Evanna Madison Dunham

ft. Ginnifer Goodwin

NOM COMPLET: Evanna Madison Dunham AGE : 27 ans EMPLOI : Psychiatre SITUATION AMOUREUSE : Officiellement, célibataire, dans les faits, c'est plus compliqué ORIENTATION SEXUELLE : Hétéro GROUPE : How to save a life CHOSES À SAVOIR ♣Attachante ♣ Altruiste ♣ Blasée ♣ Douce ♣ Attentive ♣ Bornée ♣ Affectueuse ♣ Colérique ♣ Déterminée ♣ Compréhensive ♣ Manque de Tact ♣ Moqueuse ♣ Futé ♣ Secrète ♣ Pragmatique ♣ Ordonnée ♣ Sarcastique ♣ Cassante ♣ Rancunière ♣ Gauchère ♣ Aime les chiens ♣ Allergique aux arachides ♣ Parle couramment le français ♣ Connait la langue des signes ♣ Aime peindre ♣ Elle a longtemps fait de la danse classique ♣ Aime la lecture ♣ N'a jamais aimer les théories Freudienne ♣ Indépendante ♣ Elle tiens à sa vie privée et n'aime pas les intrusions ♣ Carriétiste ♣ Ne sait pas nager ♣ À peur de l'eau ♣ Elle a horreur des souris et des rats ♣ Elle n'a jamais apprit à faire du vélo ♣ Ne conduit pas ♣ Très bonne cuisinière ♣ Maladroite ♣ Ne comprend rien au poker ♣ Chante comme un pied ♣ AUTRES INFORMATIONS Evanna est née à Montréal, sa langue maternelle est le français. Elle a récemment apprit qu'elle était enceinte de Chase, mais ne lui a rien dit encore. Elle a ruiner le mariage de ce dernier en couchant avec lui lors de la fête donner en l'honneur de l'annonce de son mariage et n'a plus aucune contacte avec lui depuis. DERRIÈRE LE PERSONNAGE NOM : Chocobo M. AGE :21 ans PAYS : Canada CE QUE VOUS AIMEZ : Le chocolat noir, la neige, les comédies musicales, Lire tous ce qui me tombe sous la main (oui, même les ingrédients de la boites de céréales) CE QUE VOUS DÉTESTEZ : La chaleur, les moustiques, les postes de radios qui passent en boucles les mêmes chansons stressantes, avoir les pieds coincés dans les algues quand je me baigne dans le lac. SÉRIES PRÉFÉRÉS : Once upon a time, Castle, LOST, Fringe, X-Files CÉLÉBRITÉS PRÉFÉRÉS : Lana Parilla, Emilie De Ravin, Johnny Depp, Seamus Denver, Stana Katic. OÙ AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? Top site CE QUI VOUS A POUSSÉ À VOUS INSCRIRE ? C'était jolie et sympathique CE QUE VOUS PENSEZ DU FORUM ? Je suis là, ça explique la chose non? VOTRE PRÉSENCE : 5/7 AUTRES CHOSES À SAVOIR SUR VOUS : Je suis masochiste et sadique, j'aime torturer mes personnages PRÉSENTATION TERMINÉE : OUI [X] NON []

Mon Histoire

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«Five hundred twenty-five thousand six hundred minutes,
How do you mesure a year in the life ?»

