NOM COMPLET: Blake Sasha Marshall AGE : 23 ans EMPLOI : Mécanicien SITUATION AMOUREUSE : Céibataire ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel GROUPE : So What
MON HISTOIRE
I accept chaos, I'm not sure whether it accepts me. Je la regarde alors qu’elle quitte la ruelle ou elle et moi nous venions de coucher ensemble. Elle monte dans sa voiture et la voilà qu’elle part. Je reste là à reprendre mon souffle. Ne sachant pas vraiment ce qu’il se passait dans ma tête et encore moins dans mon cœur. Je pose une main sur mes lèvres. Comme pour savourer un peu plus ses lèvres que je venais d’embrasser. Je souris, bon dieu, elle a le dont de me mettre dans un état. A chaque fois, c’est pareil, elle est là, je suis là, et tout part en sucette. Peu importe où nous sommes. Comme cette ruelle. Dans une ruelle. Vous vous rendez compte ? N’est-ce pas excitant ? Pour moi ça l’était, mais pas que le fait de le faire dans une ruelle, à la va vite, mais de le faire avec elle. Je sens une vibration dans la poche de mon jeans, mon portable, un texto. Je le sors pour répondre sans regarder qui était-ce au bout du fil. "Ouais ? " J’entends la voix de mon patron crier à mon oreille. Il me dit que je suis en retard pour aller chercher Madame Rooswelt qui est tombé en panne au milieu de la route 34. Elle est l’une de nos fidèles clients. Pas étonnant, vu le tas de ferrailles qu’elle traine avec elle. C’est toujours moi qui m’en occupe et c’est à sa demande ! Je sais qu’elle me regarde quand je m’occupe de son « bébé », comme elle appelle sa voiture. Tu parles d’un bébé. C’est une voiture tout ce qui a de plus banale et de moche. Rien comparé à mon Impala de 67, noir. Elle était à mon père jusqu’à ce qu’il me la donne, peu avant son départ. Ma mère l’avait rencontré ici même à Detroit, alors qu’il venait y passer un an avant de retourner en Australie. Ma mère en était tombe amoureuse comme jamais. Elle avait seulement la vingtaine et pourtant, elle laissa tout tomber pour partir avec mon père. Elle qui n’avait jamais de sa vie quitté les Etats-Unis. Mes grands-parents n’avaient pas apprécié ce départ. Et jurait tous les jours contre mon père de leur avoir pris leur fille chérie. Peu de temps après, me voilà. Tout beau, la prunelle des yeux de mon père. Il m’aimait plus qu’il n’aimait ma mère. Car il s’était lassé d’elle, je le sais car même s’il pensait que je dormais. Et que ma mère était à ses voyages d’affaires, oui elle était devenu agent publicitaire, et parcourait tout l’Australie, et bien, il ramenait des femmes à la maison. Ca avait commencé lorsque j’avais huit ans. Peut-être même avant, je ne sais pas, faut dire que c’est quand j’avais cet âge que je vis mon père avec une autre femme dans la chambre qu’il partageait avec ma mère. Je ne sais pas pourquoi je n’avais rien dit, ni à lui, ni à ma mère. Peut-être parce que je voyais ma mère trop heureuse avec lui. Elle l’aimait, elle n’avait jamais cessé de l’aimer alors qu’il était un vrai enfoiré avec elle. Je pense qu’en fait, elle a toujours su ce qu’il tramait quand elle n’était pas là. Alors pourquoi était-elle restée au près de lui ? J’en avais aucune idée, et faut dire que je m’en fichais à présent. Si elle n’avait pas été capable de divorcer avec lui, alors c’était de sa faute. Puis mon père est tombé malade. Quelque part, je me dis qu’il l’avait mérité lui aussi. Après tout ce qu’il avait fait à ma mère. Même si, il la rendait heureuse, il avait fait d’elle une femme trompée. Qui voudrait être une femme trompé sans cesse par son mari ? Je n’avais jamais compris à l’amour. Et en voyant ma mère, je me disais que je ne voulais pas être comme elle ou comme mon père. Que tomber amoureux, n’apportait rien de bien, et que se sentiments qu’on peut ressentir, et bien disparaitrait pour l’un ou l’autre un jour. Et si c’était elle qui abandonnerait en premier ? Et que se soit moi le cocu. Non, jamais je ne laisserais une telle chose arriver. J’avais envie de profiter de la vie, et je commençais assez jeune ou je goûtais pour la première fois au plaisir du sexe.
