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 It's the beginning and we'll go till the end of your rehab. [Romy&Symon]

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Romy A. Sterling

WELCOME TO DETROIT
Romy A. Sterling

AGE : 28
NOMBRE DE CONTACTS : 98
ANNIVERSAIRE : 27/11/1995
EN VILLE DEPUIS LE : 25/12/2012
AVATAR : Jessica Capshaw




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MessageSujet: It's the beginning and we'll go till the end of your rehab. [Romy&Symon] It's the beginning and we'll go till the end of your rehab. [Romy&Symon] EmptyMar 15 Jan 2013 - 14:30

It's the beginning and we'll go till the end of your rehab.

It's the beginning and we'll go till the end of your rehab. [Romy&Symon] Arizon11&It's the beginning and we'll go till the end of your rehab. [Romy&Symon] Colin-10
L'hôpital n'est pas le lieu auquel on pense en premier pour aller se balader l'après-midi ou se dégourdir les jambes pendant la matinée. A vrai dire, peu de monde aime aller à l'hôpital, on y va jamais pour une bonne raison, toujours pour une mauvaise. Pourtant certains aiment aller à l'hôpital, et les chirurgiens sont les premiers en tête, c'est quelque part dire qu'ils se réjouissent du malheur des gens, car sinon ils n'opéreraient pas. D'ailleurs, celui qui lèverait la main en disant qu'il n'a jamais souhaité le malheur de quelqu'un pour avoir une opération, serait un menteur. Mais l'instant d'après ils ont eu honte de cette pensées, enfin ceux qui ont encore leur côté humain. Certains chirurgiens ne vivent que par leurs scalpels, ils ne parlent que de scalpels et doivent même en rêver la nuit. Ce ne sont pas des mauvais chirurgiens, mais ils en oublient souvent que les personnes sous leurs bistouris, clamps et pinces, ce sont des êtres humains, qui ont une famille, tout comme eux.
Mais si les chirurgiens aiment autant l'hôpital, c'est qu'il représente leur deuxième maison, voir même leur première maison. Certains passent plus de temps à l'hôpital que dans leur propre appartements. Les internes et résidents en témoigneront, vivre à l'hôpital et être le premier sur place est un objectif pour eux, certains ne rentrent pas chez eux pendant deux jours, ils dorment sur des brancards ou en salle de garde, là où ils peuvent en somme. La vie est rythmé par un bip du pager. Pour Romy, être à l'hôpital est mieux qu'être dans son appartement, au moins ici il y a du monde autour d'elle, rentrer chez elle pour n'avoir que du silence et un mur à qui parler ne l'enthousiasme pas. Elle n'y rentre que pour dormir et se laver, manger quelque chose de vite fait mais avec son emploi du temps, il n'y a pas vraiment de place pour faire les courses alors son frigo est plutôt vide. A part 3 boites d'oeufs. Romy adore les oeufs, c'est quelque chose qui ne s'explique pas.

La jeune chirurgienne déambulait dans les couloirs, essayant d'une main de finir d'enfiler sa blouse et de l'autre tenant le dossier d'un patient, mais pas n'importe lequel. Stéthoscope autour du cou, Romy se dirigeait vers la chambre de Mr Rowland, il venait enfin de se réveiller de son profond coma. Cela s'était passé hier mais la jeune femme était de repos, elle ne l'avait donc appris que ce matin et se ruait vers sa chambre sourire aux lèvres. Elle finit de relire le dossier en tournant au coin des urgences : le nom du patient est Symon Baltimore Rowland, âge 29 ans, dans le coma depuis 540 jours suite à un grave accident dans une course de voitures, arrivé avec une épaule déboité, un fort choc traumatique à la tête mais aucune lésion internes pour le reste du corps. A eu besoin d'une réanimation d'urgence arrivé à l'hôpital. Le bilan neurologique n'était pas très prometteur, il y aura des séquelles mais impossible de se prononcer définitivement, il faudra attendre le réveil, si il y en a un. Symon avait été le premier patient de Romy à son arrivé à Baltimore, elle avait repris le dossier du jeune homme et il avait fait un arrêt, lors de son premier jour, elle avait réussi à le réanimer mais au bout de plusieurs minutes. Elle était en route pour vérifier l'état du jeune homme, après un si long coma, c'est une longue rééducation qui allait l'attendre. Et les fonctions cognitives et motrices du jeune homme sont ce qui l'inquiète le plus, le choc qu'il a reçu à la tête était très important.

