NOM COMPLET: Aiden Rachel Fields. AGE : 29 ans. EMPLOI : Interne en chirurgie. SITUATION AMOUREUSE : Compliqué. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle. GROUPE : I WILL ALWAYS LOVE YOU
MON HISTOIRE
24 décembre 2008, à la veille de noël, 23 heures 30 - Chez ses parents, la fête du réveillon de noël. Son père Dwayne, sa mère Isabelle, elle-même et, l’élément perturbateur.
Dwayne – « Ma chérie, quelqu’un au bout du fil pour toi ! » Aiden – « A cette heure-ci ! Je me demande bien qui ça peut-être. » Inconnu – « Allô ! Aiden ? Je t’en supplie ne raccroche pas, tu ne peux pas me fuir inlassablement … Je t’aime ! » Aiden – « Tu es fous arrête, je vais appeler la police ! Tu me fais peur ! » Dwayne – « Tout va bien ma chérie ! » Aiden – « Oui papa ne t’en fais pas » #raccroche #.
Un homme, au bout du fil, une voix neutre qui relatait de la démence, une envie de l’envoyer six pieds sous terre, pour se réveiller de ce vilain cauchemar, pour extérioriser sa haine. Peur, elle était terrifiée d’être éventuellement confrontée à ce névrosé. Ses parents l’avaient mise en garde, adolescente et insouciante, elle n’avait prêté guère attention aux recommandations de ses géniteurs, sous prétexte de vivre le moment présent. Cet homme marié, névrosé, elle l’avait connu au détour d’une rue de Détroit. Cet amour, non, ce n’était alors que des partis de jambes en l’air, en premier lieu, puis les sentiments s’installèrent et vint le temps des adieux pour de nombreuses raisons. Dans un élan de courage, Aiden, mit un terme à cette relation plus que loufoque, trop s’en était trop. Lui, cet étrange homme, à cette annonce, devint marteau. Comme un animal, adepte au sang chaud et à la chaire fraîche, il poursuivait sa proie, se cachait pour mieux la traquer, se montrait discret pour encore mieux la harceler. L’atmosphère était devenue un calvaire ancestral. La police pouvait-elle lui venir en aide ? S’il apprenait son ancienne liaison avec, est-ce que tout cela remettrait sa parole en cause ? Passerait-elle pour femme libérée ? Elle craignait notamment que le regard que portait son père sur elle-même change, qu’il devient haineux, offusqué. Offusqué de voir sa fille s’acoquiner avec un homme marié, de briser un couple, une famille peut-être. Les minutes étaient longues et interminables, faisant augmenter son angoisse. Un monde qui semblait s’effondrer, l’envoyant dans un néant néfaste, à la dérive en somme. Seule sur une barque à ramer, ramée pour rejoindre la terre ferme, une terre promise, seulement ses frêles bras ne lui permettaient pas d’atteindre rapidement le bord, et les embûches défilèrent avant qu’elle n’atteigne son objectif. Son seul recourt était-ce peut-être de lâcher prise, d’attendre que payer les pots cassés. L’envie de crier à en perdre haleine, de s’échapper de cette ville, courir toujours courir, mais pour aller où finalement ? Elle avait nulle part où aller.
01 janvier 2009, le jour de l’an, 13 heures 30 – Au poste de police de Détroit. L’inspecteur G, elle-même.