Rien que ce mot… J’aimais ! C’était l’un des plus grands plaisirs que les hommes pouvaient avoir dans ce monde pourri qu’était la Terre. Les coups bas, les engueulades, les meurtres, les attentats. Les hommes étaient dingues et construire une vie, c’est juste un fantasme. Car cette vie peu importe quel soit, elle finira par être détruite quoiqu’il arrive. Pourquoi ne pas juste profiter des bons moments, de ne pas penser à demain ? C’était ce que m’avait appris mon père. Il avait épousé ma mère car il croyait que c’était la chose à faire, qu’un homme devait avoir une famille. Mais il s’était trompé, c’était ce qu’il m’avait dit avant de nous quitter ma mère et moi pour une bimbo de la vingtaine qu’il voyait depuis plusieurs mois déjà. Que je ne devais pas tomber amoureux, ne pas me marier, ne pas avoir d’enfant tout en me filant les clés de sa voiture. Ma mère et moi, on a quitté l'Australie pour revenir à Detroit. J’sais pas pourquoi elle voulait revenir ici, mes grands-parents lui en veulent toujours, même si moi ils m’adorent. Ils ont accepté de me voir, alors qu’ils n’adressent pas la parole à ma mère et même si ça fait depuis mes dix sept ans que nous sommes revenus. J’aime cette ville, c’est différent de Sydney, mais en mieux, c’est une nouvelle vie. J’ai fais mes études ici, c’est d’ailleurs là que je l'ai rencontré. Elle me rendait dingue au début, je ne pouvais pas la voir, c’était « violent », on se lançait des vannes en pleine figure, faut dire qu’elle a un sacré caractère, une vraie emmerdeuse de première. Mais c’est ça qu’c’est bon. Ca me plait les filles qui ne se laissent pas faire. Mais un soir, j’ai demandé à jouer ma copine, j’sais même pas pourquoi elle a accepté tellement elle me détestait. Mais le fait est que ça c’est calmé par la suite entre elle et moi. Puis il a fallu qu’il y ait ce con. Comment elle peut vouloir passer du temps avec lui ? Ca m’a grave énervé, et j’ai arrêté de la fréquenter. Une chose, c’est que je déteste être énervé hors quand j’étais avec elle, et que je la voyais avec cet enfoiré, ça m’énervait. Putain, comment pouvait-il l’avoir ? La rendre heureuse ? Comment pouvait-elle être amoureuse de ce con ? Elle l’a même suivit là où il vivait à présent et j’aimais pas ça. Mais elle est revenu, on s’est rapprocher elle et moi… Elle n’a pas voulu me raconter comment ça s’est passé là-bas alors j’en conclu qu’il devait sûrement la baiser comme un abruti !
J’étais arrivé vers madame Rooswelt. Elle avait le grand sourire aux lèvres, la quarantaine, ok, elle n’était pas ignoble, elle avait gardé sa jeunesse, je sais qu’elle avait qu’une envie c’était que je la prenne, sauf que moi, j’en voulais pas. J’avais assez de quoi être satisfait des jeunes femmes de mon âge. " Hey beau brun, tu voudrais pas voir ce qui cloche ? " Je haussais un sourcil, alors que je la voyais assise derrière son volant lorsque j’ouvris le capot de la voiture. Merde. Elle avait seulement débranché le moteur. Putain qu’elle conne celle-là ! Me faire perdre du temps juste pour me voir. Je soupirais puis fermait le capot. "Ca y est, c’est réglé. " Je lui fais un petit sourire avant de s’approcher d’elle. Bordel, elle était entrain de se caresser, sa main sous sa robe, et les jambes écarter. " Tu voudrais pas voir ce qui cloche la dessus ? Je crois qu’il y a une fuite… " J’ouvris de gros yeux, ce n’était pas ses propos qui me choquait, mais ses lèvres que je pouvais entrevoir. C’est sûr qu’accoucher de deux gamins qui étaient aussi gros que leur connard de père, n’avait en rien aider à garder sa jeunesse de ce « trou » là. Je secouais la tête. "Je n’ai pas le temps Madame Rooswelt. " Puis sans lui laisser le temps de répondre, je me dirige vers la remorque pour regagner le garage ou je travaille. En y allant, je reçois un appel de ma mère, qui me dit qu’elle doit partir dès ce soir pour un voyage d’affaire, et qu’elle ne peut donc dîner avec moi comme prévu. Je roule des yeux. Ce n’était pas la première fois qu’elle me faisait un coup comme ça. Et je savais qu’elle ne partait pas réellement en voyage d’affaire mais qu’elle voyait un autre homme. Je l’avais surprise plus d’une fois. Pourquoi se cachait-elle ? Tout simplement parce que cet homme était un jeune homme de mon âge. Et dire qu’il allait à l’université même avec moi. J’en avais eu envie de vomir et même de lui donner mon poing dans sa gueule de puceau, mais je m’étais retenu quand j’avais vu le