par le bruit, Alysia s'agrippat fermement à son mari. Dans des situations où les armes sont utilisées, elle ne savait pas l'attitude qu'elle devait porter. Étant une curieuse dans l'âme, Brittany s'élança à la recherch de la source de ce coup de feu, entrainant du même coup Jared. Une fois à l'extérieur, une scène de film d'action se présentait au couple. Un homme qui devait se situer dans pa vingtaine gisait au sol. Son sang, d'un rouge fonçé, se faufilait où bon lui semblait. Un autre, debout cette fois, tenait en ses mains une arme. Il jurait, criait, entageait, mais lorsqu'il prit conscience que Zachary et Brittany l'observait, ses actions se multiplièrent par trois. En sortant de chez elle, Lee ne croyait aucunement être prise pour cible. Toujours agrippé à son mari, la jeune femme s'élança : Oh putain, mais qu'est-ce qui t'es passé par la tête? T'as des fils qui se sont touchés!

[Homme]: T'as geule connasse. Tu ferais mieux de te la fermer où sinon je tire soit sur toi, soit sur ton gentil petit ami.

Tout d'un coup, comme si elle était prise d'un frisson, le brunette se mit à avoir peur. Et s'il tirrait pour de vrai? Plusieurs choses étaient en jeux, mais Lysi, comme toujours, était déterminée. Elle finirait ce qu'elle avait commencé avec ou sans cette peur qui l'habitait.

Un beau petit moment touchant habitait les deux êtres qui regardaient l’album de photos…un petit rire puis un grincement désagréable… Jared n’y comprenait rien. Ils étaient tous les deux-là, à rire et puis un bruit immonde frappèrent leurs douces oreilles. Était-ce un coup de feu? À voir Lys se coller à lui, Red ne put que confirmer. Avant même qu’il n’eut le temps de réagir, sa petite femme l’avait déjà entrainé à la porte d’entrée qu’elle ouvrit d’un élan. On ne devrait pas… Eut-il à peine le temps de bredouiller qu’ils étaient déjà face à une mare de sang. Instinctivement, Red regarda l’homme au sol, voulant à tout prix lui sauver la vie, seulement sa petite amie était bien trop remontée pour le laisser filer comme ça. Elle préféra de loin insulter le type qui tenait une arme à feu, ce que trouvait peu logique le beau quarantenaire. Lys! Dit-il à voix base pour qu’elle cesse immédiatement de provoquer l’homme armé, qui étant trop tard, lançait déjà son venin sur le couple. Ta gueule connasse. Tu ferais mieux de te la fermer où sinon je tire soit sur toi, soit sur ton gentil petit ami. Il était trop tard, Jared voyait rouge, ce type venait de mettre sa vie ainsi que celle de sa femme en danger et plus rien ne pourrait l’arrêter maintenant. Toi, fais attention à ce que tu dis. Tenta de prévenir Jared à l’homme qui tenait à bout de main son arme. Évidemment il semblait rire de la situation.
L’homme : Bouhou, tu crois peut-être que j’ai peur d’un pédophile en ton genre, ces mecs là je les buttes à coup de centaine!
Red grinça des dents. De nouveau on lui reprochait d’aimer une femme…ce que la terre pouvait être ingrate par moment! Évidemment il ne pouvait guère rester là les bras croisés alors qu’on le traitait ouvertement d’abuseur d’enfants. Énervé, il repoussa sa femme pour se jeter littéralement sur l’homme au fusil.

C'était du Alysia tout craché. Elle ne pouvait s'empêcher de dire haut et fort ce qu'elle pensait et ce, malgré une situation de danger comme celle du moment. En fait, c'était plus fort qu'elle, son cerveau ne prenait pas le temps d'analyser les paroles, il les balançais et ensuite prenait conscience qu'il aurait été préférable de se taire. Toi fais attention à ce que tu dis. [homme:] Bouhou, tu crois peut-être que j'ai peur d'un pédophile en ton genre, ces mecs là je les buttes à coup de centaines. Venait-il de traiter Zachary de pédophile? Connaissant son mari mieux que quiconque, Lysi ne pouvait tolérer ce que l'homme au fusil cenait de dire. L'instant suivant se déroula à une vitesse folle que la demoiselle n'eu nullement le temps de réagir. Red repoussa la brunette qui, sous le choc et la tête ailleurs, tomba à la renverse. Elle le vit se jeter sur l'homme armé et engager la bataille, Mais voilà qu'une douleur se fit sentir au niveau de sa jambe droite. Une balle s'était bien logé dans sa chaire. Le coup devait venir de la surprise de l'homme lorsque Jared se jeta sur lui et il avait du tirer au hasard. Alysia ne cherchais aucune réponses, pour l'instant, elle prenait seulement de plus en plus peur, surtout que son copain était deux fois plus en danger, car il était en train de se bagarer avec le danger public. Se sentant impuissante face à la situation, et ne voulant surtout pas finir comme le corps inerte à ses côtés, la jeune femme décida de se rendre jusqu'à son chez soi, prendre l'arme à feu qu'elle avait soigneusement caché lors de sa première visite et elle ressortie le plus vite possible. L'arme en main elle cria: On ne bouge plus ou je tire.

Red voyait littéralement rouge, un beau rouge vif et couleur sang…il n’avait pas seulement tiré sur un homme, il avait osé l’insulter lui ainsi que sa femme, qui n’avaient aucun lien avec ce qu’il venait de faire… enfin, Jared se jeta littéralement sur lui sans même penser aux répercutions que cela aurait sur les alentours. Un coup parti, cependant le brunet était bien trop occupé à donner un bon coup de poing pour regarder où la balle s’était logée. La situation était des plus explosives, le criminel aurait aussi bien pu lui tirer dessus par sa faute… bref, le quarantenaire se ruait sur l’inconnu alors qu’il n’avait aucune idée de ce qui se passait en dehors de leur petite –ou très dangereuse bagarre – Tout se passait atrocement vite et, alors qu’il se préparait à le frapper dans les côtes, une voix familière vint l’ordonner de ne plus bouger. Un sourire imminent vint se loger sur son visage. On fait moins le malin maintenant! Dit-il avant de lui donner un bon gros coup de poing entre les deux jambes, le faisant alors chuter sur l’asphalte. Tiens! Ça t’apprendra à nous faire chier! Puis il lui cracha dessus avant de lui prendre les deux mains. Chérie… il faudrait appeler les flics. il n'avait bien sur pas remarqué la blessure de sa femme.