Te souviens-tu de la neige recouvrant les prés, les rendant étincelants sous la lumière faible du soleil?C’était un hiver comme milles autre dans ces contrées froides. Les arbres étaient dénudés de leurs manteaux émeraude, les eaux calmes des rivières étaient figées dans le temps sous l’épaisse couche de glace. Le monde s’était figé dans la froideur hivernale, mais tu en avais l’habitude, toi, petite sauvageonne des plaines blanches. Tu te souviens combien tu aimais la saison froide? Tu enfilais ton bonnet et des moufles, sautait dans des bottes pour courir dans les déserts de neige et de glace, comme si ce monde t’appartenait. Tu étais la reine des glaces sur tes patins aux lames effilées, tu étais la princesse des neiges sur ta luge de bois, tu étais l’amie des bonshommes d’eau gelée aux nez en carottes. Pour toi, l’hiver rimait avec l’odeur du pain d’épices flottant dans les pièces de la maison et des lueurs des lumières du sapin de Noël trônant en roi dans le salon. Pourtant, jamais nos Noëls ne furent heureux. D’aussi loin je me souviens, ton père et moi ne passions jamais cette fête familiale en paix. Nous nous disputions devant les invités pendant le repas, nous nous engueulions comme des enfants lors que l’ouverture des cadeaux, parce que nous nous avions mis d’accord pour t’acheter une nouvelle bicyclette et qu’il t’avait offert un bâton de hockey. Parce qu’il avait troqué la robe que je t’avais achetée par des vêtements de garçon, parce qu’il t’offrait les présents que nous aurions offerts à ton frère, s’il avait été là. Mais pour toi, ça n’importait peu. Tu croyais à ces Noëls fantaisistes où le Père-Noël se faufilerait dans la cheminée avec tes présents pour venir manger les biscuits que tu lui avais laissés sur la table près du sapin imposant décoré par tes soins. Nous n’avons pas été des parents parfaits, nous n’avons pas été des modèles, nous avons été les crocs-mitaines de ton monde d’enfant. Peut-être aurait-ce été différent si Wendell n’était pas mort. Tu ne te souviens sans doute pas de lui. Tu étais si petite quand il est mort. C’était le cher fils de ton père, notre petit trésor et peut-être aurait-ce été plus douce s’il était resté avec nous. Ton père adorait son fils, il était l’enfant de ses rêves, si parfait qu’il était impossible de lui arriver à la cheville. Il a fallu que ton frère se fasse heurté par une voiture. Ce n’était pas de ta faute, pourtant, c’est comme si ta naissance signait l’arrêt de mort de ton frère. C’est comme ça que ton père la vécut, je crois. Et je sais qu’au fond de ton cœur d’enfant, dans ton insouciance de gamine émerveillée par la neige tombante en gros flocons complexes tu en étais blessée. Je sais que comme toute enfant, tu aurais aimé être aimée, adorée et adulée par ton père. Ça n’a jamais été le cas et quelque part, je me sens coupable de t’avoir imposé la tristesse et le malheur. J’aurais aimé t’offrir une vie avec une vraie famille, autre que ta mère hurlant sur ton père, saoule les soirs devant les vieilles photographies de son défunt fils, une vie loin de ton père qui n’était jamais là, trop occupé à se perdre dans les bras de sa secrétaire sans que ça ne me blesse vraiment. Je le savais. Je n’ai jamais rien dit. Et toi, petite princesse des plaines enneigées, aurais-tu aimé une autre vie sans ces malheurs que tu connaissais sans les voir? As-tu vu l’orage qui menaçait ton hiver éternel, cette tempête infernale qui allait te tomber dessus pour balayer ton innocence enfantine d’un revers de main? As-tu sentit le courant d’air glacial qui allait et venait dans la maison de ton enfance si amère? Les souvenirs ne sont pas que miel et sucre.Tu n’as pas vu la tempête arriver et comme Dorothée, tu es resté coincé dans le cyclone qui t’emmène à Emerald City. Mais toi, tu n’as pas tes petites chaussures rouges, toi tu n’as pas Glinda pour te protéger pour t’aider. Parce que toi, tu es Ephalba, tu te souviens? Cette vilaine sorcière dont l’histoire t’a longtemps suivit le soir avant de t’endormir tranquillement dans ton lit chaud. Quelque part, je me sentais mal d’être cette qui créait le cyclone autour de toi, toi ma petite princesse des neiges. J’aurais aimé t’offrir une meilleure enfance, ma petite Evanna, mais j’en étais incapable, trop noyé par la souffrance de ce monde si injuste et par l’alcool qui coulait à flot. Mais sache que malgré la mère indigne que je fus, je t’aimais. Tu étais ma petite fée, mon petit rayon de soleil, ton rire était ma mélodie délicieuse et sucrée, ta peau était la douceur de la soie lorsque ta main attrapait la mienne. Je ne te méritais pas, nous ne te méritait pas, ton père et moi. Nous étions trop aveuglés par la perte d’un enfant pour voir la beauté de celui qui grandissait devant nous. Nous n’avions pas compris à l’époque que les enfants ne sont rien d’autre que le miroir de ce que nous sommes, nous adultes anéantis par la cruauté de l’homme sauvage et brute. Et toi, petites fées des glaces, tu n’étais qu’une charmante enfant happée par les conflits de grands… Et plus jamais, ton Noël eu le goût du pain d'épices...