sourire de ma mère, ça faisait longtemps que je ne l’avais pas vu ainsi. Alors je m’étais rétracté tout simplement. J’arrive au garage une heure plus tard. Bordel, la pétasse m’avait fait faire perdre pas mal de temps. Mon patron me dit que je pouvais y aller qu’il allait de toute façon fermer car il avait une partie de poker ce soir. Tiens donc, il allait encore perdre la moitié de sa tune en jouant au poker. C’était moi qui avait du lui apprendre les règles du jeu il y a deux ans, et depuis, il n’arrête pas de jouer. Je le salue avant de gagner ma voiture qui m’avait attendu sagement toute la journée. Mon bébé à moi. Je ne laissais personne la conduire, ne pouvant pas supporter que quelqu’un d’autre puisse la conduire et l’abîmer. Non sérieusement, c’était vrai, je n’aimais pas qu’on touche à mes objets personnels, rien que quand ma mère nettoyait ma chambre adolescent, je pétais un plomb car elle rangeait les choses pas à sa place ce qui était donc un bordel rangé à ma façon.
"Eh Jordan t’as pas vu Mickey ?" J’entrais dans la maison de l’un de mes bons amis, ce soir, il faisait une soirée, au départ, j’avais refusé, car je devais passer la soirée avec ma mère, mais comme elle avait annulé, rien ne m’empêchait de passer un bon moment. Je cherchais Mickey, qui était justement cet ami-là, il m’avait demandé d’avoir le numéro d’une serveuse dans le café en face du garage. On me dit qu’il devait être dans l’une des chambres à l’étage, je grimpais les escaliers en saluant quelques connaissances à mon passage, puis j’ouvris la première porte. Personne. Deuxième. Un couple qui s’envoyait en l’air, je souris amusé avant de refermer la porte. Troisième porte. La salle de bain. C’était vide enfin c’est ce que je crus en premier. Mais coïncidence ou pas, c’était elle. Je souris automatiquement, un sourire en coin lorsqu’elle se retourna pour me faire face, m’ayant vu à travers le miroir. "Tu veux quoi ?" Je haussais les épaules, ne lui disant pas que je ne la cherchais pas, qu’elle pense ce qu’elle voulait, ça m’était égal. Elle était sexy ce soir, comme tous les jours en fait. Sa chevelure brune qui tombait sur ses épaules, cette jupe courte qui laissait voir ces jambes. Venait-elle de se faire une raille ? Elle avait une bière dans la main, et je m’approchais d’elle pour la lui prendre et en boire une bonne gorgée. Oh je n’vous avais pas dit ? Le but de ma vie n’est autre que l’alcool, le sexe, et la drogue. Et pour rien au monde, je ne changerais mon mode de vie que se soit pour ma mère, mon père, mes grands-parents ou encore elle. "Va t’en chercher une connard." Elle me prend la bière des mains et je souris, j’étais content de la revoir. "Ton copain t’a laissé pour aller baiser une autre ?" Je savais qu’elle avait une aventure avec lui… Cet enfoiré ce faisait tout ce qu’il voulait, et ça m’énervait ! Ok je pouvais aussi, mais ce type n’a pas sa place au près d'elle, surtout que j’étais là avant lui, suffit qu’il soit pleins aux as pour avoir tout ce qu’il bouge, qu’il aille crever ouais ! Je la regarde et me mord la lèvre inférieur. "Qu’est-ce t’as ? … Putain t’es con, dégage d’ici d’abord !" Elle aimait quand je la regardais ainsi, je le savais, alors je la prends par la taille et la fit monter sur le lavabo. La porte n’est pas fermé à clés et je m’en fou que quelqu’un entre. "Je sais que t'en as envie." Elle secoue la tête et me repousse, mais je lui prends les mains pour qu’elle arrête, les lui bloquant avec une seule des miennes, et l’embrasse de force. Elle se débat mais prolonge le baiser fougueusement. De ma main libre, je lui écarte les cuisses pour me faufiler entre. Bordel, elle ne porte pas de culotte, que j’me dis quand ma main remonte le long de ses cuisses sous sa jupe. Je ne veux pas savoir pourquoi et ne lui demande rien. Je continue à l’embrasser, elle débat toujours ses mains que je lâche alors et qui se rue vers mon jeans pour me le défaire. Sans même attendre que mon boxer soit enlevé, je sens sa main à l’intérieur. Je souris, elle a envie que je la prenne, je le sais. C’était plus fort que moi, quand je me retrouvais seul avec elle, j’avais envie d’elle. Elle m’excitait comme aucune autre fille ne pouvait le faire. Elle me repousse un moment, histoire de reprendre sa respiration et je la regarde dans les yeux. On ne se dit rien. Mais je sais ce qui va se passer ensuite. Bordel ! Deux fois en une journée… Je ne pouvais pas espérer mieux.