Elle entra enfin dans la chambre du jeune homme, le respirateur avait été retiré, Symon n'avait pas l'air réveillé pour le moment. Elle referma la porte vitrée derrière elle et lu la charte accroché au lit, pour savoir les dernières observations des infirmières, rien d'anormal médicalement parlant, mais il n'avait pas été capable de parler ou bouger, il n'avait pas non plus eu l'air de reconnaitre le jeune homme qui venait le voir souvent, Winter. Romy porta ensuite son attention sur ce qu'affichait les moniteurs, tout était stable de ce côté-là. Elle ouvrit les rideaux, faisant onduler ses longs cheveux blonds, bien qu'elle aurait volontiers laissé Symon dormir, sa ronde du matin consistait à voir tous ses patients avant de commencer sa première chirurgie à 9h puis de prendre sa place aux urgences, elle ne pouvait en aucun cas attendre sagement le réveil du jeune homme.
- Mr Rowland, il va falloir se réveiller, je sais qu'il est tôt, mais je crois que vous avez déjà fait vos réserves de sommeil ! Lui dit-elle le sourire aux lèvres, elle avait essayé de faire de l'humour et insistons sur le "essayé" car l'humour de la jeune femme n'est souvent pas si drôle que ça, elle pense qu'elle est drôle puis se rend compte que ce n'est pas si drôle que ça, étant la seule à rire de ses propres blagues. Elle entendit un grognement, mais pas de mouvement, normalement quand on se réveille notre corps tend à s'étirer par pur réflexe. Un regard soucieux apparut sur son visage, sa paralysie était toujours là, il faudra l'envoyer faire des scans pour déterminer si elle est temporaire ou définitive. Romy mit ses mains dans les poches de sa blouse, manie qu'elle a quand quelque chose lui trotte dans l'esprit. Elle observa un mouvement des paupières, puis doucement et difficilement deux yeux lui retournèrent son regard, un regard perdu et confus, immédiatement la jeune femme posa la main sur l'épaule de Symon.
- Bonjour Mr Rowland, vous êtes à l'hôpital de Détroit, je suis le Docteur Sterling, votre chirurgienne, je vais m'occuper de vous, ne vous inquiétez pas, tout va bien se passer. Lui dit-elle d'un ton rassurant, étirant ses lèvres et faisant flasher ses fossettes. Elle tenta de l'apaiser en frottant en signe de réconfort l'épaule, il devait rester calme, ne pas faire s'emballer les machines, ce serait très mauvais vu son état. Et puis c'est leur première rencontre, et loin d'être la dernière, il faut qu'il lui fasse confiance, pour qu'il puisse avancer ensemble dans le long chemin qui attend le jeune homme dans sa rééducation.


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Symon B. Rowland

WELCOME TO DETROIT
Symon B. Rowland

AGE : 37
NOMBRE DE CONTACTS : 66
ANNIVERSAIRE : 25/02/1987
EN VILLE DEPUIS LE : 09/01/2013
AVATAR : Colin Morgan




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MessageSujet: Re: It's the beginning and we'll go till the end of your rehab. [Romy&Symon] It's the beginning and we'll go till the end of your rehab. [Romy&Symon] EmptyMar 15 Jan 2013 - 15:05

Hier avait probablement été la pire journée, dans la vie de Symon Baltomore Rowland. Après un réveil des plus terrifiants, deux hommes s'étaient pointés à son chevet. Hommes qu'il ne connaissait pas ou du moins, ne se rappelait pas qui ils étaient. Un en particulier sembla complètement chaviré lorsqu'il comprit que ce dernier avait perdu la mémoire. Voir ce jeune homme pleurer avait néanmoins réussi à toucher quelque peu Symon, mais ne pouvant ni bouger le petit doigt, ni parler, il s'était simplement contenté de le regarder sans émotion. De toute façon, son visage ne lui permettait pas encore de bouger normalement. Sa paralysie l'avait bel et bien atteint à tout les niveaux.

Malgré tout, aussi étrange que cela puisse paraître, quand le blondinet s'approcha afin de pendre sa main dans la sienne, quelque chose se produisit en Symon. Quelque chose de rassurant ...mais si il ne savait pas trop pourquoi, pour l'instant. Intérieurement, il s'en était voulu de ne pas pouvoir lui serrer la main en retour alors il l'avait simplement regardé, les yeux humides d'avoir trop pleuré après son réveil agité. De son regard, il avait fait cligner une fois ses paupières, dans l'espoir que celui-ci comprenne qu'il le remerciait à sa propre façon... mais comme toutes bonnes choses ont une fin, la fatigue s'empara de nouveau du dessinateur et il sombra à nouveau dans un sommeil profond, sans pour autant que ce soit un comas.