La mélodie de la pluie est d’un réconfort étrange, comme les vieilles chansons d’amour que l’on passe encore et encore à la radio, inlassablement, comme si ces vieilles chansons nous rappelaient les moments magiques avec l’être aimer tout en éveillant les souvenirs douloureux de jours meilleurs. La pluie tambourinait sur la carrosserie de la voiture, comme pour nous rappeler sa présence, elle, déesse de la nostalgie. Et comme une suite de larmes dont le barrage de paupières ne parvient pas à contenir, elle s’écrasait sur le sol déjà trempé de cette route sans artifice. L’habitacle de la voiture était comme un bouclier contre le monde extérieur où l’eau tombant du ciel n’était que mélodie cassant sur la peinture lustrée. Ces voyages, elle les connaissait par cœur, elle saurait dire où la voiture arrêterait pour la première fois, où il déjeunerait demain matin, à quel hôtel ils passeraient la nuit. Ces voyages, elles les font deux fois par année, quand sa mère en a marre de l’avoir dans ses pattes, quand l’hiver se termine au Canada. Puis quand son père en a assez de lui hurlé dessus, quand le froid reprend ses droits. Sa vie, c’est un éternel hiver enneigé sur les plaines canadiennes et le soleil de cette Grande ville. C’est l’accord de ses parents, un accord qui lui plaît à demi, un accord sur lequel elle n’a rien à dire, parce qu’elle l’enfant et eux les adultes. Et ils ne semblent pas voir la difficulté de la situation pour une enfant de dix ans. À l’école, dans son pays natal, elle est la fille qui ne passera pas l’été avec ses copines, elle est celle qui ne verra pas les plaines refleurirent. Chez son père, dans cette grande ville de béton, elle était la petite Canadienne qui ne resterait que quelques mois, dont les habitants avaient du mal à ce souvenir de son nom. Quand elle se plaignait qu’on l’avait appelé Evelyne ou Emilie , plutôt dans la journée, son père lui disait de laisser le temps aux citoyens de se faire à sa présence ou alors, il pestait contre le nom que sa femme avait donné à sa fille. Parfois, sans qu’il ne le dise, Evanna savait que son père n’aimait pas la savoir ici. Parce que la présence de l’adorable petite fille l’obligeait à faire ressortir les démons d’un passé qu’il s’efforçait d’oublier. Parce que lorsqu’il se mettait à hurler sur sa fille pour aucune raison, les gens le regardaient comme s’il était le démon. Ne comprenaient-ils pas que la petite était le mal incarné? Et alors, au fil de ces visites ici, l’enfant se repliait sur elle-même, parlant très peu aux gens, se taisant lorsqu’on l’approchait et ne faisait que répondre aux questions avec de courtes réponses très peu développées. Quand on posait des questions, son père répondait que sa chère petite fille n’était pas très bavarde. C’était d’un ridicule risible. Quand on lui demandait si elle voulait revenir ici l’an prochain, elle répondait par l’affirmative, bien qu’elle éclatait en sanglots chaque soir dans son petit lit aux motifs d’avions et de voitures. Une chambre de garçon dans laquelle ses rares copains n’entraient jamais. Elle avait honte. Elle n’aimait pas cette chambre, elle n’aimait pas la manie de son père de l’appeler « mon garçon. ». Et de retour chez cette mère ivrogne, dans ses passages chez sa tendre grand-mère vieillissante, elle ne cessait de ce plaindre de cette vie qu’était la sienne. Elle lui disait qu’il fallait écouter son cœur, elle petite fille des déserts blancs. Et si son cœur lui disait de partir? Si son cœur n’était pas en accord avec cette vie choisie pour elle? Si elle voulait de ces vies banales qu’ont les autres enfants, que devait-elle faire? Que devait-elle dire? Il n’y avait rien à faire, rien à dire. Elle n’avait qu’à laisser les saisons passées au rythme lent des années qui la mènerait à l’âge de la raison. Et quand ses lèvres auront le goût amer de larmes versées sur cette vie d’enfant détruite par les grands, elle n’aura que des « si seulement » pour consoler ses pleurs. Il sera trop tard pour rêver du prince charmant et trop tôt pour se morfondre sur la vie qu’elle a vécue jusque-là. Les adultes sont trop aveugles pour voir ce qu’ils font aux enfants. On les croit quand ils nous disent à mi-mot qu’ils comprennent la situation des grands simplement pour avoir l’air plus grands qu’ils ne le sont. Evanna fait partie de ces enfants qui veulent grandir trop vite, qui poussent la vie pour comprendre les choses qu’elle a le temps de comprendre. Elle ne veut pas rester une enfant, parce qu’être enfant c’est être avalé par le flot de la vie, celui des adultes qui nous dictent mots et conduites. Mais cette vie-là, la petite n’en a jamais voulu. Ce monde-là, elle rejette de toutes ses forces, se débattant contre les mains d’acier de cet univers qui la garde coincé dans sa ronde infernal vers le néant. Et si elle hurle, elle sait que personne ne l’entendra, trop assourdit par leurs propres hurlements.