CHOSES À SAVOIR
Blake est un connard de première classe. Il se croit tout permis et pourtant c'est loin d'être le cas. Il n'a pas besoin d'argent pour vivre pleinement sa vie. Moqueur, il se fou de tout et de tout le monde, néanmoins il a pas mal d'amis proches de lui. Il sait être drôle et sympa avec les personnes qui ne lui prenne pas trop la tête. Entouré la plus part du temps de sa bande de pote ou des filles, il aime attiré les regards sur lui et plus particulièrement ceux des filles. Il est beau gosse et il le sait. Il n'a jamais aimé étudier et c'est pour cela qu'il avait arrêter les études d'ailleurs. A quoi cela lui servirait-il ? Il ne se voyait pas être un avocat et encore moins médecin même si sa mère l'aurait souhaité. Hyperactif, il est tout le temps obligé de bouger, il ne peut pas rester en place plus de dix minutes. Il est manipulateur et fait tout pour arriver à ses fins. Il déteste qu'on le prenne en pitié, il préfère se démerder seul plutôt que quelqu'un vienne l'aider. Se retrouvant souvent en garde à vue pour des petites choses, il n'a jamais fait de prison. Il fume beaucoup, toujours une clope posé sur son oreille droite, son briquet dans les mains. Il ne peut se séparer de sa cigarette. Très indépendant, il fait tout seul, il demande pas d'argent et déteste devoir en emprunter d'ailleurs, c'est comme une torture pour lui alors que ses potes le lui prêteraient sans aucun soucis.
AUTRES INFORMATIONS
Il ne s'est jamais attaché à une fille et encore moins tombé amoureux. Il les traite comme si elles étaient rien et pourtant il lui arrive d'avoir des amies pour qui il ferait tout. Mais elles sont des exceptions, soit les petites amies de ses potes ou alors sa meilleure amie. Il a un rêve, rêve dont il en parle jamais et pourtant, il sait qu'il le réalisera un jour. Il veut voyager, partir à la découverte du monde. Très cultivé, même si il ne le montre pas, il adore regarder des documentaires sur les autres régions du monde, les autres cultures. L'Afrique du Sud, l'Asie, l'Europe, il a les étoiles pleins les yeux lorsqu'il en parle. Rare sont les personnes avec qui il en parle d'ailleurs. Il est assez réservé sur sa vie privée, ses sentiments et ses rêves. Il donne toujours son opinion mais il a tendance à le donner juste pour embêter les autres et de dire le contraire de ce que les gens pensent. Certaines personnes peuvent du coup le trouver con, raciste, malhonnête alors qu'en réalité, il ne veut juste pas qu'on sache qui il est réellement.
DERRIÈRE LE PERSONNAGE
NOM : Erik AGE : 22 ans PAYS : Suisse CE QUE VOUS AIMEZ : Le surf CE QUE VOUS DÉTESTEZ : Les hypocrites SÉRIES PRÉFÉRÉS : Baby Daddy, Raising Hope, Dexter CÉLÉBRITÉS PRÉFÉRÉS : Dianna Agron, Teresa Palmer, Kristen Bell, Barbara Palvin OÙ AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? PRD CE QUI VOUS A POUSSÉ À VOUS INSCRIRE ? Le design CE QUE VOUS PENSEZ DU FORUM ? Il est super beau VOTRE PRÉSENCE : 5/7 AUTRES CHOSES À SAVOIR SUR VOUS : No' PRÉSENTATION TERMINÉE : OUI [X] NON [ ]
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