L’inspecteur G – « Bonjour Madame Fields, nous avons quelques petites questions à vous poser, dans le cadre de notre enquête. Navré pour le dérangement occasionné, mais nous avons appris par le biais de votre papa, Dwayne Fields, que vous étiez épiée et harcelée par un homme. Dans un premier lieu, dite moi ce qu’il c’est passé ? » Aiden – « Très bien, cet homme, auparavant j’étais sa maîtresse, nous avons fleuretés ensemble, un certain temps, quand j’ai pris conscience de mon erreur, j’ai mis un terme à cette relation houleuse et depuis, il ne cesse de me suivre, de m’appeler et de m’épier. » L’inspecteur G – « Pouvez-vous me dévoiler son identité, sachez que cette conversation restera strictement privée et, que votre nom ne sera en aucun cas divulgué. Et, pour terminer, nous mettrons des voitures de polices en bas de chez vous pour vous garantir une surveillance. » Aiden – « Bien sûr, James, James X, alors qu’est-ce qu’il va arriver maintenant ? » L’inspecteur G – « Ecoutez Madame, nous devons patienter afin de le prendre sur le fait et, ainsi les charges retenues contre lui pourront nous permettre de le mettre en état d’arrestation. » Aiden – « Je vois … »
Une enquête, celle qui la délivrera de cette situation. Son esprit était en quelque sorte envelopper d’une couche de peur, peur que cette histoire prenne une tout autre tournure. Cette inquiétude de terminer sa vie au fond d’un bois, dénudée, et tuée de mainte et mainte coup de couteau. Fin tragique n’est-ce pas, qui remettait en cause son existence. A quoi bon vivre emprisonner dans une routine dictée par un névrosé. Il était un chat, un chat qui se dissimulait dans des trous de souris pour mettre le grappin sur son encas, et il jouissait de sa naïveté en se léchant les babines à l’idée de se la mettre sous la dent. Doutant de tout et de rien, elle attendait et attendait encore, que cet énergumène commet une erreur qui lui couterait sa vie. Tout lui faisait peur, aussi bien les bruits dans les rues, que les ombres biscornues, mais le plus effrayant, Aiden avait peur d’être jugée par ses parents. Malgré, que son père, malin comme un singe, traçait les appelles de sa fille, se permettait même de la mettre sur écoute, et ce, il avait prit l’initiative de contacter les forces de l’ordre. En attendant, la vie étudiante de la belle blonde était en quelque sorte bouleversée, chamboulée par ses évènements. Autrefois, c’était une femme pétillante et intelligente, et là, à quelque mois de l’obtention de son diplôme, elle c’était littéralement renfermée sur elle-même oubliant son objectif, son diplôme. La tellière était à deux doigts d’imploser, de tout envoyer valser pour se réfugier dans un endroit qui lui paraissait réconfortant, sa chambre.
Vendredi 1 septembre 2011, 15 heures 58 – Woodward Avenue. James, Nathaniel, elle-même.
Aiden – « Lâche-moi ! Arrête tu me fais peur ! » James – « Laisse toi faire, je devrais te tuer pour le mal que tu m’as fais ! » Aiden – « C’est fini, ça fait des années que c’est fini, mais toi, tu t’obstines à m’harceler, à m’épier et à me suivre. Bon sang, quand comprendra tu que c’est fini. » James – « Tais-toi ! C’est moi qui décidera quand lorsque cela sera terminée. » #Il lui adressa une gifle # Aiden – « Ne me touche pas ! Au secoure ! » #Cria-t-elle # Nathaniel – « Laisse la où tu auras à faire à moi ! »
Un homme sortit de nulle part, lui portant secours, sans connaître son identité, de sang froid, il n’avait guère hésité à se mettre entre Aiden et son agresseur. Il était en quelque sorte un ange gardien, qui c’était montré présent au bon moment. Cela faisait deux ans, que son agresseur ne c’était pas immiscé dans sa piètre de vie. Elle avait obtenue son diplôme, ou tout du moins cette dernière avait validée sa deuxième année de médecine en tant chirurgien. Sa vie semblait avoir reprit le dessus, la peur elle, était visiblement moins présente. Son esprit lui paraissait vide, aucuns évènements tumultueux ne lui traversaient par la tête. A ce moment là, elle savait qu’elle lui devait beaucoup, qu’un simple merci ne suffira pas pour ce geste héroïque. Quelque instant plus tard, les policiers arrivèrent sur place, l’homme était menotté, réduit à un état de honte, et pris place dans la voiture. Qu’allait-il arriver maintenant ? Était-ce réellement la fin ? Comment ne pas douter des forces de l’ordre et de la justice ? Périra-t-il en cellule ? Le doute toujours, les questions refont surfaces.