Le destin à ces drôles de chemins qui nous entraîne partout, sauf là où on voulait aller. Ce monde-là, elle ne l’aimait pas. Sa vie à elle, elle ne l’appréciait pas. Ce monde qui s’ouvrait devant elle, comme des étaux d’aciers qui n’attendaient que de se refermer sur elle, lui faisait peur. Par moment, elle avait l’impression que si elle hurlait, personne ne l’entendrait. Que si elle pleurait, personne ne serait là pour la consolée, si elle tombait, personne ne pourrait la rattraper. Elle était seule au monde et le monde l’avait abandonné. Devant elle s’étendait le monde, étendu d’immeubles immenses et imposants, lumières aveuglantes et clignotantes, voitures jaunes et noirs dans un tourbillon infernal.Détroit. Jungle de béton et d’acier. Devant elle s’étend des chances multiples de recommencées sur un nouveau pied. Mille et une possibilités. Elle avait quitté son pays natal, elle avait dit adieu à la neige caressant les plaines du Canada, elle avait quitté Montréal, elle avait tout plaqué pour la grande ville et son monde bruyant. Elle n’aimait pas particulièrement ce monde, celui qui semblait lui tendre les bras avec un sourire d’une hypocrisie la plus totale. Elle était, au même titre quand cent mille autres personnes qui cherchent leur voient dans le noir le plus total. Elle entra à l’université en psychologie, élève brillante qui ne se démarquait pas vraiment du lot, trop occupé à regarder sa vie défilée sans vraiment la vivre. Elle avait très peu d’amis, partagés entre les études et les petits boulots qu’elle collectionnait çà et là. Elle n’était pas de ces personnes qui font la fête, qui voit le monde à travers un kaléidoscope, trop occupée à essayer de maintenir la tête hors de l’eau. Le monde tournait, inlassablement, faisait en sorte que tous ces jours se ressemblaient et se suivaient. Jusqu’à ce que Damien entra dans sa vie. Damien était de ces hommes particulièrement aisés en public, d’un humour doucement teinté d’ironie, un peu enfantin, mais aux allures professionnelles. Evanna en tomba éperdument amoureuse, comme une adolescente découvrant l’amour pour la première fois sans comprendre que ce n’était qu’une idylle. Pourtant, ces moments avec lui, d’une douceur de soie et d’une luminosité céleste n’avait aucune égalité en ce bas monde. Et ces moments avec lui étaient un morceau de paradis dans cet enfer sans oxygène. Mais parfois, le paradis éclate ou bien s’effiloche, sans qu’on ne puisse y retenir les fragments entre ces doigts coupés par l’éclat de la souffrance. Pour elle, le paradis n’a pas éclaté, il ne s’est pas effiloché, il s’est simplement embouti dans une voiture qui roulait trop vite, fauché par un chauffard ivre avant qu’ils ne puissent y comprendre quoi que ce soit. Et quand ces yeux s’ouvrirent sur ce monde trop blanc dans cette chambre d’hôpital trop lumineuse, six mois plus tard, elle n’eut pas besoin de mots pour comprendre que son paradis lui avait été arraché. Parfois, la mort nous arrache à la vie sans qu’on ne comprenne ce qu’il s’y passe. Parfois, la grande déesse noire s’abat sur nous avec la puissance d’un ouragan sans qu’on ne puisse rien y faire, sans adieux à prononcés. C’était ce qui s’était passé pour Damien et maintenant, la voilà là, seule au monde, avec pour toute consolation la certitude de revoir ce type au tribunal, sachant qu’elle ne pourra abattre sa vengeance sur lui que par les lois. Et elle plaqua tout. Comme un plaque sa vie pour une broutille, comme un regarde le monde avec ce sourire réservé aux gens ayant vu trop d’atrocité. Elle remit les pieds au Canada, pendant trois mois, mais le monde de neige avait perdue son éclat brillant, la neige lui semblait terne, le monde lui semblait las. Les choses étaient différentes. Elle était ce fantôme qui rôdait parmi les maisons, cet esprit sans vie qui hante les gens avec l’âme torturé des grands blessés. Elle était cette femme, professionnelle au plus haut point, droite et dure comme la justice, qui a un mal fou avec les sentiments humains parce que cet accident n’était pas sans conséquence, parce que pour y survivre, elle a dû se construire un mur en elle, inébranlable et dure comme la pierre. Ce qu’elle ne savait pas encore, c’était que les années suivantes ne serait pas plus facile.