Il avait passé la nuit à dormir, et une petite partie du matin aussi. Symon n'avait rien mangé depuis 540 jours de façon normale et en se réveillant, l'odeur de rôties chaudes lui traversa les narines. Pourquoi s'était-il réveillé, d'ailleurs? Son regard chercha dans tout les sens, jusqu'à ce qu'il aperçoive une jolie blonde, vêtue d'une chemise de médecin. Instantanément, il se mit à la détester intérieurement. Non ...pas de batterie de tests, svp! Elle était chirurgienne? Que faisait-elle dans sa chambre? Allait-il être opéré??? Une larme se mit alors à couler le long de sa joue lorsqu'il l'a fixa d'un regard purement effrayé. Non ...Non! Il avait envie de crier, de lui dire de ne pas le toucher! C'était bête, mais à cet instant précis, il aurait aimé que le jeune blondinet soit là afin de lui empêcher de lui faire quoique ce soit. D'un effort sur-humain, il réussi par contre à ouvrir légèrement sa bouche en poussant tout d'abord un souffle. Un souffle qui se voulait paniqué. Un non, dans son propre langage! puis ensuite vint une plainte. Une longue plainte comme un gamin à la veille de pleurer et faire une crise enfantine.

Symon désirait tellement parler que cela lui faisait mal, juste à y penser. Crier sa rage, crier au monde entier de le laisser tranquille. Il n'avait envie de rien, sinon de retrouver l'usage complète de la parole, mais aussi sa motricité. Toujours immobile dans son lit, il savait maintenant que ses jambes n'allaient plus fonctionner pendant un très long moment. Pour ce qui était de ses bras, s'était autre chose, apparemment. Avec de la physiothérapie plusieurs fois par semaine, il allait pouvoir rapidement au moins bouger les doigts. Ce qui allait déjà être mieux que maintenant. Son médecin semblait comprendre son état d'âme, ce pourquoi elle se mit à lui frotter tout doucement son épaule afin de le rassurer ...mais cela ne l'aidait pas vraiment. Il avait peur. Il voulait cet homme qu'il avait rencontré hier. Il le voulait tellement, que d'un deuxième efforts sur-humain, il pu souffler tout bas mais assez fort pour que celle-ci l'entende «...Homme!» Il ne savait plus faire les liaisons. Du moins, pas pour l'instant. Ce pourquoi il avait sonné Cro magnon, en disant ce mot. Son visage réussi à faire une mini moue de tristesse, une de ses premières expressions depuis 540 jours. Pourquoi la vie avait-elle décidée de s'acharner sur lui? Pourquoi c'était si compliqué??? Il ne voulait pas quitter son lit ...mais paralysé comme il était, il savait très bien qu'il n'allait pas réussir à gagner son point. Elle pouvait en faire ce qu'elle voulait ...C'était elle qui avait le plus gros bout du bâton.
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Romy A. Sterling

WELCOME TO DETROIT
Romy A. Sterling

AGE : 28
NOMBRE DE CONTACTS : 98
ANNIVERSAIRE : 27/11/1995
EN VILLE DEPUIS LE : 25/12/2012
AVATAR : Jessica Capshaw




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MessageSujet: Re: It's the beginning and we'll go till the end of your rehab. [Romy&Symon] It's the beginning and we'll go till the end of your rehab. [Romy&Symon] EmptyJeu 17 Jan 2013 - 17:17

Bien que Romy lui fit son plus beau sourire et lui caressa gentiment l'épaule, la peur accroissait dans les yeux du jeune homme. Il était réellement effrayé, sur le coup la blonde se demanda si c'est quelque chose qu'elle venait de dire qui le contrariait ou elle lui avait fait un sourire charmeur sans s'en rendre compte ? Ce qui peut être perçu comme une agression quand on vient de se réveiller. Mais la dernière semblant être très peu plausible et juste une option incongrue, Romy sait être professionnelle. Un regard confus traversa son visage, elle cherchait ce qui avait pu causer un trouble chez le jeune homme, et vite, car d'un coup d'oeil, elle vit sur le moniteur la fréquence cardiaque de Symon augmenter. Peut-être sa blouse ? C'est une chose tout bête mais certaines personnes sont effrayés par ce simple vêtements, comme si porter une blouse faisait de la personne quelque chose d'effrayant. C'est vrai que parfois l'habit donne une toute autre impression d'une personne. Un docteur sans sa blouse a ses vêtements habituels, les vêtements de tous les jours comme n'importe quelle personne lambda, ou bien il a sa blouse, de chirurgien comme Romy ou bien d'infirmière. Mais ça n'est pas vraiment le sujet, ni la cause de l'agitation du jeune homme, bien que le doute soit encore permis. La chirurgienne fut sortit de ses songes, abruptement mais pour le moins surprenant, un mot «...Homme !». Les expressions se mélangèrent sur le visage de la jeune femme, elle ne savait pas si elle devait être confuse, heureuse ou même alarmé. Elle stoppa ses mouvements sur l'épaule de Symon, mais la laissa dessus, ses yeux plongés dans les siens, pétillants et avide de savoir si un autre mot, ou même un grognement, allait s'échapper de ses lèvres.