Samedi 10 aout 2012, 20 heure 20 – Hôpital de Détroit. Docteur Wild, elle-même.
Docteur Wild – « Mademoiselle Fields, ce soir vous êtes charger de faire les Post Op, vérifiez les constantes, n’hésitez pas à ajuster les doses, si besoin ! » Aiden – « Oui, Monsieur. » Docteur Wild – « Vous allez-mieux ? Cette affaire dont vous étiez victime, s'en est où ? » Aiden – « Il a été mit en prison pour cinq ans de réclusions. J’ai dû témoigner, un moment pas évident, mais je suis prête à reprendre mon travail, monsieur ! » Docteur Wild – « Je suis content pour vous, ravit de vous revoir parmi nous ! » Aiden – « Plaisir partagé, merci monsieur. »
James, l’agresseur, avait donc été écroué pour cinq ans de réclusion. Un soulagement ou presque. Aiden c’est investie corps et âme dans son métier pour faire abstractions de ses vilains cauchemars, c’était pour elle une thérapie. Bosser pour oublier, être occupée pour ne pas penser, un état d’esprit, voire un mode vie qui lui convenait. Depuis peu, elle fréquentait l’homme qui l’avait sauvé des mains de son ex névrosé et, c’était une histoire tirée par les cheveux. Il aimait secrètement une femme et, elle se contentait de l’empêcher, lui mettant des bâtons dans les roues. Que lui réserve l’avenir ?
CHOSES À SAVOIR
Sympathique ϟ sociable ϟ intelligente ϟ rusée ϟ perturbée ϟ marrante ϟ susceptible ϟ colérique ϟ impulsive ϟ séduisante ϟ chante sous la douche ϟ ne mange que de la viandes blanches ϟ taquine ϟ séductrice ϟ futur médecin talentueux ϟ sarcastique ϟ blonde sur les bords quand elle se sent gênée ϟ Pratique du sport, notamment le football ϟ aime l'adrénaline.
AUTRES INFORMATIONS
Aiden est née le 14 mais 1983 ici même, Détroit. Elle a grandit dans une famille aimante, aux revenus modestes. Son père, ancien PDG à la retraite, tandis que sa mère, elle, aide soignante à domicile. Aiden, embrassa son premier petit copain à 4 ans, dans la cour de maternelle. Volatile, elle eue de nombreux petits copains. Grande mangeuse de chocolat pour évacuer le stress. Elle rêve d’être médecin depuis son entrée au collège. Est ravie de savoir son agresseur en prison. Entretien une relation fusionnelle avec ses parents.
DERRIÈRE LE PERSONNAGE
NOM : AGE : 19 ans PAYS : France CE QUE VOUS AIMEZ : J'aime ce que j'aime. CE QUE VOUS DÉTESTEZ : Ce que je n'aime pas, j'aime pas. SÉRIES PRÉFÉRÉS : Dr House, DHW, Expert : Miami, Ghost Whisperer, Hawaï 5.0, NCIS, Ally McBeal, Grey's Anatomy etc ... CÉLÉBRITÉS PRÉFÉRÉS : Rachem McAdams, Jennifer Anniston, Jennifer Love Hewitt, Ryan Gosling, Josh Duhamel, Hugh Jackman ect ... OÙ AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? Sur dirty laundry CE QUI VOUS A POUSSÉ À VOUS INSCRIRE ? Tout CE QUE VOUS PENSEZ DU FORUM ? Un contexte parfait, un graphisme au top et des membres extra VOTRE PRÉSENCE : 6/7 AUTRES CHOSES À SAVOIR SUR VOUS : Hum, j'aime pas les questionnaires où je dois parler de moi, car j'en suis incapable, parler de mes goûts c'est dur x) PRÉSENTATION TERMINÉE : OUI [X] NON [ ]
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