Devant ses pâles prunelles dansaient à une vitesse folle les voitures aux couleurs bariolées, accordant leurs pas aux ronronnements sourds des moteurs et aux chants des klaxons qui se lamentaient comme une lente agonie. Derrière elle, le bâtiment s’élevait comme un roi sur son trône, bourdonnant d’une activité incessante à laquelle est espérait échapper. La pluie tambourinait brutalement et continuellement sur le bitume chaud de cet après-midi humide, mouillant ses boucles brunes et les rendant plus sombres encore. Elle qui voulait disparaître ne pouvait qu’attirer les regards. Sa silhouette drapée de ce manteau noir à poids blancs, caché sous un parapluie aux mêmes motifs, se détachait du décor monotone. Elle semblait flotter dans ses vêtements sombre, trop pâle, trop fin et pourtant droit et fier, une allure altière, comme une enfant qui ne veut pas montrer qu’elle a mal, comme pour camoufler son âme meurtrie. Elle aurait pu être belle dans son attente, regardant les voitures passer, un peu nerveuse et éthérée comme si le monde ne pouvait la toucher. Oui, elle aurait pu être belle, elle avait dû l’être. Sans doute l’était-elle toujours, malgré la tristesse qui noyait ses grands yeux verts. Son regard erre un moment sur l’immeuble qui trône en roi derrière elle. L’une de ses fenêtres est celle de son amant d’une nuit, celui d’un son meilleur ami depuis des années. Elle ignore les chemins qui les ont emmenés là. Confident, ami, frère de cœur, il était passé de tous cela à amant sans qu’elle ne le désire, sans qu’elle ne le planifie. Puis, ils n’étaient plus rien que deux inconnus avec un passé commun. Quand la porte avait volé en éclat, quand elle avait réalisé que des bras l’encerclaient pour la première fois depuis la mort de Damien, quand elle avait entendu ces cris sans les comprendre, elle avait compris que jamais plus les choses ne seraient les mêmes. L’alcool, la tristesse qu’elle portait depuis des années maintenant, les circonstances à la fois joyeuses et désolantes étaient sans doute la cause de ce drame. Cette fête aurait dû être pour célébrer l’annonce du mariage de Chase, cet ami si cher à son cœur, pourtant, elle était celle qui avait démoli ce mariage. Elle avait compris son erreur au moment même ou Caroline avait ouvert la porte, avant même que cette femme qu’elle n’avait jamais aimée aille ouvrir la bouche. Elle avait préféré fuir, loin, très loin. Refusant de répondre à ses appels, refusant de prendre le temps d’écouter les messages qu’il avait laissés sur sa boite vocale pendant des semaines. La jeune femme avait passé plus de temps que jamais le nez dans les dossiers de ses clients à les écouter parler de leurs vies pour oublier la sienne, comme on se noie dans un roman pour oublier puis, quelques semaines plutôt, sur le petit bâton de plastique blanc, elle a lu ce qui allait l’attendre pour les prochains mois. Un petit plus de couleur rose qui allait changer sa vie, ou alors la leur, sans qu’elle ne sache comment réagir. Elle avait toujours cru qu’elle fonderait une famille avec un mari, dans un climat calme et sain, la vie en a décidé autrement. Ce bébé allait naître dans un climat d’orage où les mots blessent comme des lames de couteau.