Pour une personne d'une autre profession, ça ne signifierait rien, mais pour Romy, autant que pour Symon, c'est comme un miracle. Quand on sort d'un long coma, après un terrible accident, les chances de se réveiller sont déjà minimes, et si le patient se réveille, il y a toujours des séquelles. Hier, il ne pouvait pas parler, et là il venait de sortir un mot, Romy se sentait telle une mère devant les premiers babillages de son enfant, bien qu'elle n'ait jamais expérimenté cela. Mais ce n'est pas son adoration devant le premier exploit de Symon qui calma le garçon. Ses yeux verrouillés dans ceux de son patient, largement ouverts et étincelants semblaient lui être plus hostile qu'autre chose, car elle entendit le rythme du moniteur commençait à s'emballer. Il avait déjà fait un arrêt il y a deux mois, elle ne pouvait pas le laisser recommencer, il pourrait retomber dans le coma, son corps est encore beaucoup trop fragile.
- Doucement, doucement, il faut que vous vous calmiez, votre rythme cardiaque augmente et cela peut-être dangereux pour vous. J'ai besoin que vous respiriez un bon coup, sinon je serais obliger de vous administrer un sédatif, je ne veux prendre aucun risques. D'accord ? Lui demanda-t-elle. Romy fit un pas en arrière, rompant le contact physique avec Symon, pour tourner le moniteur afin qu'il voit sa fréquence cardiaque et qu'il est quelque chose pour se concentrer dessus, au lieu d'elle. La jeune chirurgienne en profita pour retirer sa blouse, au cas où, et revint poser ses mains, non sur le patient lui-même, mais sur son lit. Par réflexe, elle se mordit la lèvre, ayant elle aussi involontairement besoin de se concentrer sur quelque chose. Elle attendit en silence, laissant le temps à Symon de s'apaiser tranquillement, sans le brusquer, tout en jetant des coups d'oeil sur le moniteur pour vérifier où cela en était.

Il fût quelques minutes à Symon et son rythme cardiaque pour revenir dans une fréquence sans danger. Cette fois-ci, Romy fit un simple sourire au jeune homme en lui soufflant un simple et apaisant «Voilà», elle s'assit sur le lit pour être à la hauteur de son patient. Pendant le temps de silence qui avait duré dans la pièce, elle avait eut le temps de réfléchir à ce qui avait affoler son coeur. Et regarder comme elle l'avait fait le jeune homme, il avait du se sentir telle une proie sous les yeux triomphants de son chasseur. Quand vous vous présentez à des inconnus et que vous leur dites que vous êtes chirurgiens, la plupart vous regarderont comme si vous alliez leur sauter dessus, armés de votre scalpel, votre scie, ou d'un instrument de torture médiévale pourquoi pas, de votre chaussure ou pantalon. Ce qui doit faire réellement peur, surtout si vous tombez sur un chirurgien sans humanités, il y a les «gun-nuts» (les fous de la gâchette), maintenant il y a aussi les «scalpel-nuts», dont la signification est évidente. Et se présenter comme chirurgienne était la raison pour laquelle Symon s'était sentie menacé.Non, par son jolie sourire, celui n'a seulement proféré que de bonnes menaces.
- Rassures-toi, je suis chirurgienne mais je ne suis pas là pour t'opérer. Tu n'as besoin d'aucunes opérations. Je vais juste te faire passer des scans, te poser des questions ou t'examiner. Rien ne fera mal, tu me fais confiance ? Je suis là pour superviser ton rétablissement et être sûre que tu puisses rentrer chez toi. Déclara Romy, elle se posa avant de reprendre. Quand tu as dit "homme", tu voulais parler du jeune homme qui était là à ton réveil hier ? Clignes une fois des yeux pour oui et deux fois pour non. Lui demanda-t-elle. Elle avait préférée le tutoyer cette fois-ci, cela forme toujours un fossé de vouvoyer une personne mais dans son métier, la chirurgienne ne voit que deux, trois fois le patient avant de le renvoyer chez lui, il n'y a pas de temps pour apprendre à le connaître. Mais elle va passer beaucoup de temps avec Symon, et le tutoyer le mettra sans doute plus à l'aise.
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