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AAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH DES NOUVEAUX

Bienvenu bienvenu bienvenu

c'est génial que vous soyez devnu à deux, et puis sérieusement once upon a time !
J'adore ta façon d'écrire, c'est vraiment très beau. J'ai vu que tu étais du Canada, chouette ça va faire plaisir aux admins. On vient d'en avoir une vague dans les nouveaux c'est trop cool Amuses toi bien parmi nous et bonne chance pour la fin de ta fiche mais je ne me fais pas de soucis ^^ Si tu as un problème ou une question n'hésites pas à venir harceler le staff, nous sommes la pour ça. Comme les admins sont Québécois ils passeront voir votre fiche plus tard heure française Parce que si mes calculs sont bon il est 2h30 chez vous x) bon courage alors

EDIT: je n'avais pas fait gaffe au groupe qe tu as choisis... UNE ORAAAAAANGE

Bienvenue à Detroit ! C'est super de voir tout un arrivage de nouvelles petites frimousses. J'espère que tu trouveras rapidement tes marques ici et que tu prendras du bon temps. En cas de problème, le staff est là pour toi alors n'hésite pas. Comme Braedy, j'aime beaucoup ta façon d'écrire. Have Fun B

Bienvenue parmi nous.

Ooooooh blanche neeeeeige ( hehe)
Bienvenuuuuue a toooi ! '

GINNIFEEEEEEER Elle est trop magnifique sérieusement
Bienvenue à toi & j'espère que tu te plairas parmi nous

JE VEUX UN LIEN !! Ok, j'me calme !

Bienvenue par ici ! C'est vraiment génial de voir du beau monde et du super choix de vava *.* Rhaa, Ginnifer quoi ! Once upon a time aussi *.* Et puis ta façon d'écrire, j'aime beaucoup ! Aaah oui, un lien il faut . Ça fait plaisir de voir du monde venu tout droit du Canada, les effectifs grossissent, c'super ! J'espère que tu vas te plaire avec notre petite grande troupe et, une masochiste , mouahah tu me plais bien ! Comme l'a dit Braedy, n'hésite pas à venir nous harceler si besoin; on est aussi un peu masochistes sur les bords et on aime ça ^^. Bref, bon courage pour la fin de cette histoire puis à très vite en jeu.

PS : nooooon, encore une orange, pourquoi pas vert. Braedy est encore content, c'est pas bon pour ses chevilles . *ok je sors*

Breaden ; ahhhhhhhhh un bienvenue! Merci beaucoup à toi. Et oui, il était 2h30 du matin, dans le genre insomniaque, on ne fait pas mieux.

Ethan, Leonor & Serena ; Merciii

Chuck : Merci! Puis bon, j'avoue que Ginnifer *-*

Iseult ; STANAAAAAAAAAAA Oh ouiiii un lien! Ouais j'suis douée quand je veux Plus sérieusement, merci, j'vais vraiment finir par rougir moi! Soyons masochiste! C'est plus marrant comme ça, on va tous souffrir, mwuahahahahaa *s'étouffe*

Bienvenue encore, super vava Hâte de te voir rp.

Hello & bienvenue! Quelqu'un qui aime torturer ses personnages? On va s'entendre alors^^ Eclate toi bien sur IMNP surtout

Un orange en plus ! Une psychiatre c'est encore mieux xD ! Je te souhaite la grande bienvenue dans ce forum - où se trouve quelques frapadingues du coin - ! Ta façon d'écrire - comme les autres - me plait beaucoup et ça me donne encore envie de lire la suite de ton histoire que tu n'as pas encore finie ^^ ! Ton avatar est également aussi intéressant et tout .x') ! Au plaisir de te croiser sur la cb et de lire la suite de ta présentation

OMG BIENVENUEEEEEEEEEEEEEE !

GINNIFER!

En plus Once Upon A Time quoi *.* Et puis avec Josh Dallas (Snow et Charming! )

Masochiste et sadique? Qui aime torturer ses personnages? Je t'aime déjà

En plus, j'aime beaucoup ta façon d'écrire! Je veux un lien!

Ah et, bon courage pour ta fiche et amuses toi bien parmi nous

BIENVENUUUE

Je connais pas ton vava mais elle est trop jouliiie! et puis si t'es psychiatre il nous faudra un lien :DD. Brefouille éclate toi sur IMNP

Bonjour à toi. J'aime beaucoup l'avi, la fiche, et la personne derrière, à priori, aussi. C'est un plaisir de voir encore un adorable nouveau, même si aucun ne le sera autant que moi.

Bon courage avec ta fiche ! Au plaisir de te retrouver bientôt sur le forum !

Evanna M. Dunham a écrit:

PAYS : Canada
CE QUE VOUS AIMEZ : Le chocolat noir, la neige, les comédies musicales, Lire tous ce qui me tombe sous la main (oui, même les ingrédients de la boites de céréales)
CE QUE VOUS DÉTESTEZ : La chaleur, les moustiques, les postes de radios qui passent en boucles les mêmes chansons stressantes, avoir les pieds coincés dans les algues quand je me baigne dans le lac.
SÉRIES PRÉFÉRÉS : Once upon a time, Castle, LOST, Fringe, X-Files
CÉLÉBRITÉS PRÉFÉRÉS : Lana Parilla, Emilie De Ravin, Johnny Depp, Seamus Denver, Stana Katic.

wouuww bienvenue à toi sur le forum, autre canadienne
En tout cas je te dis tout de suite, bon choix de vava (a) j'adore Ginnifer
XD bref je crois qu'il y a qu'à voir toutes les citations pour remarquer qu'on a pas mal en commun muhahah, amuses toi bien sur le forum et surtout, si tu as des questions, ne te gênes surtout pas Désolé pour le retard au passage (aa)

GINNIFER !!! J'adore trop cette actrice, je l'ai joué justement récemment, je n'ai pas encore vu OUAT, ce qui est prochainement, mais je l'ai adoré dans Big Love !
Enfin, je suis ravi de la voir sur le forum et sur ce ! BIENVENUE PARMI NOUS C'est vraiment un plaisir de t'accueillir sur IMNP Si tu as la moindre question ne te gêne pas, merci de ton inscription et bonne chance surtout pour ta fiche.
Sinon, TU VIENS DU CANADA !! De quel région :O On a reçu plusieurs du coin depuis quelques jours, c'est débile (: On est tellement peu habituellement ^^
Sinon, merci aussi d'avoir ramené ton ami !

Ohh je me sens aimée
Merci pour cet accueil plus que chaleureux!

Ah, tiens, toi aussi Autumn t'aime pas avoir les pieds coincés dans les algues et te taper des comédies musicales :q27: ? On va être méga copine alors !

Sinon, je suis de Lanaudière, à un peu plus de trente minutes de Montréal. Puis, Ginnifer, elle est superbe dans Something Borrowed aussi *-* J'ai pas vu Big Love. Et ce fut un plaisir de traîner Chase ici! On se suit un peu partout de toute façon! Et comme le disait ce cher Charming Chase, on termine tous ça dès qu'on aura papoter tout les deux!

Big Love est vraiment une superbe série ; je te le conseille et Something Burrow aussi (:
(Je suis Jane au passage) Sinon, Lanaudière, c'est pas trop loin, on est des hautes-Laurentides de notre côté ! et ça fait trop plaisir de vous réserver une belle accueil (: En plus QUÉBÉCOIS DONC :O Mais on réserve une bonne accueil aux francais aussi d'ailleurs

ahah oui, ça coule de source XD
mais ouiiii on sera de méga copines oO' *setireuneballeetsort* (:
J'ai bien hâte de lire la suite de ta présentation (a)

Yoooo Welcome here!

Amuse toi bien parmi nous et à vite sur le fo'

Je n'ai rien à rajouter ! Ton histoire est totalement complète, j'adore la finale surtout ^^ Je te valide donc avec grand plaisir, tu peux donc officiellement ouvrir tes sections, parcourir le forum et rp comme une folle ! Éclate toi parmi nous surtout

tadadadadaaaammmmmm * éteint la télé *
je crois que je n'ai rien à dire de plus que tu validée miss (:
J'espère bien que tu le fera payer ce Chase MUHAHAH tu es un peu dans la même galère qu'Autumn, de la même région en plus, seulement moi j'suis pas enceinte meuhhh XD
alors alors, bon jeu, amuses toiiiii !

Merci Mesdemoiselles

Je déplace dans validés